2014 dans la caverne de Platon

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Découverte

La Vie révée de Walter Mitty raconte plein de choses sur la fin d'une ère. Au premier degré, c'est déjà un très beau film, efficace et touchant, assez simple mais finement maitrisé, dans le fond ça raconte beaucoup de choses sur la métamorphose du cinéma et sur, justement, les adieux à la pellicule, à l'artisanat (du moins à ce mode d'artisanat), à cette manière de concevoir le média.

Je trouve ça vraiment très beau, il y a des imperfections, des facilités, mais qu'importe, c'est très généreux, très bien pensé, et surtout très sincère. Ca me fait plaisir de trouver un Ben Stiller auteur, par ailleurs. Ce type est vraiment intéressant.

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Découverte

Un film qui vient compléter le thème "l'Amérique paranoïaque" post-Kennedy, post-Nixon, post-Viêtnam, dans la lignée d'A cause d'un Assassinat. Anti-spectaculaire autant que virtuose, Coppola est toujours au sommet.

Présenté à la Cinémathèque dans le cadre du cycle "panoptisme".

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Revisionnage

Mon Hitchcock préféré, tout simplement. Fascinant, modernissime, avant-gardiste au possible, Fenêtre sur Cour n'a pas perdu un gramme de son efficacité. Tout s'emballe dans cette histoire tourbillonnante qui ne manque pas de faire baver le spectateur devant Grace Kelly; qui se dévoile ici sous son plus beau jour.

Présenté à la Cinémathèque dans le cadre du cycle "panoptisme".

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Découverte

C'est malheureusement un peu con. Je dis malheureusement car il y a un très bon potentiel : un flic asocial et violent qui se retrouve confronté à une petite bourgade de rednecks. Malheureusement, le déroulement du film est conventionnel, mais j'aurais bien voulu avoir quelque chose à mi chemin entre Rambo pour le côté psychopathe violent incapable de se réinsérer (d'autant plus que c'était Stallone qui écrivait le scénario...) et Straw Dogs, pour le côté nouvel arrivant qui se "met à dos" tout le monde et qui va devoir littéralement défendre son territoire (finalement... Homefront quoi). Malheureusement ça n'est pas le centre du film. Je suis intimement persuadé que si on avait passé tout le dernier tiers du film sur l'assaut de la baraque par des rednecks, avec Statham dévoilant sa face de flic psychopathe à sa fille, ç'aurait été jouissif et éventuellement intelligent.

Dommage également que le film soit monté trop agressivement. C'est pas réalisé d'une main de maître, mais çà et là, quelques plans sont bien conçus, mais hachés dans le montage.

Finalement, on a juste Statham qui a l'air bête et Franco qui cabotine. Mais Statham met des grosses patates, donc je me montre magnanime.

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Découverte

Bon évidemment c'est navrant comme jamais. Pire : c'est gênant. Premier rire enregistré dans la salle au bout de 20 minutes de film, c'est tout de même un problème. Le moment le plus drôle de la projection a été quand le DCP a planté. Tristesse.

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Découverte

Soyons honnêtes : ça n'est pas aussi nul que ça en a l'air. Malgré le pitch farfelu (un chien milliardaire et un gosse débile qui voyagent dans le temps, WTF), le film a le mérite de ne pas ennuyer, par ailleurs. Malheureusement, ça reste trop bête dans l'ensemble, assez mal réalisé et ça s'apparente finalement à une sorte de mix pas très intéressant de la série animée Retour vers le Futur. Dommage, car deux ou trois gags sont vraiment bien sentis, notamment le "I'm Spartacus !".

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Découverte

Le jugement est dur, mais avouons-le : je me suis fait chier comme rarement. Tout le problème réside notamment dans l'ambition du film : auteuriser un cinéma chez un réalisateur qui n'est lui-même pas un auteur. En conservant les dialogues originaux, Whedon esquisse à la fois sa feignantise et son esbroufe. Il n'a pas le sens du virtuose de Kenneth Branagh et son sens de l'adaptation pour se permettre une telle entreprise. Le film est donc plombé par des lourdeurs incommensurables. Adaptation inexistante, esthétique numérique hideuse (et le fait que ce soit un petit tournage n'excuse pas tout, retourne prendre des cours chez Cassavetes), réalisation télévisuelle qui se fend probablement du découpage le plus aléatoire vu ces derniers temps : il n'y a aucun sens dans les plans, dans le montage, aucune puissance, aucun symbole, là où Branagh tapait justement fort. Et comme si ça ne suffisait pas, le peu de subtilité restante est gangrénée par la terrible musique composée par Whedon himself, s'additionnant au montage toujours tel un cheveu dans la soupe.

C'est bien gentil de vouloir s'acheter une légitimité d'auteur, mais Whedon ferait mieux de retourner à son cinéma de marchand de jouets pour le coup.

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Découverte

Loin d'être la purge annoncée, finalement c'est assez sympathique. Il faut faire le deuil des personnages de Rocky et de LaMotta qui sont sacrifiés sur l'autel de l'auto-parodie, mais au moins le résultat ne se prend pas au sérieux, est très honnête et surtout remplit le contrat avec le spectateur. On rigole finalement pas mal, pas de quoi être si mécontent.

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Découverte

Rien ne va plus pour Kenneth Branagh, perdu sur le rollercoaster Hollywoodien. Le réalisateur Shakespearien ne sait pas où aller et conjugue son style posé avec des séquences Jason-Bournesques au possible, profondément incohérentes avec le personnage qu'est censé être Jack Ryan. Un scénario aux abonnées absent et surtout un personnage de bad-guy profondément ridicule, à la caractérisation "moins subtile tu meurs" interprété par un Kenneth Branagh qui vraisemblablement ne recule devant aucun cliché.

On reconnait sa patte çà et là, il tente de s'approprier le film, mais au résultat ça reste un film d'action très médiocre qui va se perdre dans la masse. Kenneth, sors de la putain !

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Découverte

Sujet fascinant, mais hélas traité de manière trop scolaire. On ressent derrière une pièce de théâtre qui n'ose pas beaucoup et nous ressort les poncifs habituels de la seconde guerre mondiale, enrobé ici d'un nappage qui s'assimile, disons, à un téléfilm de luxe. C'est dommage, il y a des idées, je n'ai pas envie de détester, mais c'est trop basique compte-tenu du sujet et de l'universalité des questionnements qu'il pose.

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Revisionnage

Pour une raison que j'ignore, tant c'est à l'opposé des canons cinématographiques que j'aime, je trouve le cinéma de Bergman fascinant. Il m'emporte littéralement dans son torrent émotionnel, emprunt d'un réalisme traité tout en finesse. Une fresque de vie somptueuse pour l'une des plus belles histoires d'amour du cinéma. Puis cette précision dans la direction d'acteur, dans la réalisation, dans ce non-découpage qui laisse l'émotion naitre et se métamorphoser au sein d'un même plan... Non, c'est brillant, définitivement brillant.

J'ai vu la version cinéma (2H40), non le montage TV de 5h.

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Découverte

Il y avait sûrement quelque chose à faire avec une nouvelle adaptation de RoboCop compte tenu des évolutions de notre monde. Malheureusement, entre une production peu ambitieuse et un réalisateur aux idées refusées et ne sachant pas maitriser son style à une échelle Hollywoodienne, RoboCop se perd dans un abîme de conneries, s'auto-infligeant en permanence la comparaison avec son légendaire grand frère.

De toute façon, Paul Verhoeven chie dessus, à partir de là tout est dit.

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Découverte

Bon, je suis juste consterné en fait.

Dresser la liste de ce qui ne va pas dans la Belle et la Bête semble être un travail homérique, donc je ne vais pas vraiment faire de critique, juste un petit résumé de mon appréciation.

Le prologue est catastrophique. Il n'y a pas de choix dans l'adaptation de Gans, qui succombe à la trop éculée introduction "livre avec des pages qui se tourne" + "Il était une fois" + "voix off". Toute la narration du film est en elle-même un problème, autant les flashbacks que les flashforwards. Visuellement, c'est très plat dès qu'il n'y a pas de SFX dans les plans, c'est probablement la plus mauvaise manière d'utiliser le numérique.

Artistiquement, c'est inégal. Des designs intéressants, ceux du château, qu'on doit probablement à Patrick Tatopoulos, et d'autres affreux, ceux de la Bête en tête. Techniquement, le film est assez catastrophique. Beaucoup de choses ne vont pas, mais rien que la Bête synthétise tout le problème.

C'est très mal mis en scène. Peu de cadres pensés, qui veulent dire quelque chose. On reprend des plans pris un peu partout, dont même un qui vient de Transformers ( ! ). Ralentis/accélérés à gogo et mouvements de caméras accélérés, ça n'a vraiment pas sa place ici.

La direction d'acteur est catastrophique, je pense que c'est le pire point. La Bête dit "BAISSE LES YEUX ! BAISSE LES YEUX !!!", je pense que ça résume un peu l'esprit.

Il faut que Gans repense l'adaptation, honnêtement, il ne peut pas livrer un film qui, son dernier tiers mis à part, s'apparente à Legend qui est sorti il y a presque 30 ans, sans technologie numérique. Rien que faire le film en 3D aurait été bienvenu, pour une fois.

Où est l'apport ? Pourquoi ne pas l'avoir tourné en 3D ? Je sais pas, rajouter un truc ? Pourquoi reprendre des répliques qui sont déjà dans la version de Cocteau ? Pourquoi reprendre des effets (plans en lecture inversée) qui viennent de chez Cocteau ? Pourquoi nous infliger une cacophonie musicale absolument ignoble qui surfe quelque part entre du Danny Elfman et du Howard Shore ?

Je suis juste consterné, c'est tout. Et je ne me place pas dans une position "le Cocteau est mieux", je suis ouvert aux autres adaptations. Mais faut penser son cinéma, dans le fond et dans la forme. Mettre des géants, ça ne suffit pas. DES GEANTS ! DES PUTAINS DE GEANTS !

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Découverte

Assez fascinant. A l'instar de pas mal de films d'Hathaway, il se pose pas mal de question sur l'identité des Etats-Unis, puis à travers le monde du cirque, il parle de beaucoup de choses, c'est une sorte de méta-discours vraiment intriguant, qui évoque parfois un propos sur le cinéma aussi.

La séquence du naufrage est vraiment hallucinante, au passage. Et John Wayne, toujours une véritable institution, c'est touchant aussi. Je suis un peu déçu par la fin éventuellement, qui me parait un peu expédiée et facile.

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Découverte

C'est probablement l'un des films d'animation les plus rafraichissants de ces dernières années. Drole, dynamique, visuellement fou, c'est l'occasion revée de nous replonger dans les petites briques qui ont fait notre enfance.

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Découverte

C'est dommage, parce que le prologue est vraiment atroce et inintéressant avant le grand big boum, ça commence à avoir de l'intérêt quand ça pète, mais finalement, ça manque d'envergure. Enfin évidemment, tout s'effondre, il y a le tsunami, des effets spéciaux partout, etc, mais dans la mise en scène et tout, ça manque d'envergure. Ça n'a pas la démesure du pourtant très raté 2012, et il n'y a pas assez de moments WTF comme la galère dans les rues pour compenser.

Sincèrement, ça me met mal à l'aise de prendre un acteur comme Kiefer Sutherland pour lui faire jouer un personnage aussi couard, pitoyable et faible (alors que c'est le bad-guy).

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Découverte

Immense chef-d'oeuvre. J'avais déjà adoré Moonrise Kingdom et les précédents, mais là on tient peut-être le Wes Anderson absolu. Puis c'est une véritable orgie visuelle, un plaisir pour les yeux qui sert un fond fascinant, et tout un subtil méta-discours sur le cinéma.

Un film qui a besoin de décanter, mais d'ors-et-déjà un de ceux qui me fascine le plus sur ces dernières années.

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Découverte

Un bon film, mais malheureusement je ne suis pas transcendé. L'histoire est belle, évidemment, mélancolique à souhaits, mais je n'ai pas adhéré aux personnages, alors que pourtant j'ai totalement cru dans l'univers. Heureusement, c'est souvent sublimé par la très belle musique de Joe Hisaishi, qui est parvenue à m'émouvoir lors de quelques séquences. Finalement, c'est très confus comme sentiment, hélas je retiens surtout que je me suis ennuyé à de nombreuses reprises sur les deux heures, alors qu'il y a pourtant des thèmes et traitements formidables dans le film.

C'est peut-être là où ma méconnaissance de Miyazaki joue contre moi.

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Découverte

Étrange de fixer son ressenti sur le film. On retient vraiment des séquences d'exception absolument remarquables (Borodino ou encore la retraite de Russie), mais dans l'ensemble, on s'ennuie à plus d'une reprise et le premier tiers est carrément laborieux. Le problème est, malgré l'ampleur apparente du film, qu'il manque justement d'ampleur dans le fond. On est finalement loin de l'ambition cinématographiques des confrères de King Vidor, pensons à William Wyler ou Anthyony Mann dans leurs fresques. Du coup, il manque souvent l'étincelle, le truc de génie dans la réalisation, qui n'est d'autant plus pas transcendée par des décors qui font souvent... décors.

Mais ce film a aussi toute ma sympathie car j'y vois un peu le film matriciel dans la modernité (entendez par là, super-production en couleur de la période tardive d'Hollywood classique) de la fresque Napoléonienne (ou des époques environnantes), bien après le Napoléon d'Abel Gance. Un film clairement référentiel pour la version soviétique sortie dix ans plus tard, mais aussi pour d'autres films comme Waterloo ou Barry Lyndon.

Je distingue aussi le courage d'une telle production, lors d'une période de la Guerre Froide loin d'être aisée. Un film américain qui épouse le point de vue Russe, jusqu'à même le sublimer : c'est burné.

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Découverte

Un regard du Nouvel Hollywood par un de ses auteurs fondateurs sur le cinéma d'Hollywood classique, ça ne se refuse pas. C'est un film très beau, très énigmatique, tout en détail dans sa reconstitution et les anecdotes dispersées çà et là. C'est un film fait d'ombres, notamment celles du personnage de De Niro, libre au spectateur de les compléter. Un regard d'autant plus d'actualité de nos jours, sur une époque où les producteurs étaient vraiment des hommes de cinéma.

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Découverte

Le pire, c'est que dans ce maelstrom de conneries, il y a des choses à sauver. La bataille du prologue, malgré la narration en voix off atroce et extrêmement lourde, n'est pas inintéressante et le parti-pris "tout-numérique" + full-slow-mo est plus jusqu'au-boutiste que dans le film de Snyder. Et je trouve ça intéressant de faire du ralenti sensoriel, notamment quand on filme des gros plans ou des plans en longue focale (à la manière de WKW). Certains plans sont, disons-le, réussi en ce sens. En tout cas, il y a des choses à faire avec l'ultra-numérique, faut juste trouver les bons auteurs.

Sinon, c'est long, beaucoup trop loooonnng. Passé le côte "cinéma-catharsis" du film, qui est sans doute rigolo un quart d'heure, on se fait bien chier dans de nombreuses séquences de palabres inutiles. Heureusement, il y a Eva Green, qui même si elle a un personnage absolument minable, reste une très, très, très belle femme. Et on voit ses seins, en plus.

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Une note bien gentille, me direz-vous. Oui, je suis faible, mais j'avoue que le film honnête dans son ensemble en tant que petite série B, malgré un dernier tiers débile au possible qui ruine un peu toute la capacité du film à "thriller" son spectateur. C'est une avalanche de procédés faciles et peu subtiles, mais curieusement, on se prend au jeu. Puis, hormis des séquences de baston illisible, c'est correctement filmé.

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Découverte

Je ne connaissais pas Harold Lloyd, qui se présente comme une alternative efficace aux grands pontes du burlesque dans le cinéma américain. Harold chez les pirates et probablement le court le plus fendard présenté dans les Nouvelles (més)aventures d'Harold Lloyd. Ca ne va pas chercher très loin, mais c'est bien plaisant !

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Découverte

La situation stéréotypée par excellence, mais par chance le tout est court et assez rythmé.

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Découverte

La guerre des voisins made in Harold Lloyd, c'est rigolo. Les gags du début sont vraiment très plaisants, même si le rythme a du mal à se conserver jusqu'à la fin.

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Découverte

Belles pépées et burlesque au programme. Rien de neuf, mais le tout demeure assez sympathique.

Bilan Harold Lloyd : sympathique, même si malheureusement loin d'égaler les cadors du genre comme Chaplin ou Keaton, tant dans les sujets que dans leur mise en scène.