J'ai vu en 2016.

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Un film qui reflète une époque, une façon de filmer et une façon de jouer. De grands acteurs, des textes forts et la tragédie d'une France divisée qui se console dans la violence.

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Un huis clos où des hommes avides de liquidités s'interrogent sur un potentiel traquenard. Ce nouveau Tarantino a une belle aura et une direction artistique vraiment réjouissante. Les acteurs composent une toile variée pour une oeuvre hautement qualitative au final. Si la mise en bouche est longue, elle ne se fait jamais sans humour (souvent noir) et sans un brin de fantaisie. Entre du The Thing et Fargo, les 8 beaux salopards de Quentin ont conquis mon petit coeur. Surtout quand Ennio Morricone habille aussi bien ce dirty western.

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Ce film relève de l'essai anthropologique. En plus de tenir en haleine et d'avoir un montage pertinent pour un huis-clos, il montre les raisons qui poussent chaque humain à vouloir rester en vie et ce qu'il fera pour y arriver. De son éducation à ses préjugés, de sa religion à son égoïsme, sur quoi baserions-nous notre choix ? Justement parce qu'il joue sur les clichés, ce film montre bien qu'il a compris de quoi il parle. Une belle surprise.

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Malgré un montage au poil et un scénario bien mené, les obstacles qui le parcours sont parfois un peu tordus. Je me demande ce que cache réellement la salle vu qu'elle a l'air très équipées. Cela étant dit, Exam vaut clairement le coup d’œil. Des acteurs convainquant mais une portée moindre que Circle qui, s'il se base sur la même structure, demeure pertinent du point de vue social. Une bonne surprise malgré tout.

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Ce film est très dérangeant. Je ne sais pas quoi en penser. J'ai beau lui trouver une belle photographie et penser que des plans sont vraiment réussis, l'histoire n'a ni queue ni tête. C'est un mélange malsain de violence et de poésie, qui se donne un élan léger et emballé grâce à la métaphore du vent. Est-ce que la fin a une importance ? Aucune idée. Si le réalisateur a voulu montrer par le biais du "fuck" de son personnage punk qu'il pouvait se foutre des conventions du cinéma, il a réussi. Sono Sion a produit un film beau qui balaie votre cerveau.
EDIT : Je viens peut-être de comprendre le film. La volonté du réalisateur doit être de montrer et critiquer les vices de l'homme japonais par les clichés qu'il affectionne. De aberration de la narration dans les jeux vidéo ? Cela ne rend pas le films plus regardable. Dommage.

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Le mec est bon. Il a un jeu nerveux et efficace. Avec un fond d'analyse sociétal sur les comportements amoureux, ce spectacle est satisfaisant.

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Un bon film d'animation qui flirt avec l'auto dérision et des stéréotypes du monde animal du bien belle manière. Assurément le plus "pixar" des films Disney.

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Une anthologie inégale mais qui a le mérite de donner à voir des scènes parfois succulentes. Un esthétisme travaillé pour chaque partie, mention spéciale à la deuxième partie, et à sa bande son efficace.

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Un film qui vit à travers même sa façon de filmer. C'est un beau voyage, qui manque un peu de substance pour ce jeune héros qu'on croirait presque capricieux mais qui prend la vie du bon côté. Même dans ses mauvais choix.

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Une première partie réellement bien mise en scène. Le reste rattrape les wagons du Marvel traditionnel.

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Une belle idée de la mort. Du reste, c'est toujours un peu mou, ça fume, ça se regarde : le cinéma français.

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Un film dépaysant et reposant au son d'une BO envoûtante. Il y a quelque chose du monde qui évolue. Des choses qu'on ne regarde plus assez. Très beau film de Ben Stiller. En prime, le MacGuffin le plus cool depuis longtemps.

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Il est difficile de qualifier le film sans le film qu'il cache et l'histoire qu'il nous raconte. Jodorowsky est un fou qui a du coeur. Ce documentaire lui rend un bien bel hommage. Avec humour, passion et désir de partage.

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Voir la critique. Le fuck total.

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Que je n'avais pas revu depuis de très longues années. Il se voit attribué une couronne de lierre pour son statut de très grand Disney. Une adaptation française avec des punclines qui font mouche. Un thème principal efficace et une trame qui ressemble beaucoup à celle de Aladdin. Je ne pouvais qu'être fan.

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http://www.mandora.fr/mandora/critique-gods-egypt/

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Un film rafraîchissant qui n'hésite pas à jouer entre drame et humour débridé à travers les yeux de deux collégiennes. Très japonais dans l'esprit, il n'en reste pas moins universel.
http://www.mandora.fr/mandora/critique-hana-alice-menent-lenquete/

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Il m'a fait découvrir une nouvelle facette de cette super star. Agréable et entraînant.

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Un peu court pour le sujet traité mais plutôt bien fait grâce à un jeu séduisant de couleurs et à une ambiance oppressante.

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C'est tellement loin de ce que à quoi je m'attendais que j'en suis ressorti complètement conquis. C'est un film addictif et carrément impressionnant par bien des aspects. Un film qui a vieilli mais qui a quelque chose que n'ont pas les autres films. Une prestance captivante.

Annotation :

Un film qui rappelle la fantasy des années 90. C'est beau et c'est une histoire bien ficelé. C'est un poil trop théâtral et ça manque un peu d'âme mais tant pis. Il aura mis du temps à arriver mais je crois qu'on aurait pu avoir pire alors merci Duncan Jones & Co.

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Av. Karim Debbache// Le pitch est intéressant et la volonté de faire planer un mystère est sympa. Avec un vrai soin apporté aux plans du film. Par contre ça manque clairement de subtilités. Les quelques scènes d'humour sont bien faites et permettent de montrer la vision de la société sur l'ufologie mais je ne suis pas sûr qu'elles soient essentielles au film.
Ap. Karim Debbache// En fait c'est plutôt subtil si on prend en compte que oui, pendant tout le film, on est en train de voir des humains péter des câbles sur des aliens. D'où la vision de l'ufologie. Une vision du film qui me rappelle du coup beaucoup ma vision de Repo men.

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Malgré une structure plus proche de l'oeuvre originale, du comte de Greystoke, malgré la présence de Samuel L. Jackson et de Christoph Waltz, ce film est oubliable. C'est étrangement lent pour un blockbuster, c'est consensuel à souhait et aucun coup n'est véritablement montré. C'est une oeuvre aseptisé qui manque réellement de mordant. Dommage.

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Malgré un déroulement assez évident de sa structure narrative, Last Shift est une très bonne surprise et ce, grâce à une réelle volonté de mise en scène dans un cadre banal grâce à une photographie réussie. Preuve qu'on peut encore faire de bons films d'horreur sans prétentions.

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Redécouvert après une bonne décennie sans le voir, la 36ème Chambre est un film initiatique indémodable. Il allie apprentissage, combats et émancipation avec une efficacité redoutable.

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Une histoire catchy avec une ambiance amusante de show américain. Dommage que certains effets fassent sortir du cadre de la prestidigitation pour aller du côté du WTF. Je regrette un peu le syndrome "tout ça pour ça" mais ça reste un bon divertissement qui méritait justement une suite.

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Un défouloir percutant, drôle et inventif. On en demande plus.

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Les mêmes atouts que le premier, les mêmes défauts aussi et même pire. Un montage parfois aberrant. Des scènes franchement dispensables et une lecture un peu trop premier degré.

Annotation :

C'est dans la veine de ce qui se fait. Du pur shonen sur 2h avec l'originalité made by Oda et un climax de 15min assez chiadé.