Les Meilleures Histoires de Captain Marvel

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Un des grands récits cultes de Marvel, et à juste titre. L'excellent Jim Starlin nous raconte les derniers jours d'un grand héros cosmique qui ne peut rien faire face à son cancer.
Un classique qui mérite d'être lu.

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Un arc très réussi qui voit Captain Marvel partir en mission spatiale pour régler un problèmes de migrants extra-terrestres qui ne trouvent pas de planète adaptés pour eux.

C'est vraiment une très bonne histoire. C'est super accessible, bien mené, avec des personnages attachants et des dessins bien entendus superbes et très vivants de l'excellent David Lopez. Si vous voulez une bonne histoire de SF à la cool, pas forcément ultra épique, je recommande vraiment cet arc, qui fait vraiment aimer l'héroïne.

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Une mini-série que j'ai trouvé pour ma part excellente où Carol Danvers retourne dans la maison de vacances de sa jeunesse et découvre de gros secrets de famille.

Ce que j'ai bien aimé dans cette histoire, c'est le côté super-héroïque très en retrait, avec très peu de baston, pour plus se concentrer sur le drama familial. On a en plus de très grosses révélations qui redéfinissent complètement les origines secrètes de Carol Danvers. La nouvelle origin-story ressemble à certaines d'autres héros mais elle n'est clairement pas inintéressante.

Le vilain de cet histoire n'est clairement pas très marquant, mais il faut bien comprendre que ce n'est de toute façon par le cœur de l'intrigue.

Carlos Pacheco est étonnement hyper bon pour raconter cette histoire plutôt terre-à-terre, et les quelques pages de flash-back signées Marguerite Sauvage sont excellentes.

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Reprise de la série Captain Marvel après la guerre krees-skrulls. Les premiers épisodes sont un peu laborieux, mais après on part sur une grosse odyssée cosmique à la Starlin avec la première grande saga face à Thanos qui récupère le Cube Cosmique. C'est toute la mythologie du Titan Fou qui démarre et c'est passionnant à découvrir. Captain Marvel se métamorphose en héros cosmique noble et surpuissant pour une aventure aux enjeux hors norme, son allié de fortune Rick Jones, d'abord mis en avant en début d'intégrale, se mettant de plus en plus en retrait.

C'est un Starlin encore en début de carrière mais qui propose déjà un récit dans son style bien à lui et qui feront son succès plus tard avec Infinity Gauntlet. Et c'est certainement une des aventures les plus épiques qu'ait pu vivre Captain Marvel.

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Qui aurait cru qu'un arc tie-in à un event (Empyre en l'occurence) pourrait être aussi bon ? C'est pourtant le cas ici, avec cette histoire qui est certainement une des meilleures du run de Kelly Thompson sur le personnage.

Captain Marvel récupère le marteau de Ronan l'accusateur et un costume kree, mais n'est pas possédée par une force maléfique ou obligée de jouer la vilaine comme dans l'arc précédent, ce qui est fort chouette. Ensuite, l'arc a beaucoup de bons twists dans les premiers numéros, ainsi qu'un excellent nouveau personnage qui s'avère être un ajout majeur à la mythologie de Captain Marvel. Ce nouveau perso a un super design, une excellente caractérisation et a le droit à des scènes comiques hyper drôle et efficaces et c'est indubitablement la star de cet arc. J'espère vraiment que ce perso réapparaîtra rapidement dans la série.

A côté de ça on a donc une enquête bien menée, un vilain plutôt bien trouvé, de bons dialogues et pas mal de scènes réussies. Vraiment une très bonne lecture, surtout que la partie graphique est hyper solide. Cory Smith a un style très classique mais on sent qu'il soigne les attitudes des personnages, leurs expressions, les décors et sa mise en page et le résultat est vraiment super efficace. A mon sens, c'est peut-être l'artiste qui a le plus mis en valeur les scripts de Kelly Thompson jusque là dans ce run.

Bref, une excellente histoire de Captain Marvel à mon sens, que je recommande très chaudement.

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C'est une aventure des Avengers, mais Captain Mar-Vell y joue quand même un rôle important, bien qu'il passe beaucoup d'épisodes à être alité, à se faire enlever et à être prisonnier... Donc ce n'est pas forcément là que sa valeur sera le plus mis en avant mais on y voit quand même des choses comme la rivalité entre les krees et les skrulls. mais aussi une transition pour le personnage entre la fin de sa série solo en 1970 et sa reprise en 1972, avec un statut quo légèrement modifié. Bref, si vous vous faites tout l'historique du personnage, mieux vaut lire cette histoire, surtout qu'elle sera régulièrement référencée dans ses aventures.

En tout cas de bons épisodes, bien menés par Roy Thomas et surtout superbement illustrés notamment par Neal Adams et John Buscema en grande forme qui livrent des visuels hyper épiques, élégants et dynamiques.

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Premier tome du long run de Brian Reed sur Carol Danvers, à l'époque où elle ne s'appelait encore que Ms. Marvel. Mais ce run pose les bases de l'ascension moderne de l'héroïne jusqu'à son changement de nom en Captain Marvel.

En fait Carol Danvers se rend compte qu'elle est devenue une héroïne de seconde zone alors qu'elle a le potentiel d'être bien plus. Elle veut devenir la meilleure version d'elle-même, revenir au premier plan. Sauf qu'elle a encore des progrès à faire, et c'est ça qui est génial dans cette série, c'est que Carol passe son temps à faire des erreurs, à galérer pour y arriver et elle doit arracher chaque victoire, rendant les histoires assez palpitantes.

Franchement un très bon tome pour débuter avec le personnage et surtout pour ceux qui veulent une histoire qui définit clairement son caractère et son concept de base.

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Les débuts du premier Captain Marvel. C'est du bon comics old-school comme on les aime, avec des dessins forcément superbes de la part de Gene Colan, et un concept amusant avec cet extra-terrestre kree qui essaye de passer inaperçu sur terre en infiltrant une base de l'armée de l'air américaine et qui doit en même temps gérer son collègue bien décidé à le trahir et à lui piquer sa copine (oui, on a du soap extra-terrestre !).

Franchement très efficace et très sympathique.

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Un tome vraiment sympathique, idéal pour découvrir l'héroïne, parce qu'il permet d'enfin comprendre le caractère de Carol Danvers, qui m'avait toujours échappé jusque là. Ici on comprend mieux ce qui la distingue des autres héros, ses motivations, ses buts. C'est moins bien que le tome 1 de 2014, mais le personnage est mieux défini.

Pour l'histoire, on part sur une étrange histoire à base de voyage dans le temps, avec un avion obtenu en héritage, et des aventures durant la seconde guerre mondiale aux côtés d'une escouade de femmes soldats super balèzes face à l'armée japonaise. Je ne suis pas sur que c'était la meilleure histoire pour commencer les aventures de l'héroïne sous ce nouveau nom, mais ça reste un bon prétexte pour le propos de l'arc et ça permet de présenter un nouveau personnage déterminant dans la vie de Captain Marvel.

Aux dessins on appréciera surtout les deux épisodes de fin illustrés par Emma Rios, même si Dexter Soy fait un boulot tout à fait honnête sur les premiers épisodes, mais peut-être un peu trop froid à mon goût.

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Ce n'est pas du Captain Marvel à proprement parlé, mais on reste dans l'héritage du personnage, avec les aventures de cet autre kree qui se retrouve à vivre des aventures sur Terre.

Sauf que celui-ci vient d'une autre réalité, n'arrive pas sur notre planète de son plein gré et n'en tombe pas amoureux. A la place il vit une saga totalement folle, écrite par Grant Morrison, connu pour ses récits perchés, et par conséquent ce n'est pas une histoire très évidente d'accès, mais qui est remplie de bonnes idée, en particulier ses antagonistes : le Docteur Midas et sa fille Oubliette qui ont depuis fait leur come-back avec Original Sin.

Les dessins de J.G. Jones sont très solides pour qui aime les styles spectaculaires et cinématographiques du début des années 2000, un peu dans la lignée des travaux de Bryan Hitch.

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3e gros arc du Captain Marvel de Kelly Thompson, où l'héroïne est visiblement passée du côté des vilains et doit abattre ses collègues Avengers un à un. L'entourloupe est rapidement révélée au sein de l'arc, et tout l'enjeux reste ensuite de savoir comment Captain Marvel va se tirer de se mauvais pas.

C'est un arc très blockbuster, à la narration plutôt décompressée, avec beaucoup de baston et des pages avec peu de cases. Un vrai changement de rythme par rapport aux arcs précédents, peut-être accentué par le changement d'artiste et l'arrivée du très chouette Lee Garbett, au style plus dépouillé que celui de Carnero, mais qui se sort très bien des nombreuses bastons de cet arc. Tamra Bonvillain continue d'être à la colo, et son style de colorisation colle très bien aux dessins de Garbett.

L'arc est plutôt efficace, et j'étais content de revoir Singularity, personnage créé dans A-Force et qui été porté disparu depuis. Mais ça ne m'a pas passionné non plus. Je trouve certains éléments de l'intrigue un peu bancals (notamment comment Tony Stark peut construire des gadgets dans un endroit sans outils ou ordi ?), les vilains ne sont pas dingues et une fois le twist révélé, on a pas de gros rebondissements. Et il n'y a pas non plus de scènes fortes et marquantes. Bref, ça fait le taff, mais ça reste, à mon sens, un arc plutôt oubliable.

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La scénariste Kelly Thompson débarque sur Captain Marvel, aux côtés de Carmen Carnero aux dessins et Tamra Bonvillain à la colo. Et si la caractérisation du personnage est excellente (une bonne synthèse des runs de Reed et DeConnick sur le perso) et le fait d'en refaire une héroïne agissant sur Terre et non plus avec Alpha Flight dans l'espace est un retour aux sources bienvenu... Ce premier arc a du mal à être vraiment renversant.

Captain Marvel se retrouve dans un New-York post-apo à combattre Mahkizmo le Nuclear Man, un ennemi macho pas foufou. C'est chouette de voir pleins d'héroïnes réunies à côté de Carol, que ce soit Spider-Woman ou Echo que l'on voit trop rarement, mais l'arc patine un peu avec un gros ventre mou au milieu.

Les dessins de Carnero sont très efficaces, mais n'arrivent peut-être pas à retranscrire toute la drôlerie des scénarios de Thompson.

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Au programme de ce tome : la rencontre (malheureusement ratée) avec Monica Rambeau, la précédente Captain Marvel, autour d'un combat nul à chier face à un robot géant fait de carcasses d'avion.

Ensuite on a le gros arc du tome, bien plus réussi, avec Carol qui revient à New-York, et qui permet de découvrir vraiment l'univers de l'héroïne, notamment tous les personnages secondaires qui gravitent autour d'elle. Mais on a aussi le droit a une intrigue bien menée où Carol se découvre un genre de maladie incapacitante et doit tout de même combattre une adversaire redoutable. C'est plutôt réussi, bien aidé par les dessins expressifs d'Andrade (qui n'ont rien à voir avec le style de Soy qui oeuvre sur la partie avec Monica Rambeau) et les belles couleurs lumineuses de Bellaire.

Un bon complément au premier tome, mais on reste globalement dans des histoires assez anecdotiques.

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J'ai déjà parlé des débuts de Captain Marvel avec le Marvel Classic plus haut, mais ce Masterworks se permet d'aller un peu plus loin. Globalement, les épisodes de Stan Lee, Roy Thomas et Gene Colan sont franchement sympathique, avec pas mal de bonnes idées et une dynamique de soap opera efficace. Comme dit, j'aime beaucoup l'idée de suivre un extra-terrestre infiltré sur Terre, qui hésite entre son allégeance pour les krees et la protection des humains.

Par contre les épisodes scénarisés par Arnold Drake sont clairement en-dessous, avec des vilains inédits mais un peu pourris (Metazoid, Solam ou Cyberex n'ont pas vraiment fait carrière) et un côté un peu trop répétitif. Et les dessins de Don Heck sont aussi inférieurs à ceux de Colan.

Ça reste un premier Marsterworks sympa, mais clairement pas dénué de défauts, et c'est dommage que les auteurs ne passent pas plus de temps à définir et présenter la mythologie des krees.

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Le premier event qui met autant en avant Carol Danvers. Le fait de donner un caractère un peu militaire au perso, inquiète du futur et prête à tout pour éviter une catastrophe future est intéressant. Le problème est qu'au bout d'un moment, ça part un peu en caricature quand le personnage n'arrive pas à se rendre compte des failles dans son point de vue.

Du coup, pas sur que le personnage sorte vraiment grandi de l'event, surtout avec son rôle d'antagoniste qui ne risque pas de donner envie aux lecteurs de l'aimer.

Et surtout cet event n'est pas non plus une histoire sensationnelle malgré une partie graphique plutôt solide.

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Y a écrit Avengers en énorme mais c'est plus un arc de Captain Marvel.

C'est par cette histoire que j'ai découvert le personnage en solo, et il y avait quelques bonnes choses comme les dessins de l'excellent Scott Hepburn notamment, ou le fait de revenir un peu sur les origines du persos pour ceux qui, comme moi, n'étaient pas trop au courant. Mais au-delà de ça, c'est une aventure assez anecdotique dont j'ai quasiment tout oublié. C'était pas nul, seulement pas très marquant.