Mon Animéthèque japonaise

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Un bijou...

Voir critique : https://www.senscritique.com/serie/Erased/critique/202404029

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Un classique, un incontournable, une claque esthétique visuelle et musicale… Cette série est l’une des meilleures références en matière d’association de styles : science-fiction, western, thriller, épouvante, comédie, romance, huis-clos… Le tout déposé sur l’une des meilleures bandes originales de tous les temps : blues, rock, jazz, classique… La musique et l’image s’associent à merveille, tout fonctionne ! Certaines scènes possèdent une puissance artistique indéniable, et crèvent l’écran par une grande maîtrise dans leur conception. Les protagonistes ne manquent pas de volume, et le scénario, ni trop complexe ni trop simpliste, mélange habilement loners et épisodes « fil rouge », pour finalement aboutir à une conclusion magistrale !

Malgré toutes ces qualités, certains n’accrocheront pas à Cowboy Bebop, lui reprochant une ambiance sans doute trop particulière, trop musicale, avec trop d’épisodes indépendants… Dans tous les cas, le visionnage de ces 26 actes ne sera jamais une perte de temps, juste pour savoir que cela est possible, et que cela existe.

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N’ayant pas (encore) vu la série de 2003, il m’est impossible d’établir une comparaison entre les deux adaptations du célèbre manga… Cependant, ce remake de 2009 représente à mes yeux l’œuvre idéale pour s’initier au monde des animés japonais, dans le sens où il contient tous les ingrédients qui font le succès d’une telle série.

Ni trop longue ni trop courte, l’histoire s’échelonne tambours battants sur 64 épisodes. Le spectateur pourra être surpris par l’immersion totale que propose le premier épisode, mais ce brusque plongeon dans l’univers d’Amestris et de ses alchimistes est tout à fait volontaire, les épisodes suivants prenant beaucoup plus leur temps. L’humour et les moments dramatiques se côtoient à merveille au fil d’aventures riches en action, en sujets de réflexion ou en leçons de vie. Edward et Alphonse Elric sont deux protagonistes des plus attachants… Drôles, courageux, maladroits, têtes brûlées, ils sont parfaits dans leurs imperfections.

En bref, une série à la frontière du shônen et du seinen qui n’a pas de réels défauts, à moins de chipoter un peu… Et attention quand même à la vague de nostalgie qui peut nous envahir après la fin du dernier épisode… !

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Si l’on m’avait dit un jour qu’une telle série existait, je ne l’aurais tout simplement pas cru… Il faut vraiment le voir pour le croire ! Réussir à captiver autant l’attention sur 2 saisons entières, au travers d’histoires indépendantes toutes plus mélancolico-philosophico-spirituelles les unes que les autres, le tout dans une ambiance de nature « zen », relève du tour de force : ne cherchez pas de scènes d’action ou de moments de suspense intense, il n’y en a pas, il n’y en a pas besoin !

Nous suivons Ginko, un protagoniste qu’on aimerait beaucoup avoir comme ami, au gré d’épisodes prenant la forme d’enquêtes policières. C’est un spécialiste des mushis, des esprits vivant parmi nous mais sur un autre plan d’existence. Quelques autres personnages un peu récurrents donnent un semblant de continuité à l’ensemble, mais sans plus.

Sans exagération aucune, il s’agit de l’une des plus belles séries qu’il m’ait été donné de voir dans ma vie, et j’ai pu savourer chaque histoire comme une friandise… Mais nous avons tous bien entendu des tempéraments qui diffèrent, et cette oeuvre en rebutera à mon avis plus d’un, c’est inévitable… C’est bien simple : on aime, ou on aime pas. En tout cas, si l’on est objectif, c’est juste une véritable réussite !

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Voir critique : https://www.senscritique.com/serie/Le_Rakugo_ou_la_vie/critique/217003598

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13 épisodes de psychanalyse de la société japonaise à la sauce Satoshi Kon… et le résultat est juste brillant !

Attention cependant… Cette série aborde des sujets sensibles d’une manière atypique, ce qui pourra en dérouter plus d’un. De plus, Satoshi Kon est toujours très fort pour nous perdre à la frontière du réel et de l’imaginaire, usant d’allégories habilement mises en scène, ce qui rend le message parfois difficile à appréhender même si celui-ci est toujours intelligemment amené. Quant à la fin du dernier épisode, elle pourra laisser le spectateur pantois…

Bon à savoir : Paranoia Agent ne prend jamais son public pour un imbécile.

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Une incroyable surprise ! Un thriller sombre, violent, oppressant, rondement mené sur 74 épisodes… Des personnages nombreux et rigoureusement travaillés (même les enfants y sont réalistes !), un scénario cohérent et alambiqué qui réserve de nombreux twists… Une oeuvre qui se paye le luxe de nous entraîner dans le sillage de l’un des antagonistes les plus complexes et fascinants de l’histoire des séries…

En bref, une ambiance unique tissée de main de maître par Naoki Urasawa, l'un des mangaka les plus réputés. Réservé néanmoins à un public adulte, éventuellement post-adolescent pour les plus résilients.

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Enfin un shônen nekketsu qui ne soit pas interminable ! 148 épisodes (pour l'instant) durant lesquels les arcs narratifs s'enchaînent à la perfection et sans temps mort ! Comparé à Dragon Ball Z, Bleach, Naruto, Fairy Tail et autre One Piece, Hunter x Hunter constitue une aventure d'une pertinence, d'un dynamisme et d'une fluidité des plus agréables à vivre, et n'a pas besoin de plusieurs mois voire années pour être visionnée. Dans mon souvenir, l'histoire ne possède pas d'incohérence particulière, et surprend même souvent par ses contre-pied scénaristiques, se démarquant ainsi des écritures classiques du genre.

Ajoutons à cela des protagonistes plutôt ambiguës malgré leur statut de héros. Hunter x Hunter nous dévoile en effet des personnages qui ne sont jamais vraiment tout blanc ou tout noir, et même si le camp des "gentils" et celui des "méchants" se dessinent assez clairement, la frontière entre les deux n'est jamais parfaitement nette, et nos amis Gon, Kirua, Leolio et Kurapika possèdent une part d'ombre bien marquée qui n'a parfois rien à envier à celle de leurs ennemis, ce qui les rend d'autant plus intéressants à suivre. De plus, leur évolution demeure très bien équilibrée, fluide et crédible tout au long de l'histoire.

Il s'agit selon moi de la meilleure série du genre nekketsu, tout simplement parce que je la trouve meilleure que Dragon Ball Z...

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Une série d'exception, d'une richesse incroyable... Une allégorie des vertiges de l'existence, et surtout de l'adolescence... Une violence implicite omniprésente, parfois à la limite du supportable lorsqu'elle nous parle un peu trop... Une oeuvre qui a changé ma vie à jamais...

J'aime cette série, et je la déteste à la fois...

Voir critique du film The End of Evangelion, point d'orgue de la série : https://www.senscritique.com/film/The_End_of_Evangelion/critique/208003756

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N'ayez pas peur de la longueur de la critique... Cette série est inspirante et inspirée, alors j'avais beaucoup de choses à dire !

Voir critique : https://www.senscritique.com/serie/March_Comes_in_Like_a_Lion/critique/238340032

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Une histoire de samouraï, un mélange d'ère Edo et d'ambiance urbaine, de chambara et de hip hop moderne... Si si c'est possible ! Shinichirô Watanabe réitère ici l'expérience improbable testée sur Cowboy Bebop, à savoir le mélange de genres cinématographiques et musicaux qui n'ont rien à voir entre eux, et ça marche encore une fois !

Que dire de plus, sinon que Samouraï Champloo réussi quand même un petit tour de force en nous attachant à des protagonistes que l'on aurait pas spécialement fréquenté dans la réalité. Mais nos trois compagnons de route Jin, Fuu et Mugen sont tellement bien fouillés qu'il est difficile de ne pas faire preuve d'un minimum d'empathie. Et sur la route qui les mènera au "samouraï qui sent le tournesol", entre moments dramatiques et moments d'humour plus apaisants, ils seront souvent rattrapés par un passé douloureux voire cruel.

A voir, vraiment... d'autant plus que la série réserve des anachronismes savoureux et un final qui vaut le détour !

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On est en présence ici de l'une des références cyberpunk les plus populaires, avec Bladerunner notamment. Il est difficile de parler de Ghost in the Shell, tant cette série aborde quantité de sujets de réflexion divers et variés, que ce soit en (géo)politique, sociologie, philosophie, ontologie, psychologie, et intelligence artificielle bien sûr... Après cette énumération, la série peut paraître de loin plutôt froide et intellectuelle, ce qui n'est pas totalement faux ! Mais je peux assurer qu'elle réserve néanmoins quelques moments d'émotions très forts...

Les deux saisons sont de qualité équivalente, et suivent chacune de leur côté une trame scénaristique bien précise et organisée. Les épisodes qui les composent (52 en tout) peuvent s'avérer de qualité un peu inégale, parfois selon les sujets traités, mais l'ensemble vaut le coup sans problème. Mention spéciale à la bande originale signée Yoko Kanno (Cowboy Bebop, Terror in Resonance, Kids on the Slope entre autres...), qui s'autorise ici une magnifique parenthèse électro dans sa carrière de pianiste de jazz, preuve que cette musicienne est décidément capable de tout composer !

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Death Note a réussi dès le départ à se faire une place de choix dans la culture populaire bien au-delà des frontières du Japon, notamment grâce à un scénario incroyablement accrocheur mettant en scène un duel à couper le souffle entre deux génies haut en couleur ! Thriller fantastique sombre teinté de fantasy, cette série interroge principalement sur le sens de la justice, en opposant deux paradigmes bien marqués et symbolisés par Light et L.

Une brillante partie d'échec... cérébrale et alambiquée... tout en tension et en révélation... gravitant autour de règles du jeu dictées par un mystérieux carnet venu d'outre-monde... Il y a de quoi nous faire saliver, et tout fonctionnerait bien si l'ensemble de ces qualités ne représentait pas aussi le principal défaut de la série... On reproche en effet souvent à Death Note d'être trop porté sur la cérébralité de son scénario, et par conséquent trop vide sur les messages de fond et les émotions des personnages, même si cela ne manquera pas à tout le monde, l'histoire n'ayant sans doute pas été créée pour ça.

J'ajouterai un léger regret vis-à-vis d'une seconde partie un peu moins encourageante que la première, et qui découle directement d'un élément scénaristique plus que culotté, bien que la qualité du final puisse nous réconcilier avec cet écueil passager.

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Cela fait bien longtemps qu'on ne présente plus L'Attaque des Titans, ou SnK (Shingeki no Kyojin), tant cette série et le manga dont elle est issue ont déchaîné les passions dans la culture populaire à l'échelle mondiale. On la compare parfois à certaines séries américaines en terme de succès, d'impact sur le public, d'influence sur les masses, et on la surnomme parfois "le Game of Thrones japonais".

SnK possède en effet tous les ingrédients d'une série à succès : un univers steampunk riche et singulier, un scénario fascinant, des personnages charismatiques et bien travaillés pour la plupart, une tension omniprésente, des révélations incroyables, un visuel décoiffant, une bande originale tout aussi décoiffante, une saison 3 qui réserve un des plus grands sommets d'intensité tout animé confondu, sans oublier un certain niveau de violence qui fait toujours son petit effet...

Mon seul véritable regret concerne ce dernier point justement, dans le sens où SnK est estampillé shônen alors même qu'il véhicule une brutalité digne d'un seinen. En cela, je trouve que cette série n'est pas totalement honnête avec son public... Même Fullmetal Alchemist Brotherhood ou encore Death Note, considérés comme des "shônen matures", ne vont pas aussi loin dans la violence. Prudence donc !

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Voir critique : https://www.senscritique.com/serie/Vinland_Saga/critique/213755787

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Mi-animé sportif mi-slice of life, Run with the Wind raconte sur 23 épisodes la rencontre d'un groupe d'étudiants et leur préparation physique au Hakone Ekiden, une célèbre course de relais inter-universitaire qui a lieu tous les ans les 2 et 3 janvier entre Tokyo et Hakone.

Un visuel propre, des personnages crédibles et attachants, un humour fin et bien distillé, des messages de fond bien amenés sur la mentalité dans le milieu sportif et la vie en tant que jeune adulte, sans oublier un final aux petits oignons... Cette série trop peu connue est vraiment d'une qualité surprenante et représente une belle leçon de vie. M'en détacher n'a pas été simple pour moi tant l'alchimie a fonctionné... Bref, c'était trop court !

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Voir critique : https://www.senscritique.com/serie/Seirei_no_Moribito/critique/204487267

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Voir critique : https://www.senscritique.com/serie/Mob_Psycho_100/critique/212302547

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Arc de 12 épisodes adapté de la première partie du manga éponyme, cette première saison de The Promised Neverland est un "prison break" mené tambour battant par une bande de gamins tous plus attachants les uns que les autres. Nos jeunes orphelins évoluent dans une atmosphère sombre et oppressante où la tension se fait constamment ressentir, un univers dont ils ne savent pas grand chose, nous non plus d'ailleurs... La série hypnotise, les épisodes se gobent un à un comme des friandises, l'environnement se dévoile très progressivement au gré d'une histoire riche en découvertes et en révélations... Une véritable réussite !

En revanche, je ne saurais trop vous conseiller de lire le manga pour connaître la suite, la saison 2 étant apparemment un échec total...

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Animé sportif teinté de shônen nekketsu, Haikyu!! a réussi l'exploit de me faire aimer le volley ! Son astuce ? On y apprend tout simplement le jeu en détails, grâce à une pédagogie au compte-goutte parfaitement claire et maîtrisée, le tout dans une bonne humeur décoiffante et un humour diaboliquement efficace !

Motivation, abnégation, travail et patience, rivalité, esprit d'équipe, dépassement de soi, gestion des émotions, confiance en soi et envers les autres... Autant de valeurs et de sujets abordés par une série dont la mise en scène dégage un dynamisme incroyable ! Mention spéciale pour le travail de doublage qui, encore une fois, ne nous déçoit pas une seconde. Et en plus c'est visuellement beau !

A consommer sans modération !

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Shinichirô Watanabe (Cowboy Bebop, Samouraï Champloo...) s'essaye ici au slice of life, et c'est encore une belle réussite ! A croire qu'il ne sait décidément pas rater...

La réalisation est propre, c'est visuellement et musicalement beau, et les personnages sont attachants. C'est simple, réaliste, touchant, et surprenant parfois... L'histoire gravite autour du jazz, et nous suivons les bonheurs et les déboires d'un groupe de lycéens en proie aux enjeux de la jeunesse. Ces 12 épisodes coulent tout seul, c'est un délicieux moment à passer.

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"Steins;Gate c'est incroyable ! Steins;Gate c'est nul..." Les deux discours existent, mais quelque chose me dit que le second sort peut-être de la bouche de ceux qui ont abandonné le visionnage avant la moitié de la saison !

Il est vrai que cette première partie laisse à désirer, malgré un univers intéressant dans sa globalité et un premier acte qui laisse incrédule, mais les épisodes suivants peuvent malheureusement nous faire déchanter... On y côtoie en effet des personnages stéréotypés assez creux et aux répliques parfois poussives, le tout au milieu d'une ambiance naïve dans laquelle il ne se passe au final pas grand chose... Mais patience jeune padawan ! Car la seconde moitié réserve son lot d'actions décoiffantes, d'intrigues complexes et de retournements de situation ; un arc passionnant dans lequel il est aisé de se perdre si l'on n'a pas été suffisamment attentif dans le premier... Ça vaut donc le coup de continuer !

De plus, je ne saurais trop vous conseiller Steins;Gate 0, une seconde saison beaucoup plus équilibrée sur l'ensemble avec des protagonistes bien mieux travaillés et donc plus attachants. Une suite des plus originales, dans le sens où elle n'en est pas vraiment une...

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Voir critique : https://www.senscritique.com/serie/Assassination_Classroom_Second_Season/critique/249138787

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Histoire de robots créée en hommage au personnage d'Astro Boy et à son créateur Osamu Tezuka, Pluto m'a laissé une impression un peu mitigée...

Les sujets de réflexion ne manquent pas, loin de là ! le nombre de personnages non plus, et le scénario évolue en se complexifiant de plus en plus (peut-être trop ?) au fil des épisodes ; le propos pamphlétaire est évident, le manga ayant été élaboré dans un contexte post-guerre d'Irak. Seulement voilà, le format est tout de même assez court, et il est de ce fait très difficile d'exploiter autant de matière sans parfois la survoler plus ou moins selon les thèmes abordés. Reste que Naoki Urasawa, auteur du brillant Monster entre autre, s'en sort plus que bien, et n'aurait sans doute pas pu faire mieux dans ce format-là.

Aficionados, comme moi, de futurs lointains, de robots et d'IA, de réflexions sur ce qui fait de nous des humains, vous passerez un très bon moment de science-fiction !

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Voir critique : https://www.senscritique.com/serie/Barakamon/critique/217003797

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En voilà une belle surprise ! Une série que je vais ranger parmi celles qui m'auront fait le plus rire ! Un humour induit par un scénario astucieux et des personnages irrésistibles qui donnent lieu à des situations burlesques surprenantes, un régal !

Mais cela n'empêche pas cette histoire d'aborder dans le même temps des sujets un peu plus sérieux tels que la famille, l'enfance, l'éducation, et parvient à nous faire voir le monde à hauteur de femme, d'homme, et d'enfant. Mais ne nous méprenons pas ! Il s'agit avant tout d'un divertissement pas très sérieux, et le ton reste léger dans l'ensemble. Tout est bien dosé, les épisodes sont dynamiques et accrocheurs, et l'on est parfois gratifié de quelques clins d'oeil à d'autres animés.

A consommer sans aucune modération, ne serait-ce que pour aider Anya et sa "famille" à sauver le monde !

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Un animé vraiment atypique que voilà... L'Odyssée de Kino ne plaira pas à tout le monde, mais vous ne perdrez pas votre temps à regarder les 13 épisodes qui composent cette série. Chaque acte correspond à une destination dans le voyage de Kino et de sa moto parlante Hermès, une escale à laquelle est toujours associée une morale, une leçon de vie. La mélancolie, omniprésente, se mêle à la poésie et parfois à la violence. On en ressort pensif...

On tient là une véritable curiosité dans le paysage des animés japonais.

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Parce que c'est mon enfance...
Parce que Miyazaki...
Et parce que c'est vraiment bien !

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Est-ce que tu aimes vraiment ce que tu fais ? En voilà une question déstabilisante que Tsurune n'hésite pas à nous poser afin de nous prouver ses potentiels bienfaits...

Tout comme Run with the Wind, Tsurune est un animé sportif teinté de slice of life. Aussi élégante que le sport qu'elle met en avant, cette série n'en est pas moins un peu trop courte, et aurait mérité quelques épisodes supplémentaires pour prendre le temps de développer certains personnages trop délaissés, ou encore certaines rivalités entre participants. Mais l'on passe néanmoins un très bon moment à caractère pédagogique en compagnie de ces jeunes passionnés de tir à l'arc, et j'en garde personnellement un souvenir très doux...

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Voir critique : https://www.senscritique.com/serie/Dororo/critique/207174589