Top 10 Films selon OuaZz

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Une merveilleuse fable sur le pouvoir guérisseur des histoires. Un récit délicat sur la difficulté de grandir tout en devant faire face aux émotions contraires qui nous traversent. Un film poétique et tendre sur le deuil et son acceptation (du moins comment l'apprivoiser). Il me rappelle ô combien les contes peuvent nous aider à comprendre le monde et nous-même, à apprivoiser la douleur et la confusion. Car "là où il y a des monstres, il y a des miracles."

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C'est un peu comme si Pixar s'aventurait dans le cinéma en prise de vues réelles, mais en y injectant une bonne dose de mélancolie et de névroses existentielles. Une étoile étrange où l'imaginaire déjanté et enfantin de Gondry côtoie nos fêlures. Transformer la mémoire en un terrain d'aventure émotionnel et l'amour en labyrinthe chancelant qu'on traverse à tâtons = du grand cinéma qui effleure la démence d'un K. Dick et le charme d'un Allen.

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Mise en orbite du merveilleux selon Spielberg : un vertige cosmique qui frôle le mystique mais ancré dans le quotidien le plus banal. Un film qui conjugue rupture intime devant l'émerveillement du contact extraterrestre. Un drame intérieur qui tutoie le Cosmos et s'étire vers l'infini, où le besoin de croire en quelque chose de plus grand devient une pulsion irrépressible (quitte à faire exploser la cellule familiale). La fiction fait briller ce qu'il y a de plus fragile et extraordinaire en nous : notre amour et curiosité.

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🍦Avec la trilogie Cornetto, Wright et Pegg s'amusent comme des Gremlins à détourner les codes du cinéma de genre avec une passion geek et un talent de narration et de mise en scène millimétrées. Tout ça pour quoi ? Nous proposer le portrait d'une génération bercée de cinéma, qui utilise la fiction comme un filtre (magique ou déformateur pour affronter la réalité - à vous de voir de quel côté de la pièce vous êtes).

Derrière l'humour potache et les clins d'œil, l'immaturité et les vestiges de l'enfance guettent. Il faut grandir, mais sans s'oublier. Le duo raconte avec tendresse (et une pointe de mélancolie) ce que ça fait de devoir se construire une vie à travers les récits des autres, d'avoir à grandir dans un imaginaire collectif saturé de super-héros, de monstres, de blockbusters et de VHS usées. Et de finalement devoir apprendre à en faire quelque chose de plus que le simple fait de se contenter de les regarder en boucle.

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Mon Pixar préféré. Le mélange parfait de légèreté, d'action, de réflexion et d'émotion. Le combo gagnant que chacun rêve d'écrire. Une leçon de scénario et d'animation. D'où mon amour et respect inconditionnels pour ce studio avec lequel j'ai passé une bonne partie de mon enfance et que je continue de suivre avec le même engouement fanatique. Un film de Pixar est toujours gage d'un bon moment. Et ça, c'est fichtrement important !

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Odyssée galactique de légende et tour de force de mise en scène ainsi que d'effets spéciaux "old school" formidables. Star Wars, ou l'art de transcender un sujet de pulp en chef-d'œuvre intemporel. C'est simple, quand on regarde cette œuvre, on se dit que rien n'est impossible. On fantasme. C'est comme recevoir les clés d'un royaume où l'horizon ne serait qu'une légende. Et rien que pour ce joli cadeau, cette inspiration sans borne, Star Wars fait incontestablement parti des plus grands mythes de notre temps.

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Une fois encore, Spielberg accomplit le miracle de mêler l'intime et le stellaire, l'anodin et le merveilleux, en racontant le plus simplement et sincèrement du monde l'histoire d'un enfant confronté à la séparation de ses parents (et l'absence du père). A travers ce petit garçon, il insuffle une douceur poignante au genre de la science-fiction. Comme quoi, de l'émotion la plus personnelle peut naître un film à la portée universelle, qui continue encore de bouleverser son public, plus de 40 ans après.

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Diamant noir arraché des mines d'Orion, son éclat donne le vertige. Sa plastique hypnotise, à tel point que quiconque ose s'y plonger risque le syndrome de Stendhal. Logique avec un tel accompagnement sonore : l'une des plus belles compositions du cinéma. Un clair-obscur électronique signé Vangelis, qui semble murmurer à l'âme même des machines, et leur offrir, peut-être, le droit de rêver de moutons électriques - ou de licornes.

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Pas la peine d'être grand pour porter un cœur immense. Toy Story en est la preuve vivante. Bijou et révolution technologique, la saga a su s'imposer comme un monument de cinéma pour petits et grands. Chaque film de la franchise déborde d'inventivité formelle & d'ingéniosité narrative et à redonner du souffle aux récits d'aventure. C'est sans doute avec ma VHS du 2 que j'ai compris ce qu'était un "genre" au cinéma, et comment plus tard, m'amuser à les détourner avec humour et respect, en jouant avec mes jouets.

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Les Coen, c'est un peu les frères Grimm d'une Amérique paumée, déjantée, joyeusement fêlée du bulbe. The Dude est totalement représentatif de leur œuvre : une géographie de la loose américaine, des portraits de timbrés collé sur un carte postale jaunis. Une belle farce où rien n'est sérieux très longtemps, si ce n'est le goût pour l'extravagance et la stupidité héroïque.

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Soyons honnêtes, l'univers du MCU a eu son lot d'entreprises ratées, d'œuvres sans goût, voir sans cœur. Mais au-delà des quelques erreurs de parcours, cette saga a su réunir des millions de gens à travers le monde sous la bannière d'une culture qu'on pensait dépassée. Depuis 2007 et la sortie d'Iron Man, jusqu'à la phase 5, j'allais tous les ans me prendre ma dose quotidienne de super-héros de la maison des Idées. Rien que pour ça, cette saga a une place particulière dans mon cœur.

Néanmoins depuis la sortie de Thunderbolts* en 2025, j'ai l'impression que le MCU est en train de reprendre du poil de la bête et nous préparer une aventure digne de celle des Pierres d'Infinité. Je redeviens môme et c'est génial. Bien sûr, il est compliqué d'occulter le côté mercantile du studio. Mais cela ne supprimera en rien les centaines d'heures que j'ai pu passer à théoriser sur les bancs du collège et lycée les aventures de mes héros préférés.

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Mon film cocon. C'est toujours un plaisir de m'y blottir quand ça va pas. Mon amour pour les huis clos a sûrement commencé quelque part ici, sous ce dôme au charme pervers et avec la trogne d'un Jim Carrey tout droit sorti d'un cartoon.

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Ce film résume parfaitement mon enfance. L'histoire d'un gamin tout ce qu'il y a de plus banal qui passait ses soirées entières collé à sa télé, rêvant d'aventures pendant qu'il jouait avec ses Playmobil dépareillés et espérant naïvement qu'un jour, par un quelconque miracle, un géant venu d'ailleurs vienne percuter le toit de sa petite maison dans un BOUM ! Bon, pour être honnête, tout ce que je souhaitais vraiment à l'époque, c'était juste un ami de la trempe de notre géant au grand cœur pour éviter que ma mère m'oblige à aller me coucher trop tôt les samedis où Les Simpson passaient en prime sur W9.

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À vrai dire, je m'étais pas vraiment fendu la première fois. Ce n'est que plus tard, en mûrissant un peu (mais pas trop quand même), que j'ai commencé à saisir toutes ses réfs, son humour de geekos, ainsi que son montage totalement déjanté. Un petit bonhomme de chemin plus tard, ce film a su se frayer une place dans ce top, tout comme la BD dont il est tiré - qui trône désormais au panthéon de mes œuvres de chevets. Un super cale-pied pour mon armoire. Elle est toute droite maintenant. Je peux y ranger tous mes bouquins dont j'ai même pas encore lu la moitié car j'ai tendance à acheter tout ce qui me passe sous la main.

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Difficile de ne pas tomber à genoux devant cette saga. L'œuvre d'un homme (Tolkien) qui l'a dépassé à jamais et qui aura permis d'entrouvrir les portes de toute une communauté de geek qui ne se connaissait pas encore mais qui n'allait pas tarder à s'enflammer au cours des années 70 avec une autre grande saga un peu plus haut dans ce top. Fantasy à l'état pur et aventure ultime que Peter Jackson aura su adapter avec amour et fidélité.

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C'était comme si ce film ne demandait qu'à naître. Après tout, qui de mieux que Pixar, maître des émotions, pour tourner tout un film à leur sujet. Un concept brillant, une morale courageuse et des situations douces-amères.

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La saga d'aventure la plus aventurière.

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Pour la trilogie ...

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Une épopée galactique moins baroque que Star Wars mais plus humaine, qui donne corps à la citation de son capitaine Kirk : "Cette irrésistible élan qui oblige au dépassement."

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Une des meilleures saga horrifique, y'a pas photo. Mon amour pour l'effroi et les films sur l'adolescence a trouvé sa robe de mariée. Et si on y ajoute son boogeyman en coloc avec Morphée, on obtient la sainte trinité 🙏

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L'histoire du plus grand réalisateur, le plus passionné et extravagant, tout simplement.

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Pendant longtemps, j'ai cru que Nolan était le plus grand scénariste de tous les temps (pardonnez-moi, je n'avais que 16 ans). Avec le temps et quelques centaines de films et séries plus tard, j'ai comme qui dirait calmer mes ardeurs. Néanmoins, ce film gardera toujours une place importante dans mon parcours de cinéphile, tout autant que dans ma ferveur pour les scénarios qui mettent en avant les possibilités et la folie que permettent les rêves (coucou Paprika et Brazil) !

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Entre Burton et Pixar, mais à la sauce Gaiman.

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Saga.

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Cela vaut évidemment pour la trilogie de Sam Raimi, mais aussi pour toutes les versions de notre sympathique araignée de quartier — en particulier l’adaptation animée New Generation. Mon super-héros préféré. Celui qui incarne le mieux les petits tourments de l’adolescence. Celui dont je portais le costume quand j’étais enfant.

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Le pulp dans toute sa splendeur.

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& son petit frère : Le Château Ambulant 🏰