Quarante pages. C'est ce qu'il aura fallu à Simone Weil pour enterrer définitivement la question des partis politiques. Quarante pages d'une exigence rare, ciselées à la faucille de la raison pratique et au marteau de la philosophie. Elle dont la vie force le respect, dont l'engagement permanent ne sembla connaître aucune limite. Elle fut de tous les combats : dans les grèves en France,... Lire la critique de Note sur la suppression générale des partis politiques