On ne va pas se mentir, ce n'est pas de la grande littérature mais ça se lit très bien quand même.
Le quatrième de couverture a l'avantage de ne pas mentir et de bien préparer à cette lecture qui ne se prend pas au sérieux. On a le droit à un pastiche burlesque de polar, bourré d'action, de scènes un peu lubriques.
L'intrigue nous fait remonter les traces d'une espèce de savant fou qui enlève des gens et les relâche peu après, notamment le héros et narrateur, Rocky Bailey, un bellâtre sportif sur lequel tombent toutes les jolies filles mais qui veut préserver sa virginité jusqu'à ses vingt ans. Une belle illustration de la notion de conflit en storytelling : dur dur de résister !
Assurément tout cela est très léger !