La quatrième de couverture me laissait présager un récit touchant malheureusement, je suis passée totalement à côté de cette lecture. La plume de l’auteur a été trop particulière pour moi et donc l’histoire m’a paru complexe à comprendre. D’autant plus que je n’ai pas ressenti la moindre émotion au fil des pages.
Certes, on comprend la difficulté de la survie de cette famille et celle de trouver un travail pour les fils mais, les passages démontrant la démence du père sont pour ma part un peu trop « tordus ».
Bref, des sujets sur la Corée qui auraient pu être intéressant quand on lit le résumé mais dont je trouve qu’ils ont été mal traité. J’ai trouvé que cela partait un peu trop dans tous les sens, on dirait aussi que dès fois passé et présent se mélangent et les dialogues m’ont dérouté : ne sachant pas parfois qui parlait.
Pour conclure, ce court roman a été une déception mais cela reste que mon avis, peut-être qu’il ravira un autre lecteur qui comprendra l’histoire.
« Diriger, c’est donner du travail aux gens, leur fournir les moyens d’accepter leur civilisation, et faire en sorte que leur vie ait un sens, de peur qu’ils n’errent sans but dans un monde vide et désert. »