Comment c'était nuuuuuul !! Ah, l'enculé, il s'est foutu d'notre gueule avec son livre de merde ! Attends, attends, fais voir le livre...


Le Grand N'importe quoi est un livre a mettre dans la catégorie "livre relou." C'est comme si ce livre n'arrêtait pas de me faire des clins d'oeil et des tapes sur l'épaule en se soulignant lui même et en disant "hé, t'as vu, je suis un livre drôle. Hé, t'as vu, j'ai fais des trucs cool." (Clin d'oeil, Clin d'oeil.)


Dans l'état, c'est un livre comique, mal écrit, mal dialogué avec un humour au ras-des-paquerettes. Mais là où j'ai pu avoir de l'indulgence les livres de Barbara Constantine qui s'ils ne sont pas très bien écrit restent globalement inoffensif, ce livre tente de masquer sa nullité en un faux hommage à la sf, voire à une tentative de faire une oeuvre meta qui brise le 4eme mur. Et là, ça m'énerve.


Pour le coup, je vais prendre ce truc et le démonter dans les règles. Mais avant, un pastiche.


Est-ce que tu peux l'foutre dans la sciure ? On lui péte sa couverture
Tiens cet enculé par les pliures pendant que j'le rature
Pas besoin d'être documentaliste pour le jarter d'toutes les listes
On va passer la fraiseuse du dentiste sur les doigts d'ton copiste


On va voler ton bouquin, on va cogner ton bouquin
Ton bouquin, ton bouquin, on va buter ton bouquin
.



Des péripéties sans queues ni tête :



Et pourtant, le roman commençait bien, avec l'histoire d'un mec qui s'appelle Alain Delon, qui en a ras-le-cul d'être l'homonyme d'un homme célèbre, décide de se pendre, mais aperçoit les extra-terrestres qu'il a attendu toute sa vie, pile au moment où il meurt.


Puis on passe sur le héros, Arthur, un trentenaire, écrivain de sf, bon à rien, qui se retrouve dans le pétrin façon "Rincevent" pour avoir vomis sur sa copine dans une soirée déguisée à Bourdiflot-le-Bombé (oui, Erre écrit pour Groland.) Poursuivi par des bodybuilders issus de la soirée déguisées, Arthur trouve un accolyte en la personne de Patrick un autre écrivain de S.F. qui est lui aussi poursuivi par le même groupe de personnes déguisées qui veulent lui péter la gueule parce que lors d'un quiproquo, il a déshabillé une nana déguisée en Marylin qui était venue frapper chez lui.


Et c'est pas drôle.
On passe de situation où les personnages vont de castatrophes en catastrophes comme un roman Tom Sharpe. Ce genre de romans où tu es censé voir des personnages dans des situations cocasses, mais au final, tu t'aperçois que celle-ci sont provoquées soit parce que ceux-ci agissent de façon contraire à la logique soit parce qu'ils sont tombés sur des quiproquos tirés par les cheveux à 98% provoqués sur le "manque de coup de pot qui n'arrive qu'une fois sur un millions."


Un exemple parmi tant d'autres : A un moment Arthur tente de rentrer chez un type. Au bout de trois page, Arthur a enclenché un incendie en faisant tomber trois livres d'une étagère qui au bout de 20 ans décide de s'écrouler PILE à ce moment là. Le feu est provoqué par une télé tombée au sol sur un tapis. Le feu se propage (comme c'est ballot) et la femme du type rentre pile au moment où il ne faut pas et imaginant qu'Arthur est en train de tuer son mari, elle va le frapper (évidemment) et s'acharner sur lui au lieu de s'enfuir ou de tenter d'éteindre l'incendie.


A noter que je m'y connais niveau catastrophes, vu que durant l'écriture de ce brouillon, un dégât des eaux a eu lieu dans mon appartement, causé par la perceuse d'un ouvrier à l'étage du dessus. Au cours de ma journée particulièrement éprouvante où j'ai dû chercher la vanne d'arrivé des eaux de l'immeuble avec un des ouvrier, écoper l'eau, créer des barrières avec les vêtements pour éviter que l'eau ne s'infiltre dans le salon, mettre en sécurité mes appareils électrique, prévenir l'agence des HLM, prévenir l'assurance, serpiller mon appartement et laver mes fringues sales, j'ai repensé que j'étais typiquement dans ce genre de récit catastrophe qui aurait finie en eau de boutdin.


Et j'ai repensé à l'un de mes films préféré : Gregoire Moulin contre l'Humanité où le personnage voit une accumulation de catastrophes s'agglutiner sur lui. A priori, le film aligne le même type de ressort. Sauf qu'il sait jouer avec notre empathie : on se dit qu'à la place du personnage, on aurait agit pareil. Et les personnages qui lui barrent la route sont barrés, mais ne dévoilent leur folie qu'après un certains moment, ce qui fait toujours un effet montagne-russe : quand on pense être tiré d'affaire et se mettre à remonter la pente, on redescend encore plus bas.


Mais ça n'est pas le cas dans ce livre où le personnage principal agit comme un crétin et dès qu'il a une bonne décision (s'enfuir du village, se servir des sauts temporels dont il est victime, etc..) elle est annulée par une péripétie débile sortie de nulle part. Le reste des personnages sont des caricatures (la couguar, la folle-de-dieu, le gamin-intello-coincé, le bodybuilder) du coup, leur apparition devient plus saoulante qu'autre chose. On se dit juste que l'auteur place des péripéties débiles comme il enfilerait des perles, comme se retrouver avec le héros, déguisé en prêtre sur un vélo, poursuivit par une horde de body builders en colère ainsi que la maire du village quinquagénaire qui lui fait des avances sexuelles en mode "vieille cougar désespérée du cul qui fait des sous-entendu sexuel à chaque phrase même lorsque la situation ne s'y prête pas."


"Hé, t'as vu, je créé des situations désopilantes." (Clin d'oeil, Clin d'oeil.)



Pète plus haut que ton cul je verrais rien :



Je dois l'avouer, même si son écriture est relativement relou, de temps en temps, Erre fait un bon mot et une bonne phrase. C'est un peu comme si un auteur avait pris les dialogues d'un Marc Levy et avait ajouté un zeugma par-ci, une petite remarque ironique par là, et saupoudré le tout. Mais on a souvent l'impression que le mec fait dans sur-enchère ce qui rend le tout indigeste. Voici ainsi la description d'une scène où alors qu'il est attaqué par un groupe de sportif, Arthur est content qu'ils se barrent parce qu'un paysan à tiré un coup de fusil.



Les pectoraux se dégonflèrent, les abdos se carapatèrent, les deltoïdes se dispersèrent, et la débandade générale laissa Arthur seul à attendre le deus ex machina qui lui avait sauvé la vie. Il surgit soudain de la nuit, démarche de robot et fumée au fusil : le père Cadick. Arthur senti ses yeux libérer quelques larmichettes. Grâce au vieux paysan, il allait conserver l'intégralité de ses capacités reproductives et ses descendants pourraient perpétuer sa mémoire (à condition, bien sûr, qu'il se déniche une nouvelle copine.) Arthur ressentit une furieuse envie de serrer le père Cadick dans ses bras pour trouver sous son aile malpropre un papi protecteur.



"Hé, t'as vu, je suis intelligent, je fais des phrases droles." (Clin d'oeil, Clin d'oeil.)


Idem à un moment, avec ce passage :



Car il devait se rendre à l'évidence, il était perdu. Cela faisait
trois fois qu'il repassait devant le coiffeur Diminu'tifs et il
n'était pas sûr de survivre une quatrième fois au jeux de mots.



Qui continue avec le personnage passant devant plusieurs boutiques avec des jeux de mots pourris sur la devanture. Moment qui n'arrive que durant CE passage et non disséminé innocemment durant tout le roman.


"Hé, je sais pas si vous avez remarqués, mais les boutiques des coiffeurs, elles ont des jeux de mots pourris sur la devanture." (Clin d'oeil, Clin d'oeil.)


OUI on sait.


Le pire sont les passages télé avec un animateur tête à claque dont les dialogues sonnent sys-té-ma-ti-que-ment faux et donnent l'impression que l'auteur est trop content parce qu'il fait dire de la merde à un animateur télé. Il coupe ses invités pour vendre des trucs,sortir des lieux communs ou les interroger sur la pub qu'ils viennent de voir. (Au passage, il est plusieurs fois expliqué dans le livre que l'émission est enregistrée à l'avance... ce qui n'a aucune logique.)


"Hé, t'as vu, je suis subversif, je critique la télévision. Jamais vu." (Clin d'oeil, Clin d'oeil.)


Intrigue de l'émission de télévision, qui, revenant à plusieurs moments dans le livre, au passage, ne mène pas à grand chose.


Le tout est émaillé de clins d'oeils à la littérature et à la de science fiction. Ça pourrait paraitre cool (le père "Cadick") mais des fois c'est appuyé avec la lourdeur d'un 33 tonne. Histoire de vous donner un exemple, voici ce qu'un critique de Sens Critique avait écrit en vantant le livre : "De grandes références sont citées dans ce roman comme Guide du voyageur galactique, la guerre des mondes ....L'auteur connait les classiques du genre ! "


Et voici le passage en question :



"Tu devrais lire Le Guide du voyageur galactique de Douglas Adams, la
seule trilogie en cinq tomes de l'histoire de la littérature.
- Manquerait plus que ça....
- C'est très drôle, il y a plein d'extra-terrestre et en plus tu pourras réfléchir au sens de la vie. Un ordinateur appelé Pensée
Profonde y calcule la réponse à la grande question de la Vie,
l'Univers et le Reste.
- Et ça donne quoi ?
- Après sept millions et demi d'années passées à réfléchir, Pensée Profonde à répondu "42"
- 42 ? C'est pas une réponse au sens de la vie ça.
- L'ordinateur à précisé que la réponse était bonne, mais que la question était mal posée."



C'est PAS un clin d'oeil, PUTAIN !! C'est prendre juste un roman de SF, bêtement réécrire sa tag-line et expliquer l'un de ses gags les plus culte. C'est bassement na-ze.


Quasiment à chaque fois que J.M. Erre fait une référence ou un clin d'oeil à une oeuvre de S.F. il se sent obligé de l'expliquer, de la souligner et de dire "en fait, c'est une référence à ça." C'est lourd comme un mec qui explique sa propre vanne, en plus d'être basé sur les gags propagés par les geeks depuis 10 voire 15 ans : La Guerre des Mondes, Douglas Addams, le chat de Schrodinger, etc...


"Hé, t'as vu, je m'y connais en S.F." (Clin d'oeil, Clin d'oeil.)


C'est pénible à suivre et quand t'as un poil de culture S.F. t'as l'impression qu'on te remache un truc que tu connais déjà.



C'est pas une fin, c'est un aveux d'impuissance :



Alors, pourquoi continuer le livre si c'est aussi nul ?


Il faut dire que le seul mystère qui m'a fait tenir le livre c'est "pourquoi le personnage revient-il à 20h42 au même endroit ?" En effet, couramment dans le livre Arthur est transporté dans le temps et revient à 20h42.Clin d'oeil au fait que le livre se passe en 2042 mais ça ne change strictement rien à l'intrigue. Ca fait juste gags qui deviendront extremement datés dans 10 ans, comme le fait qu'en 2042 Eric Zemmour soit devenu un moine Tibétin ou que Sarkozy continue de se présenter à 84 ans à l'élection présidentielle.


"T'as vu j'ai fait des vannes sur l'actu" (Clin d'oeil, Clin d'oeil.)


Et c'est expliqué... ou pas. L'auteur fait exprès de ne pas se mouiller. J'entre dans la zone "SPOIL" à vous de juger :


Arthur entend parler d'un type qui a découvert un livre qui expliquerait toute la vérité au sujet de ces événements. Il est censé le dire à la télé, mais quelqu'un coupe le téléviseur avant qu'il ne dise sa révélation. Par chance, ce type habite le même village que celui où il était paumé. Il récupère le livre après avoir foutu le feu à la maison (parce que "houlalala, que je suis maladroit" voir plus haut) et s'enfuit avec.


Le livre lui apprend qu'en fait, nous serions tous des personnages issue d'un roman ("t'as vu, je suis méta", (Clin d'oeil, Clin d'oeil)) mais que celui-ci serait encore sous forme d'un brouillon c'est pour ça qu'Arthur a le souvenir d'éléments passés qui ne se sont pas passés (les fameux retour dans le temps)


SAUF QUE ça change tout lorsqu'il révèle ce qu'il a trouvé à Claire (une nana inséré au 2/3 du roman pour en faire l'amoureuse d'Arthur. D'ailleurs Claire est une grosse arnaque après un paragraphe introductif expliquant qu'elle est spéciale et importante au final, elle ne sert qu'à être amoureuse d'Arthur, lui faire des oeillades et des réflexions mignonnes et lourdes de sens, etc.) Claire lui raconte que ce livre est un fake s'est amusée à cacher dans la terre parce qu'elle aime les Pranks extrêmement compliquées.


SAUF QUE Arthur refuse de la croire et se retrouve entouré de gens hostilent qui veulent lui défoncer la gueule.


SAUF QUE Arthur est réveillé par sa copine. (Framboise, avec qui il est venu à la base.) En fait il dormait sur une poubelle et il a rêvé de tout ce qu'il a vécu depuis le début.


SAUF QUE les événements qu'Arthur a rêvé se sont vraiment passés.


SAUF QUE entretemps, les autorités, alertée par une invasion extra-terrestre (qui est un fake, mais passons) a eu lieu à Gourdiflot-le-Bombé font remonter ça au préfet qui fait remonter ça au ministre de l'intérieur qui fait remonter ça au président qui fait remonter ça aux autres nations qui envoient des bombes nucléaires sur la France et détruisent la Terre. (Parce que le seul moyen de protéger la Terre c'est de faire tout péter, logique.)


"Ouais, mais tu attendais quoi d'un livre qui s'intitule "Le Grand n'importe quoi ?" (Clin d'oeil, Clin d'oeil.)


Ce livre réussit l'exploit d'insérer en MEME TEMPS, les deux fins considérées comme les plus fainéantes de l'univers :
- Ouf, tout cela n'était qu'un rêve. (Ou paaaas.)
- Bim, la terre explose.


"Hééé, quitte à faire une fin naze autant faire DEUX fins nazes. Tu l'avais pas vu venir celle là ?" (Clin d'oeil, Clin d'oeil.)


Mais surtout la grosse arnaque, le truc qui m'a fait sortir de mes gonds c'est le sous-entendu que ce que l'on lit est en réalité le brouillon d'un livre raté. Et du coup, le livre commence à expliquer que s'il y a des redondances (Arthur et Patrick qui ont la même personnalité) s'il y a des passages lourds, squabreux, incohérent ou invraisemblable, c'est parce que c'est justement un brouillon laissé de côté par un écrivain.


"Hé, t'as vu, je suis trop intelligent, j'ai fais passer mes défauts pour des qualités." (Clin d'oeil, Clin d'oeil.)


NON CONNARD !


Alors, soit ton livre est mal écrit exprès depuis le départ et dans ce cas c'est juste une arnaque digne d'un gamin de 6eme consistant à faire lire 195 pages de nullité sans non pour dire à la page 196 "en fait, j'ai fais exprès d'écrir de la merde, mais toi tu trouvait ça bien. Je t'ai eu, cété une Prank!" Soit tu as trouvé cette parade parce que tu t'es toi même rendu compte que ton livre est naze. Dans les deux cas, tu nous prend pour des cons et je déteste ça.


Et encore, l'idée en soit des personnages découvrant qu'ils sont dans un brouillon aurait pu être bonne (après tout, il y a des tonnes d'oeuvres utilisant l'artifice du brisage de 4eme mur et d'habitude je suis client de ce genre de récits) à condition qu'on soit guidé par un fil narratif bien plus convaincant. Ici c'est une idée jetée parmi tant d'autres, en mode "c'est peut-être ça, mais c'est peut-être pas ça, pouf, je laisse chacun choisir. Ha ha ha, c'est trop intelligent comme méthode non ?" (Clin d'oeil, Clin d'oeil.)


Ce livre a un avantage pour lui : il est écrit gros et se lit très vite, ce qui fait que ça n'a pas été une purge non plus. Allez je lui mets 3, parce que même si le livre m'a mis le seum, il possède des passages bien écrits. (Je ne mets jamais 1 à une oeuvre, sauf si elle est malsaine. Et j'ai pas l'intention de lire "50 nuances de Grey.")


A noter que je me suis renseigné sur J.M. Erre (dans le but plus ou moins louable de le pourrir sur Twitter) et je m'aperçois qu'il s'est fait remarqué par la rédaction de Groland car c'était l'un des rares auteurs comique qui traitait de la S.F./ Fantasy. Putain, si l'équivalent français d'un Pratchett ou d'un Jasper Fford c'est lui... ça en dit long sur notre nullité.

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le 6 févr. 2018

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