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Eblouissant !
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le 10 mai 2015
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Le Parfum par Jérôme Cérulli
J'avoue l'avoir lu assez tardivement, à la fois par devoir, mais aussi pour étayer ma culture littéraire.
Cela dit, dès les premières pages, ma besogne initiale a rapidement laissé place à une sorte d'exaltation d'un sens, qui une fois mis en exergue, m'a collé aux narines pendant la très savoureuse première partie du roman.
La seconde, si je m'en souviens bien (après l'exil volontaire de Grenouille) m'a un peu laissé sur ma faim, et le vague souvenir qui me colle aux méninges, m'a laissé assez pantois.
Cette partie vire très rapidement au thriller un peu merdique, et l'appel de l'odorat (que tout le monde retient) s'évapore en un claquement de doigt, pour laisser place à une quête maléfique de pouvoir.
Reste ensuite la fin cocasse, délurée, et fataliste qui donne matière à réfléchir.
Bon roman dans l'ensemble.
J'ai pris plaisir à le lire, et quelques années plus tard, je le relirais volontiers pour savoir si ces quelques mots me paraissent encore justes.
Cela dit, dès les premières pages, ma besogne initiale a rapidement laissé place à une sorte d'exaltation d'un sens, qui une fois mis en exergue, m'a collé aux narines pendant la très savoureuse première partie du roman.
La seconde, si je m'en souviens bien (après l'exil volontaire de Grenouille) m'a un peu laissé sur ma faim, et le vague souvenir qui me colle aux méninges, m'a laissé assez pantois.
Cette partie vire très rapidement au thriller un peu merdique, et l'appel de l'odorat (que tout le monde retient) s'évapore en un claquement de doigt, pour laisser place à une quête maléfique de pouvoir.
Reste ensuite la fin cocasse, délurée, et fataliste qui donne matière à réfléchir.
Bon roman dans l'ensemble.
J'ai pris plaisir à le lire, et quelques années plus tard, je le relirais volontiers pour savoir si ces quelques mots me paraissent encore justes.
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le 21 mars 2011
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