L’abandon de deux frères dans une consigne automatique plonge Tokyo dans une poésie nihiliste et cruelle.
9/10.
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Créée
le 7 oct. 2025
Critique lue 3 fois
Je crois que je n'aimerais pas me retrouver dans la même pièce que Ryu Murakami. Doit se passer des choses pas nettes dans son crâne. Oubliez le Japon raffiné et réglé comme une horloge, et dites...
Par
le 14 oct. 2012
13 j'aime
2
La première confrontation avec le livre, viscérale, se fait avec son écriture. Nerveuse, rageuse même, sa déconstruction en fait la pourvoyeuse directe, sans interprète, de la fièvre qui guette et...
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le 21 janv. 2017
9 j'aime
2
Car, oui, Caliméro et Rémi sans famille ont bien été assassinés par ce livre, par sa violence et sa rage. Lorsqu'on essaie d'imaginer ce que pourrait être l'histoire de deux orphelins abandonnés...
Par
le 5 août 2010
8 j'aime
Le héros est davantage troublé par le soleil que par le décès de sa mère : le guide parfait de l’existentialisme climatisé.7/10.
le 1 oct. 2025
L’abandon de deux frères dans une consigne automatique plonge Tokyo dans une poésie nihiliste et cruelle. 9/10.
le 7 oct. 2025
Georges Duroy confond réussite et conquêtes ; le pire, c’est qu’il a raison, le bougre.9/10.
le 7 oct. 2025
