Bien, Les Misérables. Je ne saurais par où commence ce chef-d'œuvre littéraire qui est également le livre le plus long que j'ai lui.
En effet, lire un livre de plus de 1500 pages n'est pas chose facile à faire, surtout quand un certain Victor Hugo s'y met à la tâche. Car cette homme, s'étant enfui de France depuis la chute de la république et l'avènement de l'Empire de Napoléon III, vivait en Belgique par conviction anti Bonapartiste (bien qu'il était bonapartiste des années auparavant). De là, il écrit plusieurs de ces œuvres, et parmi ces œuvres se trouve Les Misérables. Écrit entre 1860 et 1861, il fût publié en 1862. Et c'est vraiment compliqué de parler de cette œuvre.
Car un des points fort d'Hugo est le fait qu'il décrit tout avec merveille. Un des exemples les plus probant se trouve au début de l'œuvre avec le personnage de Monseigneur Myriel. Car le livre ne commence pas du tout avec ce bon Jean Valjean mais avec Monseigneur Myriel, vieil homme du clergé de Digne vivant avec sa sœur et sa servante. Car le début de la première partie du livre le suit et nous montre comment la foi d'un homme peut transcender les gens. Cette foi, qui suivra les personnages dans toute l'œuvre, notamment en ce qui concerne le personnage de Jean Valjean. Cela montre également une autre difficulté à parler de l'œuvre. 
Vue que Victor Hugo est aussi connu pour nombre de ses digressions dans ses œuvres. Cette fois ci, nous devons parler du début de la seconde partie du livre qui raconte la bataille de Waterloo en près de 100 pages. Cette digression, parlant de la défaite de Napoléon et n'ayant pour lien avec l'histoire le fait que le père Thénardier ait sauvé le père de Marius, nous montre la défaite de la France et permet de comprendre l'après 1815. On peut aussi parler du moment ou Hugo parle des égouts de Paris suite à la fuite de Jean Valjean et de Marius après la boucherie des barricades. En bref, cela permet de montrer que le monde change en même temps que les gens.
Finalement, nous devons aussi parler des nombreux personnages. Alors je ne vais pas m'étaler sur les plus connus comme Jean Valjean, Cosette, les Thénardier ou encore Javert car quasiment tout ceux s'intéressant au livre les connaissent. Non, ce dont je veux parler, c'est les autres. Je parle, bien évidemment, de Gavroche, de Fantine, des membres de l'ABC, de la bande de Patron-Minette, d'Éponine ou encore de Marius. Tout ces gens, que la vie n'a pas épargné,  nous montre la cruel société de l'époque envers les pauvres et les démunis. Et là est tout le sens du livre.
Car Hugo, en grand humaniste qu'il est, nous montre la misérabilité de l'époque et le fait que la société n'en a rien à faire du bas peuple qui crève dans la rue (comme nous pouvons le voir avec la sœur de Jean Valjean ou encore les deux frères de Gavroche). Ils nous montre la déchéance de personnes suite à la guerre ou à cause des mœurs sociétales (comme avec le père de Marius ou encore Fantine, la mère de Cosette). Il nous parle de rédemption avec les personnages de Valjean et de Javert. Tout ça pour montrer que oui, le bas peuple est important.
Car c'est ça le sens des misérables: c'est un livre social qui parle du peuple et est pour le peuple. C'est pour ça que je finirai ma critique, sur les vers de la stèles de Jean Valjean:
« Il dort. Quoique le sort fût pour lui bien étrange,
Il vivait. Il mourut quand il n’eut plus son ange,
La chose simplement d’elle-même arriva,
Comme la nuit se fait lorsque le jour s’en va. »
Sur ce, au revoir.