le 21 juil. 2011
Lorenzino, pas Lorenzaccio.
Oui, parce que moi je l'aime, Lorenzo. C'est peut-être une traînée, un noble avili dans un but à la fois puissant et pathétique, un jeune homme rongé par une vie de débauche, mais c'est aussi un...
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Un bon drame, des dialogues vifs et malins, mais un brin trop longuet et qui semble se perdre lui-même dans les méandres du politique et paraît souvent brouillon.
La fresque historique à double lecture, qu'on s'attache à dresser, veut embrasser la complexité d'une situation dont elle n'esquisse finalement que quelques traits imparfaits.
On retiendra un Lorenzo diablement intéressant ; mais en dehors de lui des personnages superficiels à la limite du caricatural et trop souvent inutiles, hormis peut-être Philippe, tourmenté et touchant.
Un petit Musset.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Lus en 2015
Créée
le 7 avr. 2015
Critique lue 615 fois
le 21 juil. 2011
Oui, parce que moi je l'aime, Lorenzo. C'est peut-être une traînée, un noble avili dans un but à la fois puissant et pathétique, un jeune homme rongé par une vie de débauche, mais c'est aussi un...
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... parce que Lorenzaccio n'est vraiment pas une façon juste de désigner ce qu'est Lorenzo, il n'est point une mauvaise personne ! Lorenzo (non, Lorenzino !) est un héros romantique à part et ce pour...
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