Pervers pépère
Je referme écoeurée ce roman à la page 222. Non seulement il est ennuyeux, déprimant, inintéressant dans son propos mais, comble de l'indécence, d'une ambiguïté malsaine, au fond vraiment...
le 13 mars 2019
30 j'aime
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Sur l'amour, la mort, le désespoir ; la condition paysanne ; le refus de la niaiserie béate, du consensus imbécile.
L'habituelle (et répétitive) démystification des romans de Houellebecq : c'est triste, mais moins désespérant que cette bonne humeur obligatoire, cette positivité de masse qui s'affichent à longueur d'émissions télé, de pubs, réseaux sociaux et autres élans de solidarité. Quelques moments drôles, du coup.
La "descente" d'un homme qui ne peut plus vivre : seul, accro au tabac, à l'alcool et aux anti-dépresseurs, quelques dernières tentatives de "contacts". L'impossibilité de la communication.
A ne pas lire si vous êtes déjà dépressif ...
Créée
le 29 avr. 2019
Critique lue 145 fois
Je referme écoeurée ce roman à la page 222. Non seulement il est ennuyeux, déprimant, inintéressant dans son propos mais, comble de l'indécence, d'une ambiguïté malsaine, au fond vraiment...
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À peu près personne aujourd'hui n'a besoin d'être informé de la superficialité globale du discours médiatique contemporain, d'ailleurs cela est d'autant plus exact pour ce qui est des lecteurs de...
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le 5 janv. 2019
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C'est bien Houellebecq, sur l'échelle de Richter c'est toujours un petit séisme, et chacun de ses livres fait toujours le même effet, c'est navrant et délicieux, je dirai 3/10 sur l'échelle de...
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le 11 févr. 2020
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C’est fort : intelligent et sensible. L’idée de départ est un spectacle théâtral conçu par Judith Davis et sa troupe, L'Avantage du doute, en 2008 Le personnage qu’elle incarne est une jeune femme...
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le 14 avr. 2019
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Belle et joyeuse adaptation d'un épisode de Jacques le Fataliste, de Diderot. Les tribulations de l'amour, ou le libertin persécuté ... Toute l'insolence morale et intellectuelle de Diderot dans ce...
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le 14 avr. 2019
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