le 15 oct. 2021
Le Génie non-binaire
J'aurais bien aimé écrire ce livre. Il n'est pas le plus développé, le plus argumenté, le plus étayé, mais il est parmi ceux qui résonnent le plus dans mon expérience intime. En fait, j'aimerais le...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
T’es pas amoureux·se, t’es en PLS dans une relation hétéronormée sponsorisée par le patriarcat. Juliet Drouar te tend pas la main pour que tu “trouves le bon”, elle t’arrache au naufrage et te dit : “sors du bateau, le Titanic est une hétéro-relation.”
Ce livre c’est pas un manuel de drague hors du cis-tème, c’est une opération commando anti-hétérosexualité. On te dit pas “aime qui tu veux”, on te dit “stop de jouer au Sims en mode patriarcat + extensions trauma”.
Dans ce monde, être hétéro c’est pas aimer les mecs, c’est :
– signer un CDI de charge mentale,
– subir le male gaze dans ton salon,
– cohabiter avec le virus du silence émotionnel
– payer la taxe rose en souriant
Drouar décortique ça au scalpel : désir ≠ liberté, surtout quand t’as été câblé·e pour désirer ton oppresseur.
Iel démonte l’amour hétéronormé façon boucherie militante : découpe des mythes, saigne les scripts genrés, emballe le tout dans un manifeste queer anticapitaliste.
“Sortir de l’hétérosexualité” = rage + soin + théorie + punchlines à balancer en AG queer. À lire avec un shot de jus de gouine radicale et un exorcisme collectif de transpédales.
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Créée
le 22 juil. 2025
Critique lue 6 fois
le 15 oct. 2021
J'aurais bien aimé écrire ce livre. Il n'est pas le plus développé, le plus argumenté, le plus étayé, mais il est parmi ceux qui résonnent le plus dans mon expérience intime. En fait, j'aimerais le...
le 14 avr. 2023
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le 19 déc. 2021
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10
le 24 juil. 2025
Mel Gibson signe ici un pari complètement fou : raconter la fin d’un monde (celui d’une civilisation maya déclinante) à travers les yeux d’un seul homme, sans stars de casting et. sans un mot...
le 23 juil. 2025
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