Intéressante immersion comme salarié dans un abattoir. L’auteur s’intéresse surtout au personnel, à la difficulté du travail, à l’impact sur la santé, aux stratégies de survie.
Il se termine malheureusement le jour de son départ. On aurait aimé connaître le retour à sa vie d’avant, et les réactions de l’entreprise et des anciens collègues, à la sortie du livre de l’ancien intérimaire anonyme.

ChrisLausanne
8
Écrit par

Créée

le 14 déc. 2019

Critique lue 96 fois

ChrisLausanne

Écrit par

Critique lue 96 fois

D'autres avis sur Steak Machine

Steak Machine
JulieToral
7

Chair à canon

L'écriture n'est vraiment pas formidable mais ce n'est pas ce qu'on demande à ce reportage dans les entrailles d'un abattoir anonymisé (quoi que, j'aurais pas dit non à un peu plus de travail sur la...

le 25 mars 2017

3 j'aime

2

Steak Machine
Lettres-it-be
8

"Steak Machine" de Geoffrey Le Guilcher : dis-moi ce que tu manges je te dirai qui tu tues

Jusqu'à la bête de Timothée Demeillers et maintenant Steak Machine de Geoffrey Le Guilcher, cette rentrée littéraire 2017 est décidément celle des infiltrations dans les abattoirs, infiltrations...

le 22 oct. 2017

2 j'aime

2

Steak Machine
DelphG
9

Critique de Steak Machine par DelphG

Bonne immersion, efficace, sincère et courageuse, bravo ! L214 a raison de dénoncer là maltraitance animale, mais c'est aussi nécessaire de dénoncer la maltraitance humaine : les abuseurs sont...

le 5 févr. 2017

1 j'aime

Du même critique

Le Lambeau
ChrisLausanne
4

C’est décidé, j’arrête le lambeau dans les limbes

J’ai mis 220 pages à prendre la décision d’arrêter, car je me forçais à continuer, au cas où, et par respect pour le drame à l’origine du livre.Encouragé par l’enthousiasme général et la critique...

le 1 mars 2020

4 j'aime

3

Nos plus belles années
ChrisLausanne
7

Nos plus belle années... et la difficulté à les vivre ensemble

Ce film de 1973 a un peu vieilli. On n'imagine plus un film comme celui-ci sortir aujourd'hui. Mais l'histoire est belle et les acteurs sont bons. Deux étudiants n'ayant apparemment rien en commun...

le 20 sept. 2020

3 j'aime

The Eddy
ChrisLausanne
8

Edddie-donc, édible et dicible

Oui, édible car très comestible: c’est une bonne série, à déguster sans modération ! Et c'est dicible, n’en déplaise à des esthètes difficiles qui font la fine bouche sur un détail sans vouloir...

le 24 mai 2020

2 j'aime