Monde dystopique
Le type s’invente un problème avec une chaise défectueuse, tombée en miettes pendant un meeting. Il n’arrive pas à passer outre cet incident anodin et, dans un premier temps incapable de joindre le...
Par
le 10 nov. 2025
2
Voir la série
Quand une chaise de bureau se brise en plein open-space, tu t’attends juste à un moment de gêne. Là, c’est le point de départ d’une histoire complètement improbable : le personnage principal William (Tim Robinson) veut simplement se plaindre au fabricant et se retrouve embarqué dans une sorte d’enquête corporate qui vire à la parano absurde. Le tout dans un ton très sérieux, comme si c’était un enjeu national, et c’est ça qui rend le truc vraiment drôle.
Si tu as ri devant The Office pour ses moments de gêne, si Brassic te parle pour son côté foutraque, et si tu as un faible pour les dérapages absurdes façon Dupieux, tu vas vite comprendre ce voyage. La série passe d’un détail minuscule à des situations totalement disproportionnées, mais ça fonctionne parfaitement bien.
C’est doucement con, fièrement étrange, avec un humour grinçant, et une satire assumée de la culture d’entreprise poussée à l’extrême.
Tu ris, tu t’interroges un peu, et sans t’en rendre compte tu te dis : "ok, j’ai vraiment envie de voir jusqu’où ils vont pousser cette histoire". Bref : c’est une série qui fait du bien si tu aimes quand tout déraille sans raison. À voir pour le fond, pour la forme, pour l’amour de l’absurde.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Séries drôles, denses, absurdes
Créée
le 12 nov. 2025
Critique lue 189 fois
2 j'aime
1 commentaire
Le type s’invente un problème avec une chaise défectueuse, tombée en miettes pendant un meeting. Il n’arrive pas à passer outre cet incident anodin et, dans un premier temps incapable de joindre le...
Par
le 10 nov. 2025
2
Quand une chaise de bureau se brise en plein open-space, tu t’attends juste à un moment de gêne. Là, c’est le point de départ d’une histoire complètement improbable : le personnage principal William...
Par
le 12 nov. 2025
2 j'aime
1
1996, quelque part en Angleterre. Une école spécialisée pour adolescents "difficiles", au bord de la fermeture. Un jour unique. Une équipe télé vient filmer un reportage. Le proviseur, Steve, apprend...
Par
le 9 oct. 2025
2 j'aime
Ce qui me plaît dans Saya Zamuraï, c’est la simplicité brutale du dispositif : un samouraï déchu, sans sabre, a trente jours pour faire rire un prince mutique. S’il échoue, il se tue. Voilà. À partir...
Par
le 18 nov. 2025