Seule au monde

Parenthèse pour ceux qui ne connaissent pas trop la corée, on est dans la stigmatisation typique des drama coréens ou être divorcé ou orphelin est une honte et un gros obstacle au mariage.

C'est un peu étrange comme situation, après tout la stigmatisation du divorce en france dans les fiction était déjà en train de se faire rare dans les année 80.

La série propose une relation entre un enfant du quartier qui revient vivre là ou il a grandi et une mère célibataire qui lutte pour se faire une place dans cette société très intolérante a sa situation.

Il y a un côté très mignon a leur relation. Ils sont tous deux empoté mais sincère ou ce couple fait face aux obstacles pour arriver a exister.

Leurs situations familiale tout d'abord, orpheline avec un enfant hors mariage c'est difficile pour cette femme qui élève seule son enfant.

Que son fils accepte sa relation est aussi un sujet car c'est la personne qui compte le plus pour elle.

Et l'intrigue du tueur en série qui pèse sur l'histoire dès le début avec des mystères a découvrir.

Le tout est pas mal réalisé avec des personnages attachants qui évoluent et qui nous poussent a suivre la série.

On appréciera plus ou moins le conflit et les épreuves. Ça peut être lourd par moment de voir certains comportements comme celui du père qui découvre qu'il a un fils et s'impose de façon oppressante.

Ou le côté sordide de la partie thriller

A niveau des représentations la série est assez archaïque. Les histoires de mariage c'est une chose, mais tout est rempli de clichés et représentations très sexistes. C'est pas cette série qui va écorner le patriarcat au contraire.

La partie thriller aussi apporte son lot de clichés psychophobes. Etc.