L’on suit ici des gilets jaunes qui se retrouvent à l’insu de leur plein gré dans un Koh Lanta non désiré… puis, nous les revoyons 25 ans plus tard ou plutôt la série fait régulièrement la navette et les allers et retours incessants entre la catastrophe du passé et la vie quotidienne du présent parmi les survivantes…
Ces dernières sont volontiers à moitié dingues (avant et après) mais tout de même, très régulièrement, les scénaristes (la plupart du temps, des féminazies hargneuses et vindicatives bien sûr) font beaucoup trop régulièrement… n’importe quoi ! on a du mal à croire à tout ce fatras…!
Néanmoins, la première saison se montre intrigante et sait certainement appâter le spectateur (et la spectatrice) téméraire… on nous fait miroiter des complots et des machinations, des choses affreuses et des évènements horribles dans cette épreuve de survie au long cours, et d’ailleurs les deux ou trois derniers épisodes de la première saison semblent vraiment se réveiller…
Et puis, et puis… la seconde saison fait juste… pschiiiit ! on repart pour du remplissage et le miroir aux alouettes, les rebondissements de plus en plus bidons, des trous béants dans le scénar de crevardes et des incohérences qui nous prennent vraiment -très régulièrement- pour des cons !
Signalons également un wokisme trop envahissant et plus ça va, moins ça va : la propagande pour la diversité mais surtout pour la ligue LGBT turbine à plein régime ! c’en devient très fatigant… et ridicule également.
Dans ces conditions globalement déplorables, nous décidons de ne pas poursuivre l’aventure… dommage pour Christina Ricci étonnante en cinglée manipulatrice et dommage aussi pour Juliette Lewis épatante en tarée alcoolo : dans la saison 1, elle apportait un vrai plus… mais la seconde saison dénature tout son personnage, hélas !