Y'a pas que nous qui souhaitions renouer avec Death Note ; leurs auteurs aussi. Parvenir à s'illustrer comme une nouvelle facette du Shônen ; une qui fut excellente sans jamais être imitée par leurs confrères, ça pose une certaine notoriété. Alors quand ces deux-là aiguisent les crayons, l'un pour écrire, et l'autre pour dessiner, ils savent qu'au bout de l'œuvre qui vient, il y a aussi leur réputation. Bakuman achevé, il fallait exploiter un nouveau filon pour mériter son aura... à moins d'en revenir au précédent. Je ne sais pas si c'était une erreur de leur part que de chercher à s'atteler ici à une expérience Death Note controuvée, néanmoins, force est de constater que, si cela partait d'une bonne intention, ça n'était finalement pour arriver nulle part.


Car voilà qu’on renoue effectivement avec l’esprit Death Note le temps de cette dérive. La comparaison, en l’état ne peut simplement pas ne pas être faite. Alors non, il n’y a plus de Shinigamis, il y a des anges ; voilà qui change tout. La noirceur et le drame ne sont pas absents alors que le personnage principal – par accident – use de son pouvoir malgré lui pour pousser sa tante au suicide. Un Death Note détourné me direz-vous ? Pensez donc, pensez donc...


On ne saurait supputer les intentions des auteurs, pas à moins qu’ils ne communiquent à ce sujet, mais il y a une claire envie, si ce n’est même un besoin, de renouer avec la gloire de Death Note. On ne retrouve pas simplement des emprunts appuyés comme du passage de Yu Yu Hakushô à Hunter x Hunter, mais la trace flagrante de calques entiers. Ce n’est pas un mal en soi du moment que l’on sait démarquer son œuvre de la précédente. Souhaiterait-on cependant ne pas observer la trace de Death Note ici et là, à chaque recoin de chaque chapitre, qu’on ne le pourrait tout simplement pas.


Comment justifier une œuvre qui n'a pas de propos et l'admet avec outrecuidance ? Les motivations affichées sont exécrables : «Être heureux». Oui, c'en est apparemment fini des ambitions de Kira, nous renouons bel et bien avec l'esprit Shônen ; un esprit qu'il vaut mieux se garder d'invoquer. Devenir Hokage ou bien Seigneur des Pirates, pour pompant que ce soit, ça a au moins le mérite de tenir sur le papier ; mais «être heureux», on pourrait faire plus vague ?

Death Note laisse ses gros doigt sur le papier quand on constate que les pouvoirs accordés par les anges ont des effets remarquablement simples, mais, du fait des règles qui leur incombent, peuvent aboutir à des utilisations on ne peut plus ingénieuses. Du moins au début de l'œuvre, lorsque les auteurs s'appliquaient encore. Savoir se jouer des règles établies pour donner lieu à des surprises puisées dans le vide juridique et l'association de normes, ça, c'est du Mind Game comme j'aime. Les pouvoirs apparaissent initialement surpuissants - et ils le sont - mais sont contrebalancés ce qu'il faut pour justement rendre leur application plus complexe qu'elle n'y paraît.


Les personnages sont foncièrement inintéressants dans l’ensemble, ce à quoi ne nous avait pas habitué Tsugumi Ohba pourtant. Du balourd libidineux qui utilise son pouvoir pour assouvir ses fantasmes, au beau gosse démesurément narcissique se prenant pour un héros, en passant par la lycéenne insipide, ce sont bel et bien des nuances de merdes qui nous tachent les doigts à la lecture lorsque l’on se saisit du premier tome.

Si j’avais été Dieu – oui j’en suis arrivé à un tel niveau de mégalomanie qu'il n’y a même plus lieu de s’en formaliser – j’aurais cherché mes candidats dans le monde entier ; pas uniquement au Japon. Pays où sont apparemment rassemblés les seuls personnages dignes de lui succéder au simple prétexte qu’il s’agit de la ville la plus densément peuplée au monde. La majorité des candidats sont par ailleurs issus de la même préfecture et même, dans deux cas savamment téléphonés, du même lycée ou encore de la même classe. La ficelle scénaristique est si mal nouée qu’on ne pourrait même pas se pendre avec. C’en est franchement grossier, et c’est un commentaire dont on n’aimerait ne pas affubler des auteurs aussi talentueux. Mais quand on sait quels sommets ceux-ci ont atteint par le passé, on mesure mieux l’étendue de la chute lorsque l’on voit où ils ont atterri avec Platinum End. Malgré tout, on se risque à espérer et ce, en sachant que toute nouvelle déconvenue éventuelle ne pourrait dès lors qu’être plus douloureuse. Un peu comme se bercer d’illusions devant un cancéreux dont on ignore le caractère métastasé. Il aurait fallu se rendre à l’évidence plus tôt, mais j’ai voulu y croire. C’est ma faiblesse.


De faiblesses en revanche, les protagonistes n’en ont pas tellement. Une flèche permet de soumettre n’importe qui à sa volonté, une autre de la tuer instantanément d’un arrêt cardiaque d’origine inconnue (ahem) avec une seule paire d’ailes pour esquiver. Une fois cet état de fait brossé du bout du pinceau – mais alors du bout du bout – on découvre une orchestration du récit qui cumule un caractère sommaire et démesuré ; mêlant l’un à l’autre les pires tares puisées dans la modestie et dans l’hubris. On a alors affaire ici à une forme de pusillanimité tonitruante avec tout ce que l’aphorisme comprend d’oxymores. Tout ce qui pourrait être bon ne l’est pas faute d'audace. Néanmoins, ça s’améliore très vite dès le deuxième volume. Ce qui m’apparaissait comme des pouvoirs démesurément puissants, grâce à une orchestration de récit menée habilement – je n’osais plus l’espérer – trouve enfin le moyen de surprendre à chaque occasion de mise en exergue de leurs attributs. Le fait de pouvoir transmettre des pouvoirs permet qui plus est de multiplier les perspectives dans un conflit partagé entre différentes factions.


De l’amour gnangnan de si haute volée, je n’en avais pas eu vent depuis l’incursion de Tae-chan au milieu de ce magnifique foutoir qu’était Gantz. Et allez savoir pourquoi, je ne m’en portais que mieux. L’amourette lycéenne des personnages principaux est à se cogner la gueule contre les murs jusqu’à entamer le béton armé. Kakehashi et Saki forment un couple effroyable de mièvrerie dégoulinante. On se sent sale rien que d’en parler tant leur relation est fondée sur le vide pour le laisser résonner en un écho constant tout du long de l’œuvre. C’est en deçà du superficiel et ça nous rappelle les heures les moins glorieuses de Bakuman. Errare humanum est, perseverare diabolicum.


J’ai le sentiment que Tsugumi Ohba ne sait pas - ne peut pas - écrire des personnages féminins. Son registre est remarquablement limité en la matière. La figure pure et virginale aux grands yeux larmoyants ; plus angélique que les anges mêmes descendus des cieux, est un archétype qui, à moins d’être somptueusement mis en scène, devient vite inconvenant pour ne pas dire franchement cucul. Car cette figure, pour ce qu’elle a de glorieuse du fait de ses attributs, a vite fait de passer pour une petite conne renfermée sur elle-même quand on ne brosse pas sa personnalité du bout d’un stylo plus fin pour mieux en dessiner les détails.

Vous croyez que les auteurs s’en seraient tenus uniquement à un seul excentrique en combinaison de super-héros modèle Sentai ? Eh bien en voilà deux autres qui rappliquent. Il faut apparemment avoir une mention otaku pour être candidat au trône de Dieu.

Voudrait-on deviner l’identité des costumés qu’il suffirait simplement de retracer les commandes de combinaisons similaires – des éditions limitées d’après ce qui est rapporté – afin de déterminer aisément qui en sont les propriétaires. Que ce soit ça, ou bien même de retracer les virements d’argent de Metropoliman adressés à ses deux complices lors de l’affaire du stade. Ça, Light y aurait pensé. Ça, même l'inspecteur Gadget l’aurait compris. Ces pistes d’enquête, ici, ne sont pas même envisagées par quiconque et ce, bien que le monde entier ait pris connaissance de leur existence et de leur apparence. Il y a simplement trop d’indices pour que personne ne puisse deviner leur identité.


Les affrontements, malgré le cadre limité des pouvoirs, trouvent le moyen d’être assez prenants ; mêlant action et tactique sans jamais trop en faire dans un registre ou dans un autre. Exploiter des pouvoirs simples et définis pour donner lieu à des affrontements aux portions complexes, en plus d’être louable, trouve aussi le moyen d’être plaisant à la lecture. On retrouve les mêmes habitudes que Light alors que ce dernier cherchait constamment à tester les limites de son pouvoir et à expérimenter sans cesse afin de connaître l’étendue de ses applications ; et à ça, je n’y fus pas indifférent.


L’arc du stade de baseball m’a en tout cas conquis nonobstant les défaillances du scénario. Notamment le fait que Metropoliman, apparemment, avait deviné que deux des candidats désignés par les anges auraient recours à des costumes analogues au sien ; en atteste le fait que ses complices avaient eux aussi des costumes préparés pour l’occasion. Des costumes qui, en plus, n’étaient pas des doublons, laissant entendre par là qu’il avait même deviné la couleur des combinaisons sentai de ses adversaires. Comment a-t-il fait ? Comment les détectives ont-ils découvert que Saki et Kakehashi étaient des candidats ? Vous demanderez à monsieur Ohba, mais je ne suis cependant pas intimement persuadé qu’il soit capable de vous répondre.

Décidément, l’auteur est autrement moins méticuleux pour combler les failles scénaristiques qu’il ne l’était du temps de Death Note. Toutefois, il sait se rattraper en d'autres occasions.

Tuer aussi implacablement une enfant innocente dans un Shônen est un régal. Y’en a qui crieront au racolage, mais c’est si bien justifié que je ne trouve motif qu’à m’en satisfaire. Go Nagai le faisait bien, et sa postérité n’en est ressortie que plus illustre de ce seul fait. Et puis, le massacre ne s’arrête pas là. Lycéennes et enfants en ont pour leur grade là où les lecteurs en ont pour leur bon plaisir. Non ? Juste moi ? Tuer des jeunes enfants aussi innocents dans un Shônen dénote un certain courage éditorial en tout cas, et c’est à mettre au crédit de l’œuvre.

Le personnage de Rokukaido en tout cas m’a plu. D’autant que la présence d’adultes dans un groupe de jeunes personnages de Shônen donne, j’en ai l’impression, une autre impression de la dynamique de groupe. Lui en tout cas incarne la meilleure figure de mentor qui ait jamais pu être rapportée dans un Shônen à ma connaissance. J’avais cru pouvoir, avec désinvolture et sans vergogne, acter du deuil de l’ombre même d’un personnage intéressant, mais les caractères s’affirment à mesure qu’ils s’affinent et, si tous les personnages ne deviennent pas nécessairement agréables, on leur passe plus volontiers certaines tares à tandis qu’ils se développent. Un jugement à l’emporte-pièce comme celui qui fut le mien à la seule lecture des premiers chapitres serait forcément vicié compte tenu de l’évolution du récit et de l’apport permis par ses nouveaux protagonistes, sans compter l’évolution des plus anciens.

Une évolution modérée, qu’on s’entende, mais une évolution qui se doit d’être remarquée pour ce qu’elle a de rare dans le milieu du Shônen. Les thèmes sont plus matures par ailleurs que ce qu’on peut attendre d’un Shônen ; là encore, nous renouons avec un des attraits de Death Note. Une tueuse en série lesbienne parmi les antagonistes revêt quant à elle un profil qu’on n’a que trop peu vu ailleurs et qui, ici, est en plus sympathiquement relaté.


L’un des soucis intrinsèque aux Shônens impliquant des combats en milieu urbain se rapporte au terrain. C’est généralement assez peu varié. Des avenues commerçantes ou bien au milieu des immeubles, ça n’offre jamais un cadre original et ça participe du désintérêt qu’on peut potentiellement éprouver pour un combat. On ne pense jamais au terrain quand il y a une baston dans un Shônen, et pourtant, ça importe.

Ohba et Obata ont eu le nez creux en optant tantôt pour un stade de baseball, un palais des miroirs ou le sommet de la Grande Tour. Rien n’est dessiné au hasard et on sent que le récit est contrôlé d’une main de maître. C’est la poigne de deux auteurs qui se noue autour de la trame afin d’éviter à cette dernière de commettre le moindre écart ; et le résultat est probant.

J’ai toutefois le sentiment Takeshi Obata n’a pas encore tourné la page depuis All You Need is Kill. Cette propension à vouloir dispenser à foison des uniformes guerriers aux teintes mécaniques en atteste, je le crois. Peut-être suis trop esthète ou bien pas assez pour apprécier l'intention. Toutefois, cette combinaison trouve un sens dans le fait de devoir dissimuler son identité et se protéger de certaines attaques ne relevant pas des pouvoirs angéliques.

Certains plans durant les combats en combinaison, je l’admets, ne laissent pas indifférent. Malgré le parti-pris esthétique qu'on peut considérer comme douteux ; le dessin est soigné ce qu’il faut pour mettre une bonne claque (visuelle) derrière la nuque de la plupart des auteurs de Shônens, et même de bon nombre d'auteurs de Seinens. Ça a de la gueule et ça dégueule une certaine classe. On aurait beau ne pas y être réceptif qu’on ne pourrait pas le nier. Je le remarque bien tard alors que je critique une œuvre dessinée par Takeshi Obata pour la cinquième fois depuis ses débuts, mais son style et son talent ne sont jamais suffisamment évoqués lorsqu’il est question de recenser les plus belles plumes du milieu.


Et c’est là où j’observe que les influences du duo, que ce soit pour le dessin ou encore la trame, vont au-delà de leur propre répertoire. Les deux ne font pas que cannibaliser Death Note, mais reprennent divers éléments de Zetman, à commencer par l’antagoniste fils de riche avec son propre costume (oui, je sais, Batman), sans compter la proximité de certains dessins qui, par moments, aspirent à se confondre avec ceux que de Masakazu Katsura. Platinum End, pour ce qui est des atomes qui le constitue, aura aussi bien été conçu depuis les restes de Death Note pour être aggloméré à des bribes de Zetman et saupoudré de quelques airs de Shaman King. Bah ça rend foutrement bien. Au début du moins.


Metropoliman, qui m’avait fait une exécrable première impression, n’en finissait pas de monter dans mon estime à mesure qu’il se développait sans forcer son trait. Sa réponse laconique et presque blasée à la question «Comment peux-tu tuer des gens aussi facilement ?» m’a arraché un sourire satisfait. Ohba a pris à rebours la chouinerie trop gentille du protagoniste de Shônen classique qui, alors qu’il argumente péniblement son plaidoyer quasi-droit-de-l’hommiste, passe finalement pour le perdant du débat philosophique qui s’engage.


Le combat quatre contre quatre s’éternise et trouve le moyen d’être prévisible. Rien qu’une succession de 1 vs 1 tandis que les autres restent l’arme au pied. D’autant que le déroulé était verbeux. Chacun y sera allé de son quant à soi en trois encyclopédies pour nous dire ce qu’est la vie, ce qu’est l’amour et je ne sais quelles autres fadaises.

Le programme de Metropoliman m’amène à croire qu’il mériterait ses accès au gouvernement. Vouloir atteindre l’égalité absolue entre les Hommes en tuant les pauvres, ça, au moins, c’est assumé. Y’a du Sanctuary dans le texte.


Après que les détectives aient commencé à réunir les candidats, l’intrigue s’est perdue dans une revisite de la Communauté de l’Anneau. Subitement, voilà qu'on rassemble les candidats restants qu’on parvient à traquer et à découvrir Dieu sait comment – je vous parle vraiment d’un trou béant dans l’intrigue – et ça vivote ensuite sans trop savoir quoi foutre. En ce sens, Platinum End émule parfaitement la désastreuse deuxième partie de Zetman. Et ce petit con qui parle sans cesse de se suicider m’aura conduit à vouloir me matérialiser dans l’œuvre pour le simple plaisir de l’étrangler de mes propres mains. Yoneda n’aide malheureusement pas à relever le niveau, même si le personnage en soi est intriguant.


Ça cause, ça jacte et pourtant, ça ne dit rien. Alors, fatalement, ça ne me dit rien d’écouter. Les réflexions théologiques, merci bien, mais venant d’un Shônen, je me doute bien qu’on ne s’avance par vers des réflexions de haute-volée. Nous n’aurons droit qu’à du blabla adolescents ; et pas d’adolescents franchement brillants, il faut le dire.


L’intrigue met du temps à accoucher d’une fin mais nous épargne au moinns une conclusion prévisible. Des truismes, cependant, auront parcouru son cheminement jusqu’à ce qu’elle aboutisse. L’interview des badauds qui passent dans l’antépénultième chapitre m’aura rappelé la conclusion d’Alice in Borderland ; mais cette fin-ci ne ressemble à aucune autre. Même si elle a le mérite de l’originalité, je ne sais pas quoi en faire ; j’ignore à quoi elle a abouti concrètement. Un message nihiliste pousse inexorablement vers le néant, tel fut alors mon ressenti à la conclusion de Platinum End. Un titre qui se sera parfois risqué à essayer des choses au milieu d’un fatras de platitudes, et qui aura trop souvent échoué à convaincre son lecteur du bienfondé de ses œuvres.


Oui, Platinum End était finalement une recette sans ingrédients ; une composition qui avait plus d'idées que de substances concrètes pour donner du corps et de la consistance à l'œuvre. Tsugumi Ohba et Takeshi Obata - c'est incontestable - ont voulu recréer Death Note. L'inconvénient étant qu'ils n'avaient apparemment pas compris ce qui avait fait le succès de leur titre phare.

Josselin-B
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le 22 oct. 2022

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Josselin Bigaut

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