Avec "> album title goes here <", deadmau5 propose un album techniquement impeccable, mais émotionnellement distant. Sorti en 2012, le projet mêle morceaux accrocheurs comme "The Veldt" ou "Professional Griefers" à des titres plus expérimentaux, parfois trop abstraits pour vraiment captiver.
Si la diversité des sons témoigne d’une vraie maîtrise, elle nuit à la cohérence de l’ensemble. L’écoute donne l’impression d’un collage d’idées plus que d’une vision artistique claire. L’album manque d’un fil conducteur et d’une chaleur humaine qui pourraient le rendre plus marquant.
Ma note de 5.5/10 reflète cette dualité : un album soigné et ambitieux, mais frustrant par son manque d’émotion et sa direction floue. On admire le savoir-faire, mais on reste un peu en dehors.
Créée
le 15 avr. 2025
Critique lue 4 fois
Battlestar Galactica (2004) n’est pas seulement une série de science-fiction, c’est un laboratoire politique sous haute tension. Si je lui ai mis 9/10, c’est parce qu’elle réussit à conjuguer tension...
Par
le 3 juin 2025
2 j'aime
Amy Seimetz signe avec "Sun Don’t Shine" un road movie moite et haletant, où l’amour devient poison et la lumière du jour, une menace. Porté par une mise en scène sensorielle et oppressante, le film...
Par
le 30 avr. 2025
2 j'aime
Aujourd’hui, je vais vous parler d’un documentaire qui m’a profondément marqué : Des abeilles et des hommes, réalisé par Markus Imhoof en 2013. J’ai choisi de lui attribuer la note de 8,5 sur 10, et...
Par
le 30 avr. 2025
2 j'aime
