Difficile de décrire ce que j'ai ressenti la première fois que j'ai entendu cet album.
C'était en tout cas suffisamment fort pour que je me rappelle encore aujourd'hui l'endroit et le moment exact où j'ai entendu pour la première fois la voix inimitable/inégalable d'Amy Winehouse ; j'étais dans ma voiture sur la N356 à 5/6 minutes de Lille vers 18 heures. La radio annonçait deux morceaux consécutifs d'une "nouvelle" artiste. Les deux morceaux en question : "You know I'm no good" et "Back to black".
Le temps s'est arrêté ; j'étais subjugué, hypnotisé et je me suis empressé d'aller acheter l'album de lendemain.
L'écoute de l'album dans son intégralité m'a évidemment plus, mais m'a aussi fait relativiser la claque reçue sur la N356.
C'est à dire que si "You know I'm no good" et "Back to black" sont des morceaux exceptionnels, c'est beaucoup moins de cas de titres comme "Just Friends", "Some unholy war", "he can only hod her" ou "addicted".
L'album est donc irrégulier même s'il contient un enchaînement très agréable de Back to Black (4ème titre) à Wake up alone (7ème titre) ce qui fait tout de même quatre titres de très bonne facture qui s'enchaînent naturellement.
Au final et avec les années on revient surtout sur les gros hits et...
....On pleure qu'il n'y ait jamais eu de suite.
En synthèse : inimitable et donc inégalable