DIIVers et variés, mais pour moi sans intérêt...
J'ai conscience d'être un râleur mais je tiens à rester un râleur cohérent. Donc après ne pas avoir été convaincu par Zachary Cole Smith et ses Beach Fossils...
Par
le 11 mars 2013
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Avec Oshin, DIIV livre un premier album qui m’a séduit par son atmosphère enveloppante, presque liquide, et son identité sonore marquée. Ce 8/10, je le donne pour la cohérence de l’univers, la finesse des textures et cette capacité rare à créer un espace mental entre mélancolie et évasion.
Les guitares vaporeuses, la basse hypnotique et la voix fantomatique forment un tout presque méditatif. On est porté par des morceaux comme "Doused" ou "How Long Have You Known", plus tendus, qui viennent réveiller la douce léthargie ambiante.
Mais si l’album fascine, il souffre aussi d’un certain manque de relief. Trop de morceaux se ressemblent, et l’émotion reste parfois contenue, à distance, comme à travers un voile de brume.
Oshin reste malgré tout une œuvre précieuse, à écouter les yeux fermés, prêt à se laisser dériver. C’est une rêverie sonore cohérente et sincère, qui touche sans frapper, mais laisse une empreinte durable.
Créée
le 11 avr. 2025
Critique lue 5 fois
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le 11 mars 2013
2 j'aime
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le 11 avr. 2014
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le 11 avr. 2025
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