D’abord hors du temps, dans un monde apparemment à notre portée mais si lointain, le récit de Phénix prend son premier envol il y a de cela plusieurs millénaires. Je n’en finirai jamais d’être dérouté par les dessins de Tezuka – ceux de cette période tout du moins – où des traits infantiles portés sur des visages grotesques et légers parcourent une œuvre où le drame y est pourtant bien présent. Un chasseur espérant sauver sa femme de la mort finit carbonisé par le phénix qu’il pourchasse et un médecin perdu manque d’être sacrifié par la tribu qui le capture. Ceux qui verraient dans ces planches – au prétexte du seul dessin – une transposition d’Astérix nippon se fourvoieraient dans les grandes largeurs. Osamu Tezuka, il est vrai, nous a déjà bien prouvé que le récit dramatique le plus inqualifiable était scintillant quand il y frottait sa plume.


L’ironie du sort, ou bien d'un soupçon de destinée, aura voulu que l’œuvre inachevée de Tezuka soit celle qui traitait d’un oiseau immortel. Immortelle, l’œuvre l’est devenue d’elle-même quand son auteur expira en 1989, consacrant alors son palmarès d’une acmé flamboyante. Tezuka n’aurait pu mieux consolider sa légende qu’en faisant de Phénix son récit inachevé par excellence ; la gardienne de sa postérité éternelle.


En bon diplômé de l’école de médecine, l’auteur, bien assez tôt, ne manquera pas de nous rapporter sa science. Une science qui va au-delà de la médecine puisque l’histoire, alors que le récit s’étale sur bien plus de deux millénaires, enrobera les chroniques du phénix quand celui-ci traverse les âges. Nous aurons même droit à un passage du côté de la Corée et de la Chine antique. Tezuka trouve alors le moyen d’être didactique de par sa documentation étoffée en se gardant bien être pédant lorsqu’il nous instruit. Ainsi, par une maîtrise de sa narration qui rappellera Kamimura dans ses effets, les connaissances qui nous parviennent s’imbriquent sans peine dans ce que l’auteur a à nous faire parvenir.


L’humour Tezuka, plutôt enfantin, est pareil à celui qui m’était parvenu du temps de ma lecture de La Vie de Bouddha, avec son lot de remarques anachroniques qui, ici où là, parsèment parfois le récit sans trop prévenir. N’en attendez pas grand-chose, d’autant que celui-ci sait s’effacer quand le sérieux de la trame le commande. Ces saillies drolatiques avaient peut-être le potentiel de faire rire de jeunes enfants dans le Japon des années 1960, mais elles paraissent s’être fossilisées avec les décennies. Certains passages ont cependant trouvé le moyen de m’arracher un sourire coupable après m’avoir pris au dépourvu.


Ce n’est pas pour l’humour ou pour les agréments qu’on lit Osamu Tezuka, mais pour ses histoires et son audace. Le paneling ; le découpage des planches, a été ici le théâtre d’expérimentations audacieuses que trop peu se sont un jour essayés à imiter, et encore moins à poursuivre. Le paneling en spirale – parmi tant d’autres – aura franchement été époustouflant. Il est à la fois spectaculaire et déprimant de se dire qu’un des mangakas les plus ambitieux pour ce qui est des modalités de construction de son récit se trouve aussi être un homme disparu depuis plus de trente ans. La relève, dans l’ensemble, reste résolument couchée.


Ce qui était initialement hors du temps se précise alors dans l’espace et la chronologie quand l’invasion s’accomplit. Ni femmes ni enfants ne sont épargnés. Car à l’époque, il était encore permis de stimuler l’imaginaire avec un contenu plus osé et mieux réfléchi. Se dire que certains mangakas ont pu grandir avec de telle œuvres pour aboutir à ce qu’ils nous ont sorti du bout du crayon ne peut que révolter. Des promesses ont été faites, mais les héritiers de ceux qui les ont clamées se sont bien gardés de les tenir pour la plupart d’entre eux.


Les personnages, loin des traits simplistes – mais savants – qui les composent, s’illustrent tous par une certaine dualité. Le manichéisme n’a pas sa place malgré la trahison et la cruauté qui s’orchestre à différentes occasions. Ceux que l’on croit pouvoir haïr trouveront moyen de nous être sympathiques là où ceux que l’on croyait pouvoir aimer briseront parfois le cœur du lectorat. Quand c’est bien écrit, ça l’est à chaque strate de ce que l’œuvre a à nous proposer.


La trame, à mi-chemin entre la légende, l’Histoire et la science-fiction, offre un cadre narratif là encore particulièrement innovant du fait de ses saines audaces. L’audace c’est une chose, mais la maestria, c’en est une autre. Il ne suffit pas d’avoir un grand projet pour l’exécuter avec brio. Et pourtant, Tezuka y parvient ici apparemment sans peine avec une œuvre pareille à nulle autre. Phénix est un conte sanglant et riche d’émotions ; les enfants comme les adultes seront touchés au même titre.


L’intrigue, palpitante et variée, ne trouve jamais de répit. Chaque case qui nous est accordée nous saisit et nous divertit, il n’y a que rarement la place pour la lenteur. La narration est superbement réalisée et les différentes pistes exploitées le sont jusqu’à y puiser le moindre minerai d’imagination. Le relai s’accomplit sans heurt entre les protagonistes qui se succèdent. Les années, les siècles, puis les millénaires s’écoulent naturellement en nous emportant avec eux le long du périple qui accompagnent les âges. Les allers et retours y sont fréquents et, aussitôt a-t-on quitté les gratte-ciels qu’on retrouve les armées antiques de Yamatai pour plus tard s’envoler dans l’espace. Le récit nous bouscule pour ne pas nous laisser en terrain connu. Il n’y a pas qu’une seule œuvre dans Phénix, mais une multiplicité de trames qui émergent des flammes chaque fois que renaît l’oiseau. L’occasion pour l’auteur d’exploiter de nouvelles pistes d’intrigues aussi diverses que variées, quitte à apparemment passer du coq à l’âne.


Tezuka nous gratifie occasionnellement de ses réflexions sur l’Homme et sur le monde. Bien que ces réflexions ne sauraient être confondues avec des platitudes quelconques, leur profondeur sera appréciée à l’avenant. Je n’y ai pas vu que de la sagesse en ce qui me concerne, plutôt quelques réflexions très à propos qui, pour l’occasion, auraient été remaniées sous les vers d’une savante poésie qui se dessine. Le cœur nucléaire de ces réflexions consistait le plus souvent à enjoindre les Hommes dévorés par l’hubris à accepter l’ordre naturel plutôt que de se perdre sur le sentier de Prométhée. L’immortalité tant convoitée est un poison dans lequel tous rêvent d’y tremper les lèvres. Et quand il s’en trouve pour y parvenir, les regrets les accablent pour l’éternité.


L’aventure de Masato est simplement prodigieuse au regard de ce qui attend son histoire à chaque nouveau tournant. Voilà à quoi ressemble le périple d’un homme qui, malgré lui, devient Dieu. Certains auraient dû s’en inspirer avant de s’essayer à leur version. J’ai sans doute lu à cette occasion une des meilleures compositions de science-fiction concevables dans le milieu du manga.


À mesure qu’on poursuit Phénix, on comprend que l’œuvre soit restée inachevée : car celle-ci n’a jamais été conçue pour parvenir à un terme. Tezuka eut-il vécu encore un milliard d’années que jamais Phénix ne se serait terminé. Le concept derrière l’œuvre, quand on en prend la mesure, nous apparaît brillantissime : Phénix est, dans le recueil des œuvres d’un auteur, l’apothéose suprême ; le point final qui ne finit jamais.


Il est cependant des histoire auxquelles on s’attache plus volontiers qu’à d’autres. Le sommet d’une intrigue atteint à la conclusion d’un tome nous paraît lointain quand sa suite, qui débute à peine, ne parvient pas à renouveler aussitôt la précédente extase. C’est un sentiment de déception plus qu’une réelle déception, mais repartir de zéro ou presque après avoir littéralement côtoyé l’infini donne souvent des impressions de chute libre.


Malgré tout, je n’en démords pas, certaines histoires sont à des années lumières au-dessus de celles qui leur succèdent. Passer de Masato à Oguma suggéra le sentiment d’une dégringolade après que nous nous soyons hissés si haut à la seule force d’une narration qui nous accompagnait formidablement sur le fil de l’intrigue. Mais quelle ascension par la suite alors que nous quittions le Corée antique pour une trame paranoïde au beau milieu de l’espace dans le huis clos le plus étroit qui soit, ponctué d’une conclusion terrible me rappelant L’École Emportée pour ce qu’elle avait d’horrifique. Horrifique, oui. La narration, protéiforme, se pare ici de nouveaux atouts pour nous raconter une nouvelle histoire à la fois déchirante, prenante et atroce sans jamais toutefois s’émanciper de la trame initiée au premier volume. Car le phénix, toujours, bat des ailes au loin. Et celui-ci, à tous les âges, rôde et virevolte autour de la lignée maudite de Saruta.


Et quand je pensais que seuls les scénarios s’occasionnant dans le futur me faisaient chavirer pour ce que la science-fiction et l’histoire avaient à m’offrir, l’épopée de Gao se présentait enfin à mes yeux de lecteur circonspect pour mieux les ébahir. Pas de bandit au grand cœur qui tienne en ce qui le concerne : les innocents y ont droit et l’injustice prévaut comme si l’ordre naturel l’exigeait. Après tout, un volume auparavant, on ne se privait pas de tuer un nourrisson avec une absolue brutalité ; tout cela ne s’inscrit finalement que dans une sordide continuité. Et ce, sans jamais que la violence ne soit outrancière. Rien n’est tapageur avec Tezuka, car tout est à propos. La violence, après s’être accomplie sans ambage, laisse place à la sagesse et la beauté de ce monde dans une alternance de bon aloi. Une coccinelle et quelques gouttes d’eau s’acceptent en contrepoids de l’atrocité inhérente à la quête de deux hommes bercés dans un contexte historique et politique qui leur a fait bien du tort. Le tout, avec une histoire de rédemption qui, elle, est crédible contrairement à d’autres. Je suis estomaqué de me dire qu’un contenu si dense ait pu être condensé parfois en moins de trois-cents pages. Phénix doit décidément donner des complexes à tous les mangakas consciencieux que compte cette Terre. Heureusement pour la profession, ceux-ci sont rarissimes.


Plus on enchaîne les tomes, et mieux on comprend à quel point Tezuka a influencé tous ces auteurs que j’ai eu le culot de lui privilégier avant de me résoudre enfin à le lire. L’histoire du cerveau artificiel qui s’offre à nous à l’occasion du cinquième volume, nous narre comment Leon aperçoit le monde du vivant sous des formes improbables et répulsives. Une pareille histoire a indubitablement dû influencer Hideo Yamamoto à bien des égards.


Osamu Tezuka, que je tenais pour le modeste instigateur du manga moderne, s’est révélé être bien plus que ça. L’homme-là, il aura tout inventé en quarante ans de carrière ; du Shônen au Gekiga en passant par le Shôjo (il aurait mieux fait de se casser une patte dans le dernier cas), il a fondé plus que les bases du genre qu’il a initié. À Dieu, il lui aura fallu sept jours seulement, mais un démiurge mortel est autrement plus méritant dans ses œuvres. À plus forte raison que Dieu l’aura rappelé à lui prématurément. Car après avoir visé si haut toute une vie durant, les astres lui revenaient de droit. Tezuka n’avait simplement plus sa place parmi nous autres pauvres mortels.


Parce qu’Osamu Tezuka, il y a ceux qui le considèrent comme surestimé à outrance, et il y a ceux qui ont lu ses œuvres majeures. Moi aussi, avec rien d’autre que Les 3 Adolf et la Vie de Buddha dans la musette, je ne lui trouvais rien de franchement auguste à cet auteur-là. Pour un peu, je me surprenais à l’abhorrer – pour de bonne raisons néanmoins. Mais avec une anthologie comme celle de Phénix entre les mains, la révérence, soudain, allait de soi ; l’échine se courbait sans qu’on ait à le lui commander. Je me plais à croire qu’avec une œuvre pareille, Tezuka a mis la barre si haute que tous les mangakas lui ayant succédé ont baissé les bras. Parce qu’il en faut de la volonté et de l’abnégation pour surpasser l’Everest.


Les meilleures portions de science-fiction persistent à s’agencer sous nos yeux. Pas besoin de clinquant ou d'inutilement complexe et élaboré, rien que d’excellentes idées originales et une narration au sommet. Du talent en somme. Et beaucoup. Car créer une histoire époustouflante, c’est une gageure en soi ; mais en écrire plus d’une dizaine à la suite dans un même recueil, cela nous paraît inconcevable même après l’avoir constaté de ses propres yeux.


Registre divin toujours, Tezuka revisitera le jardin d’Eden en y associant du rationnel. C’en sera sordide à souhait. Au menu, inceste sur trois générations et cannibalisme. Mais ça n’est jamais présenté horriblement ou complaisamment ; la scénographie aide pour beaucoup à ne pas offrir un rendu provocateur et prompt au jugement de valeur, mais un contenu réellement pertinent pour ce qu’il a à mettre en avant.


L’alternance entre deux époques apaise toutefois la lecture quand certains arcs se seront trop prolongés. L’Odyssée Interstellar de Romy, après sa nouvelle Eden, tire quelque peu en longueur à trop se disperser dans l’univers. L’histoire qui lui succéda fut un changement de ton applaudit pour ce qu’elle avait de salutaire. D’autant que le conclusion d’Eden 17 a été torchée de manière expéditive avec un fatalisme blasé. L’auteur a eu beau tenter d’enrober le tout dans le lyrisme en dernier recours, le soufflé est retombé passé la première partie de l’histoire.


Tant de sujets auront été abordés, des sujets qui vont au-delà des contes qui les relatent. La question du privilège, du sens de la vie, de la nécessité de la mort, de la guerre et tant d’autres encore auront ici été abordés avec une remarquable acuité. Le récit ne se gonfle pas de philosophie de comptoir en cherchant à étaler sa science ; il se contente de nous raconter une histoire au sein de laquelle les notions précédemment évoquées y sont incrustées à propos. Elles ne nous sont pas forcées en travers de la gorge comme le font certains auteurs – oui, je vais encore frapper sur le Planètes de Yukimura – mais sont rapportées comme la juste morale d’un conte construit avec minutie et méthode. Des contes populaires du Japon, Tezuka se plaira à y puiser parfois la substance d’une de ses histoires pour lui donner une dimension qu’elle n’avait pas auparavant. Notamment pour ce qui concerne la légende de Benkei, remodelée et mélangée à une histoire réécrite pour l’occasion. La trame de Benta, bien qu’elle fut écrite sans faute, était néanmoins assez convenue en bien des occasions.


L’angoisse procurée par l’histoire de la nonne, en plus de revigorer une intrigue précédente qui s’était assoupie progressivement pour mieux sursauter par la suite, a probablement dû inspirer les maîtres de l’horreur dans leurs belles œuvres. Je doute par ailleurs que Atsushi Kaneko se soit un jour attelé à son ouvrage sans que jamais la lecture de Phénix ne lui soit passée sous ses prunelles. Quoi qu’il en soit, l’histoire de la nonne immortelle, du fait qu’elle fut plus courte que les autres, ne suscita aucune lenteur indue à la lecture. Il eut d’ailleurs été particulièrement malappris de lui amputer un morceau de scénario ou d’y greffer le moindre élément car tout y était parfaitement à sa place. Je ne saurais toutefois dire la même chose de chacune des intrigues que comporte Phénix sans avoir à trembler des lèvres. Pas même la trame des clones – pourtant moins longue elle aussi – ne méritera ne serait-ce qu’un millième des éloges des intrigues qui lui avaient pavé la voie. Pour un peu, cette histoire, elle était même de trop. Le Phénix n’y avait sa place qu’en forçant sa présence sur la seule foi d’un motif bien mal branlé. Cette histoire, autrement moins prenante que les autres, est une intrigue à part en ce sens où elle ne s’inscrit que difficilement dans les canons préalablement institués par l’œuvre.


L’histoire d’Inugami et Suguru, la dernière de toutes, en ce qui me concerne, me sera restée à l’esprit comme un morne et fade souvenir. Les deux protagonistes y étaient curieusement entremêlés sans qu’un lien franchement crédible ne les unisse finalement ; si ce n’est par le vague truchement d’une réincarnation décidément bien trop lyrique pour être acceptable. Avec cette composition, on ne retrouvait pas cette étincelle qui initiait auparavant le brasier de passions qui nous animait le temps des intrigues ultérieures. À la lecture, la cervelle y était, le cœur bien moins. C’était écrit convenablement, sans plus, et ça ne savait pas aller au-delà de la stricte écriture d’un scénario froid et calculé qu’on aura ensuite compilé en deux parties particulièrement copieuses. La lecture, alors, devenait plus laborieuse qu’elle n’aurait dû l’être.


Le Phénix, en l’état, n’était finalement pas aussi radieux et immaculé que j’aurais aimé qu’il soit. La note qui lui revient présentement se conçoit alors comme la moyenne de parties inégales. Une moyenne qui comprend néanmoins un de ces 9/10 que je ne dispense en principe qu’avec une avarice aussi proverbiale que justifiée. Dieu sait que je n’aime pas me prosterner devant des figures d’autorité, mais si je courbe l’échine devant Tezuka en quelques occasions, ce n’est pas du fait de son nom ou de sa réputation, mais de par la seule force de ses œuvres. Une force à laquelle on ne saurait résister et encore moins se soustraire pour peu qu'on fasse preuve d'honnêteté sur le plan critique.

Josselin-B
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le 7 juil. 2023

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Josselin Bigaut

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