Vraie claque dans la gueule, 28 WEEKS LATER enterre son prédecesseur, gardant ses critères sur la déshumanisation de notre société tout en y ajoutant une dose massive d'adrénaline épique, enchaînant les séquences marquantes. Un sommet de l'horreur dont on ne sort pas indemne, moralement et physiquement.

Créée

le 13 mai 2013

Critique lue 248 fois

1 j'aime

MaximeMichaut

Écrit par

Critique lue 248 fois

1

D'autres avis sur 28 semaines plus tard

28 semaines plus tard
Tallowisp
2

Un film de zombies fait par des zombies et pour les zombies !

Merci à Archenassa pour le titre. Si ce film est la suite de 28 jours plus tard (une vraie claque pour ma part) c'est leur seul point commun. L'un est un film avec une tension qui monte...

le 10 juin 2012

27 j'aime

13

28 semaines plus tard
archibal
6

London Killing

Une suite qui sort l'artillerie lourde en comparaison du premier volet assez intimiste. La démarche est en effet plus tape à l'oeil ici, outre les grosses explosions et autres ingrédients des...

le 8 févr. 2018

21 j'aime

2

28 semaines plus tard
Buddy_Noone
9

The kiss of hate

Londres, six mois après l'épidémie de fureur qui a transformé l'essentiel de la population anglaise en zombies véloces et enragés. Les quelques centaines d'Anglais ayant échappés à l'épidémie ont...

le 21 nov. 2015

19 j'aime

4

Du même critique

Un homme idéal
MaximeMichaut
5

"Le sable était noir..."

À l'image de son titre fraudeur, Un Homme Idéal patine prévisiblement sur ses ambitions de thriller référentiel, mésaventure romantique d'un plagiaire glissant sur la pente rocambolesque du crime...

le 25 mars 2015

23 j'aime

The Homesman
MaximeMichaut
8

Critique de The Homesman par MaximeMichaut

THE HOMESMAN est un sublime western empli de folie douce, où Tommy Lee Jones encre son talent de metteur en scène en brouillant avec talent les limites entre réalisme et fantastique, âpreté et...

le 19 mai 2014

15 j'aime

Baby Driver
MaximeMichaut
8

Des promesses à tenir et des miles à parcourir avant de revivre

Fraîchement rejeté du projet Ant-Man par l'écurie Marvel, Edgar Wright s'est lové dans l'un de ses amours majeurs de cinéma, The Driver de Walter Hill, pour enfin donner naissance à un projet vieux...

le 22 juin 2017

13 j'aime