Grazie Federico
Que dire si ce n'est que je n'ai pas envie de noter ce film sans vous raconter à quel point je l'ai aimé ? Fellini m'a déjà plu. Avec la Dolce Vita ou La Strada. Roma m'a grandement intéressée. Mais...
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il y a 9 ans
38 j'aime
Transposition stylisée des souvenirs d'enfance de Fellini à Rimini dans l'Italie fasciste des années 30, "Amarcord" se présente comme une suite de vignettes nostalgiques et loufoques, réel festival de libido baroque et fétichiste, à la manière habituelle du maître. Le meilleur du film n'est cependant pas la cocasserie de ses caricatures (le fascisme décliné sous forme de plaisante absurdité...) mais les quelques moments où se révèle la dimension tragique du regard de Fellini. "Amarcord" est un film choral avant l'heure, souvent drôle, truculent et terriblement attachant. Point d'orgue et symbole ultime de ce film appartenant à la veine intimiste et nostalgique de Fellini, l'apparition du navire en carton sur une mer de bâches en plastique, magnifique matérialisation de la croyance pure en la magie du Cinéma... [Critique écrite en 1999]
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Le 28 octobre 2014
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Que dire si ce n'est que je n'ai pas envie de noter ce film sans vous raconter à quel point je l'ai aimé ? Fellini m'a déjà plu. Avec la Dolce Vita ou La Strada. Roma m'a grandement intéressée. Mais...
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il y a 9 ans
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Amarcord ou "Je me souviens" en dialecte de Romagne. Un titre qui va à merveille avec cette oeuvre de Federico Fellini où le cinéaste italien évoque sa jeunesse dans l'Italie fasciste...
il y a 6 ans
32 j'aime
Je me souviens avoir vu Amarcord quand j’étais lycéen Je me souviens que j’avais l’âge de Titta et de ses copains Je me souviens qu’Amarcord veut dire « Je me souviens » Je me souviens de la prof de...
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il y a 4 ans
27 j'aime
9
Je viens de voir "Moi, Daniel Blake", le dernier Ken Loach, honoré par une Palme d'Or au dernier festival de Cannes et conspué quasi unanimement par la critique, et en particulier celle de gauche....
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il y a 7 ans
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Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été passées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
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il y a 3 ans
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Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
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il y a 3 ans
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