Une première heure très solide et prenante, où l'on verrait Boîte noire comme une deuxième variation française sur le film dédié au son (une sorte de successeur au Chant du loup d'Antonin Baudry).
Puis, le scénario avance ses pions... Et là, il faut bien dire que c'est un peu la foire aux énormités et aux balourdises. Pas assez cependant pour plomber totalement le film et entamer le capital de sympathie entamé dans la première partie.
Sa conclusion est même tout à son honneur, avec une mise en place de poupées russes méta où le film devient lui-même
lanceur d'alerte.