I miserabili
Excellent critique (notamment dans les revues « Cinema » et « Bianco e Nero »), scènariste honorable, Carlo Lizzani n'est pas le plus connu des rèalisateurs italiens! Pourtant, ce dernier fut amenè à...
Par
le 31 mars 2020
2 j'aime
Deuxième film de Lizzani, qui tient autant du genre policier que du mélodrame néo-réaliste. Une vision à la limite du misérabilisme de la banlieue pauvre de Rome, décrite avec un excèdent de pathos. Giuletta Masina y tient un rôle passif, cliché de la femme d'un homme fruste injustement accusé de meurtre.
Créée
le 9 sept. 2019
Critique lue 315 fois
D'autres avis sur Dans les faubourgs de la ville
Excellent critique (notamment dans les revues « Cinema » et « Bianco e Nero »), scènariste honorable, Carlo Lizzani n'est pas le plus connu des rèalisateurs italiens! Pourtant, ce dernier fut amenè à...
Par
le 31 mars 2020
2 j'aime
Un chouette drame / thriller néoréaliste italien qui se finit en film à procès. Pas génial mais attachant, et qui ressemble pas mal à du cinéma français de l'époque en fait.
le 11 avr. 2020
Deuxième film de Lizzani, qui tient autant du genre policier que du mélodrame néo-réaliste. Une vision à la limite du misérabilisme de la banlieue pauvre de Rome, décrite avec un excèdent de pathos...
le 9 sept. 2019
Du même critique
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 27 mai 2022
76 j'aime
4
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
74 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
70 j'aime
13