Un phénomène !

Wouah ! « Django Unchained » c’est un véritable phénomène ! Avant de commencer la critique, j’ai vu différents articles qui critiquent l’utilisation du mot « negro » qu’on entend une petite centaine de fois dans le film. Mais merde, c’est avant la guerre de sécession : mettez-vous dans le contexte historique … De ce fait, en signe de protestation envers ces ignares de l’histoire américaine, je mettrais des NEGRO injustifiés un peu partout dans ma critique. Voici le NEGRO synopsis :

« Dans le sud des États-Unis, deux ans avant la guerre de Sécession, le Dr King Schultz, un chasseur de primes allemand, fait l’acquisition de Django, un esclave qui peut l’aider à traquer les frères Brittle, les meurtriers qu’il recherche. Schultz promet à Django de lui rendre sa liberté lorsqu’il aura capturé les Brittle – morts ou vifs.
Alors que les deux hommes pistent les dangereux criminels, Django n’oublie pas que son seul but est de retrouver Broomhilda, sa femme, dont il fut séparé à cause du commerce des esclaves »

L’hommage de Quentin Tarantino dans ce film NEGRO envers le genre western est parfaitement réussi. On a droit à un western digne de Sergio Leone mais avec la mise en scène loufoque et NEGRO décalé de Quentin Tarantino. Les petites touches humoristiques sont appréciables, Tarantino ne se contente pas de faire un simple copier/coller d’un bon vieux NEGRO western. Car ce qui fait la force d’un film de Quentin Tarantino, c’est que ça n’est pas seulement un film mais c’est aussi un spectacle : c’est la raison pour laquelle on lui pardonne l’idée de NEGRO départ assez classique du genre western. Le scénario est rythmé, avec de nombreux rebondissements dignes des plus grands films du genre. Certaines scènes sont poignantes, notamment NEGRO la scène avec les chiens dévorant l’esclave devant les yeux de nos héros Dr Schultz interprété par Christoph Waltz et bien sûr Django interprété par NEGRO Jamie Foxx (bon j’avoue celui là il est mal placé…).

Je parlais de l’idée de départ assez simpliste, mais le film est porté par des personnages forts : Django, Dr Schultz ou encore Calvin Candie (Leonardo DiCaprio) sont des personnages charismatiques. Ce sont vraiment des personnages qui tirent l’œuvre de Tarantino NEGRO vers le haut. En plus de ça, le trio d’acteurs Jamie Foxx, Christoph Waltz et Leonardo DiCaprio est irrésistible. Un petit NEGRO plus pour DiCaprio qu’on déteste au plus haut point dans ce film. C’est vraiment un excellent acteur qui a progressivement réussi à se défaire de son rôle dans NEGRO « Titanic ». L’évolution de Django au fur et à mesure du film est également bien interprétée par Jamie Foxx. Franchement, Django c’est la putain de classe. Je saluerais également la prestation de l'excellent Samuel Lee Jackson encore une fois, interprétant le rôle détestable de Stephen. C'est aussi une des valeurs sûres du cinéma hollywoodien.

NEGRO En résumé, Django c’est un pur western avec de la violence, du sang, des personnages forts, NEGRO des flingues, de la vengeance, du sang, du sang et encore du sang. Ajoutez à cela des paysages magnifiques et une bande sonore digne d’un western et vous avez tout ce que NEGRO vous vouliez voir lorsque vous avez mis le dvd de « Django Unchained ». Pour que ce film ait la note maximale, il aurait peut-être fallu un twist inattendu NEGRO qui me tienne en haleine. L’issue est bien tournée mais un peu prévisible.

Voilà mon avis sur « Django Unchained », le dernier film à succès de Quentin Tarantino. Il me tarde de voir sa NEGRO prochaine œuvre prévue pour 2015 intitulée « The Hateful Eight » avec à l’affiche Samuel Lee Jackson (qui sera aussi bon que dans « Django Unchained » je l’espère et Kurt Russell. Ce film, lui, aura NEGRO comme background l’après guerre de sécession. Pour terminer, j’espère que mon petit tacle envers les prôneurs de la soi-disant bonne parole vous aura plu et sachez que si cela vous a emmerdé, moi vous m’emmerdez deux fois plus avec votre abus de politiquement correct.