Peu après le "Nosferatu" de Robert Eggers, Luc Besson propose sa propre version du célèbre personnage crée par l'écrivain Bram Stoker, Luc Besson s'est focalisé sur l'histoire d'amour entre Dracula et Elisabeth et le caractère romantique du récit avec cette recherche tragique de l'être aimé à travers les siècles. Hélas, il faut passer outre une avalanche de stéréotypes, une intrigue terriblement superficielle, un casting hétéroclite et improbable, une musique envahissante (signée Danny Elfman) et un Dracula trop inspiré de Francis Ford Coppola. Mais surtout que dire des personnages féminins réduits à des scènes de sexe (dès la 1ère scène !) et des lignes de dialogues insignifiantes ? Elles sont sacrifiées, c'est bien dommage.