Jeux d'été
Impossible (ou du moins très difficile) de ne pas considérer Elle n'a dansé qu'un seul été, du réalisateur suédois Arne Mattsson, à l'aune de deux particularités. La première, c'est la scène où les...
Par
le 26 févr. 2019
9 j'aime
Cette œuvre sensible, et à l’époque sulfureuse, met en scène le conflit des jeunes générations découvrant l'amour, opposées à une société très puritaine et fortement soumise à la loi de la religion. Cette passion forte et intense, la fraicheur, l'innocence, la fragilité, la nudité de deux jeunes gens dans l'Eden d'un paysage naturel splendide, contrastent avec la pression puritaine qui s'exerce sur eux, et avec " la colère divine" que leur promet le pasteur. La qualité technique est irréprochable, avec une mention spéciale pour la somptueuse photo noir et blanc . Ce drame vaut donc aussi bien pour l'étude de mœurs sociologique du début des années 50', décrivant les archaïsmes ruraux et le poids de la morale religieuse, que pour ses qualités esthétiques.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Cinéma PAYS NORDIQUES Danemark, Finlande, Islande, Norvège, Suède, Groenland et Films d'été
Créée
le 24 avr. 2015
Critique lue 431 fois
2 j'aime
Impossible (ou du moins très difficile) de ne pas considérer Elle n'a dansé qu'un seul été, du réalisateur suédois Arne Mattsson, à l'aune de deux particularités. La première, c'est la scène où les...
Par
le 26 févr. 2019
9 j'aime
Cette œuvre sensible, et à l’époque sulfureuse, met en scène le conflit des jeunes générations découvrant l'amour, opposées à une société très puritaine et fortement soumise à la loi de la religion...
Par
le 24 avr. 2015
2 j'aime
Derrière ce magnifique titre se cache également un très beau film, très politisé et en même temps tellement juvénile ! Car c'est un film très tendre d'un côté, mais très dur vis-à-vis de certains...
le 8 déc. 2019
1 j'aime
« Rien n’est plus dangereux qu’une femme qui danse » dit un des personnages du film. En l’occurrence c’est au Pays basque en 1609, aux yeux du pouvoir royal allié à l’Eglise que les femmes...
Par
le 9 juil. 2021
15 j'aime
4
Le dernier film marseillais de Guédiguian, « Gloria Mundi », dressait en 2019 un constat amer, désespéré et totalement déprimant sur la société libérale, gagnée par le repli sur soi. Le cinéaste y...
Par
le 18 nov. 2023
12 j'aime
3
Film indépendant dans son expression la plus authentique et ce que le genre offre de meilleur : quelques milliers de dollars, beaucoup d'énergie et d’amour du cinéma, tourné avec une petite équipe,...
Par
le 14 juil. 2021
10 j'aime