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Histoires d'amour
Après la douleur, la sidération, la colère, l'impuissance enfin : que nous reste-t-il ? La liberté d'aimer, de combattre la haine avec nos petites armes humaines, nos liens chers, nos attachements...
il y a 6 ans
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👉 1er juillet : Les extraits de commentaires sont à nouveau disponibles dans les feeds 🥳.
Et toutes les mises à jours sont à retrouver ici : journal de bord de SensCritique.
Encore heureux que l'on ait apprécié ce film, petit bijou d'immoralité, porté par des acteurs aussi inspirés qu'amusés, servis en la matières par les réparties caustiques d'un Nicolas Bedos débridé.
On rit franchement, de ce déclassement social burlesque, aux faux airs de l'irrévérencieux "Papa ou Maman" ... qui toutefois ne peut pas s'empêcher de verser, en fin de parcours, dans de bienséants bons sentiments.
Dommage, car on aurait aimé rester de bout en bout dans l’impertinent, pour le meilleur ... et pour le rire !!
il y a 6 ans
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Après la douleur, la sidération, la colère, l'impuissance enfin : que nous reste-t-il ? La liberté d'aimer, de combattre la haine avec nos petites armes humaines, nos liens chers, nos attachements...
il y a 6 ans
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Si vous avez vu la bande annonce d'"Encore heureux", le meilleur y est dedans ( et en mieux monté que dans le film....). Et comme je ne dérogerai pas à la règle, elle sera à la fin de mon avis, libre...
il y a 6 ans
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Un scénario improbable, des personnages pas toujours crédibles mais de la bonne volonté de de la bonne humeur sur le plateau. Sandrine Kiberlain est lumineuse, bien qu’elle commence à se ressembler...
il y a 6 ans
4 j'aime
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Encore heureux que l'on ait apprécié ce film, petit bijou d'immoralité, porté par des acteurs aussi inspirés qu'amusés, servis en la matières par les réparties caustiques d'un Nicolas Bedos...
il y a 6 ans
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Malgré un côté volontairement larmoyant, qui pourrait en agacer plus d'un, comment rester insensible à cet implacable drame, mélant romance et destin tragique ?! Introspection sur le sens de la Vie,...
il y a 8 ans
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Franchement inspiré des métaphysiques « 2001... » et « Interstellar », le périple spatial « Ad Astra » se différencie du claustrophobique « Gravity », pour se rapprocher des esseulés « Fist Man » et...
il y a 2 ans
2 j'aime
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