Un film d’après-guerre très typique de l’époque (avec sa fin qui tombe comme un cheveu sur la soupe, très typique elle aussi -c’en est presque grotesque…) avec deux vedettes encore bien jeunettes, ma foi : Simone Signoret fort jolie (mais qui fume comme un pompier) et Paul Meurisse (déjà) en personnage sombre et inquiétant (c’est un truand, de ce que j’ai compris)…
Et donc, le défi ou votre mission là-dedans (si vous l’acceptez), c’est de suivre ou tenter de suivre ce polar à deux de tension jusqu’au bout ! vous avez droit néanmoins à un joker, comme l’avance rapide, histoire de tenir le coup sans sombrer dans l’inconscience et le sommeil profond (mais c’est difficile).
Car en effet, c’est du lourd de chez lourd, ce vieux nanar ! non, non, pas lourd genre ‘puissant’ ou ‘trop bien’ (ou pire encore : ‘qualitatif’ ?!!?) comme disent les jeunes cons complètement cons de nos jours mais lourd comme lourdingue ou bien pénible ! lourd à dormir debout d’un sommeil de plomb !
Oui, ce film est une impasse, un impair et on attend que ça se passe ou du moins, on essaye. Enfin, comme de coutume, nous tenons à remercier l’aimable (et indispensable) participation de la télécommande !