L’élément déclencheur du scénario du film ? Un emballage de barre Snickers, glissé là comme un placement de produit.
Non, ce n’est pas une blague — et ce point de départ absurde donne le ton : un film d’une nullité sans nom.
Je ne suis pas le plus grand fan de Jurassic Park, mais le premier avait au moins le mérite d’essayer de véhiculer une véritable émotion esthétique. Ici, on a droit à une comédie « marvelesque », avec des acteurs tous très mauvais qui sur-jouent, des tensions ridicules systématiquement désamorcées en deux secondes par des blagues de collégiens — (même méthode que Marvel) comme si le film avait peur qu’on se moque de la médiocrité de ses scènes d’action ratées, on ne ressent jamais le moindre danger.