Voir le film

Autant j'avais pu bien aimer cette histoire d'ado quand j'étais ado, autant elle parait bien vieillie maintenant. Un teen-movie des années 80, pas un des meilleurs ni un des pires. A voir pour découvrir Dempsey jeune, par curiosité donc.
Alligator
5
Écrit par

Créée

le 30 nov. 2012

Critique lue 439 fois

3 j'aime

Alligator

Écrit par

Critique lue 439 fois

3

D'autres avis sur L'Amour ne s'achète pas

L'Amour ne s'achète pas
Gandalf13
10

Mon teen movie !

Ce film, c'est mon teen movie à moi ! C'est un film que j'ai vu plus de dix fois à l'epoque, c'est Amanda Peterson, qui est une ses plus belles filles que j'ai pu voir (et je pige pas comment elle...

le 19 déc. 2015

4 j'aime

2

L'Amour ne s'achète pas
VirginiA
6

From geek to chic

Avant d'être un neurochirurgien trolaclasse, Patrick Dempsey jouait les nerds un brin quirky dans cette comédie ado reprenant le thème de Pygmalion. (...) Ce film est loin d'être parfait, mais il...

le 18 janv. 2011

4 j'aime

1

L'Amour ne s'achète pas
CeeSnipes
2

SMH

Dans les années 80, le teen movie était très répandu et on pouvait y voir de jeunes acteurs y faire leurs débuts avant de devenir des personnes reconnues dans le métier. Dans Can’t Buy Me...

le 20 juin 2015

3 j'aime

Du même critique

The Handmaid's Tale : La Servante écarlate
Alligator
5

Critique de The Handmaid's Tale : La Servante écarlate par Alligator

Très excité par le sujet et intrigué par le succès aux Emmy Awards, j’avais hâte de découvrir cette série. Malheureusement, je suis très déçu par la mise en scène et par la scénarisation. Assez...

le 22 nov. 2017

54 j'aime

16

Holy Motors
Alligator
3

Critique de Holy Motors par Alligator

août 2012: "Holly motors fuck!", ai-je envie de dire en sortant de la salle. Curieux : quand j'en suis sorti j'ai trouvé la rue dans la pénombre, sans un seul lampadaire réconfortant, un peu comme...

le 20 avr. 2013

53 j'aime

16

Sharp Objects
Alligator
9

Critique de Sharp Objects par Alligator

En règle générale, les œuvres se nourrissant ou bâtissant toute leur démonstration sur le pathos, l’enlisement, la plainte gémissante des protagonistes me les brisent menues. Il faut un sacré talent...

le 4 sept. 2018

50 j'aime