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Secret story
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le 21 mai 2013
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La certitude de l'incertain
En sortant de la salle on ne peut s’empêcher de comparer ce film avec son prédécesseur, Une séparation (qui reste selon moi le plus grandioses des deux). En effet, ce sont tous deux des drames autour de la famille, ou plutôt d’une famille brisée, où les non-dits s’emboitent tels des poupées russes.
Farhadi fait dans les deux cas un grand travail autour de l’inaccessibilité de la vérité, introuvable car inexistante, où chacun est à la fois coupable et innocent. Il nous laisse à nos réflexions existentielles alors que le générique défile. Ces drames kafkaïens commencent à devenir une marque de fabrique, et tant qu’ils seront de cette qualité je ne m’en plaindrai pas!
Ecouter Ali Mosaffa parler français avec ce doux accent iranien est un pur délice, cet homme est comme du chocolat, on en veut toujours plus. Bérénice Béjo est plutôt surprenante, je suis heureuse de la voir assurer dans le registre dramatique.
Le passé est donc un très bon film, dont le plan séquence final nous enfonce encore plus dans les profondeurs de notre incertitude, c’est un cinéma humain, même si parfois un peu trop pour notre bien.
Farhadi fait dans les deux cas un grand travail autour de l’inaccessibilité de la vérité, introuvable car inexistante, où chacun est à la fois coupable et innocent. Il nous laisse à nos réflexions existentielles alors que le générique défile. Ces drames kafkaïens commencent à devenir une marque de fabrique, et tant qu’ils seront de cette qualité je ne m’en plaindrai pas!
Ecouter Ali Mosaffa parler français avec ce doux accent iranien est un pur délice, cet homme est comme du chocolat, on en veut toujours plus. Bérénice Béjo est plutôt surprenante, je suis heureuse de la voir assurer dans le registre dramatique.
Le passé est donc un très bon film, dont le plan séquence final nous enfonce encore plus dans les profondeurs de notre incertitude, c’est un cinéma humain, même si parfois un peu trop pour notre bien.
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le 20 mai 2013
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