Mon année 2018 en jeux vidéo

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Excellent jeu qui m'a fait retrouver cette sensation grisante que j'avais connue dans Roller Coaster Tycoon à l'époque.

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on, je dois me rendre à l'évidence, je ne finirai jamais Persona 5. J'ai arrêté en février (ou mars ?) dernier après 45h de jeu, l'envie s'étant érodée de plus en plus une fois dépassée la trentaine d'heures. Les tâches extra scolaires, si variées au début, ont commencé à m'ennuyer, à force de refaire constamment le même schéma ; les donjons, toujours trop longs, ont vite mis ma patience à l'épreuve, sans parler, là aussi, de l'aspect répétitif ; l'histoire, enfin, ne m'a jamais intéressée et les long dialogues entre nos personnages ne passaient au-dessus.
Mais je retiens tout de même ces 30 premières heures où j'étais à fond, où j'ai adoré apprendre à connaître ces personnages, faire les différentes activités et me promener dans les rues de Tokyo.

Je sais désormais, après 2 Personas testés, que ce ne sont pas des jeux qui me conviennent, aussi bons soient-ils. Je laisserai désormais cette série de côté, même si elle a su me procurer de très bons moments avant de me lasser, à chaque fois.

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Univers cohérent, riche et très intéressant. Du très bon point & click, même si la difficulté relevée (pour moi) m'a un peu gêné.

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J'avais pas prévu d'y jouer, mais finalement, ma moitié n'étant pas partante pour le faire seule, on s'y est mis tous les deux. C'est hyper original et ça me plaît bien plus que ce que je pensais. Un très bon jeu aux mécaniques original qui ne laisse rien paraître de son potentiel dans son nom ni dans son style.

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J'ai l'insigne honneur d'être le premier au monde (wouhouh !) à tester la traduction française de ce visual novel. Je le lis donc au fur et à mesure que la traduction avance.

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Quelle belle aventure ! Ghost of a Tale est un jeu qui réussit brillamment à se démarquer de la concurrence, en proposant une aventure prenante et terriblement attachante, un univers cohérent, riche et original et très attrayant, des quêtes et des PNJ bien écrits et souvent très drôles, sans oublier un aspect technique de très haute volée (notamment les animations). Un vrai coup de cœur !

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Un peu mieux que le premier, mais sinon, c'est strictement la même chose, sur le même rythme.

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J'étais vraiment enthousiaste au début... puis la frustration a fini par gagner.

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Très bon petit puzzle game, ravissant et bien pensé. De plus, la jolie petite histoire que l'ont suit est très agréable.

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Digne suite de To the moon, même si la dernière partie est moins intéressante.

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Ambiance très réussie, grande originalité (parti pris graphique, dialogues...), mais ce n'est pas ma tasse de thé.

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Hollow Knight est aussi bon que je m'y attendais. C'est un plaisir de tous les instants de découvrir toujours de nouveaux passages, nouveaux boss et d'avancer dans l'aventure. C'est beau, la musique est belle, l'univers est original et intéressant. Rien à redire, vraiment.

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Je l'ai malheureusement abandonné au bout de 15h de jeu. J'ai du louper quelque chose parce que plus rien de nouveau ne se passait, alors j'ai fini par m'ennuyer... Mais sinon, j'ai adoré.

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Je suis totalement sous le charme de Pyre ! L'un des meilleurs jeux auxquels j'ai joué ces dernières années.

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J'y joue de temps en temps, ça reste un bon jeu de carte qui apporte un souffle de nouveauté, car tout de même assez différent de ce qui se fait chez la concurrence.

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Une déception. Si l'ambiance et la musique sont bonnes, le fond est sans intérêt et rien ne motive le joueur à continuer. Les histoires qui sont à la base du jeu sont en réalité des anecdotes sans grand intérêt. Je me sens un peu floué, j'ai l'impression qu'on m'a menti sur la marchandise.

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KPNE est une vraie réussite. Un concept hyper efficace qui réussit à créer une vraie symbiose entre les coéquipiers devant leur objectif. C’est extrêmement stressant mais formidablement gratifiant une fois la victoire acquise. De plus, l’échec n’est absolument pas frustrant. On stresse, on parle fort, on réfléchit, on se concentre. On s’investit à fond, ensemble, pour désamorcer la bombe. Un jeu à faire absolument !

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Que dire, si ce n’est qu’Along the Edge mériterait d’être plus connu ? C’est un roman visuel original dans lequel nos choix ont une réelle importance sur la trame narrative et l’évolution physique de notre personnage. L’histoire est intéressante, tout comme les personnages, l’écriture est de bonne qualité et les différents choix à faire dans le jeu ne sont jamais manichéens, ce qui permet de mieux s’identifier à Daphné, quels que soient nos décisions. Un petit bijou qu’il serait dommage de ne pas essayer, surtout si vous aimez les jeux essentiellement basés sur leur histoire.

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Il faut savoir que, contrairement à ce que nous montraient les spots de pub et contrairement à l'anime, vous ne pourrez pas traquer des pokemon rares en forêt et tomber nez à nez sur un florizarre. C'est un jeu se concentrant uniquement sur l'aspect collection de pokemon. Vous pourrez en attraper plein, vous pourrez même les choper par paquet de dix si vous habitez en ville. Ça aura le mérite d'augmenter votre collection, ça pourra les faire s'améliorer aussi, mais c'est à peu près tout. Vous pourrez combattre dans les arènes, ce qui ne constitue pas un intérêt majeur, hormis pour l'aspect compétitif. Mais vous ne pourrez pas disputer de combats stratégiques en temps réel, vous ne pourrez pas explorer des lieux reculés pour dégoter la perle rare. Non, tout ce que vous permettra vraiment de faire Pokemon Go, c'est de voir plein de pokemon sur votre trajet quotidien et de les attraper. C'est déjà pas mal, surtout qu'il le fait avec beaucoup de génie.

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Un jeu très contemplatif qui emprunte allègrement à Flower et Journey. Bien que réussi, il ne réussi pas, selon moi, à être marquant.

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Dans la lignée de Along the Edge, avec un univers lorgnant bien plus vers le fantastique. Une belle aventure, mais qui me laisse un goût un peu moins satisfait que AtE

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AC Origins m'a permis de retrouver des sensations grisantes découvertes avec Brotherhood à l'époque. C'est un très bon jeu dont je ne me suis pas lassé de la première à la dernière minute (une fois terminé la quête principale). Les paysages et les couleurs sont magnifiques, la modélisation de l'Egypte de Ptolémée XIII est splendide et ça a été un plaisir de tous les instants de visiter les différents temples, mastabas et autres pyramides. Et comment qualifier ce moment où l'on gravit la phare d'Alexandrie ou la pyramide de Kéops ? Inoubliable, évidemment !
Hormis ça, l'histoire est correcte sans être marquante. Les quêtes annexes oscillent entre le pas mal et le mauvais. On les fait toujours avec plaisir, mais plus poussé par l'envie de visiter la région et ses monuments et dans un souci de complétion plutôt que par réel intérêt pour l'histoire et les personnages, puisque ça se résume toujours à la même chose, à part quelques exceptions. On ajoutera également que Ubi a décidément du mal avec les animations, faciales notamment et que les doublages français reprennent encore et toujours les mêmes voix qu'on entend dans TOUS les jeux, et ça commence sérieusement à me lasser.
Par contre, les personnage principaux (Bayek et Aya surtout) sont très bien modélisés, parfaitement doublés, ont des voix bien à eux et sont réellement intéressants. Un vrai effort a été fait de ce côté-là, y compris dans la mise en scène qui se permet quelques moments très réussis. Et puis ça fait du bien de voir un héros en couple pour une fois, ça apporte tout de même une sacrée fraîcheur, surtout que le personnages d'Aya est vraiment bien : ni potiche, ni sexualisée, et avec des motivations bien à elle.

Bref, ces critiques négatives ne remettent pas en question le très bon moment passé en Egypte Antique, réussi sur la plupart des aspects.

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The Room est un petit puzzle game très soigné, beau et satisfaisant. Déclencher ces différents mécanismes et les voir évoluer sous nos yeux a quelque chose de très agréable. Tout cela s'enchaîne sans heurt grâce à des puzzles régis par la logique avant tout. En revanche, il est difficile de parler d'énigmes à proprement parler, car l'essentiel de ce qui vous sera demandé consistera à placer la bonne clé ou le bon bouton à l'endroit adéquat, afin d'ouvrir un nouveau compartiment vous donnant une nouvelle clé, etc. C'était donc une expérience vraiment agréable que je ne pense pas forcément renouveler avec les différentes suites car j'ai besoin d'un peu plus pour me passionner.

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Return of the Obra Dinn est moins un ovni vidéoludique que ne l’était Paper’s Please, car son genre est plus clairement défini. Seulement, Lucas Pope propose ici quelque chose que je n’ai jamais vu ailleurs : un jeu d’exception mêlant histoire passionnante racontée de manière très originale, direction artistique osée mais très réussie et une enquête extrêmement bien construite, réglée au cordeau et faisant la part belle au cerveau du joueur. Si ce n’est pas un ovni, c’est assurément un jeu qui marquera l’industrie du jeu vidéo. Le meilleur jeu d’enquête que vous puissiez trouver, tout simplement.

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La musique et la direction artistiques sont sublimes, c'est un vrai bijou. De même, l'univers est, comme toujours avec Supergiant, extrêmement original et intriguant. En revanche, il n'a pas réussi à m'accrocher, dommage. De plus, je ne suis pas fan du gameplay entre hack'n slash et combats tactiques. Je n'ai pas réussi à accrocher, dommage, car ça donnait furieusement envie.

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J'ai recommencé le jeu, 4 ans après l'avoir essayé pour la première fois et j'avoue avoir été assez déçu par maniabilité que je pensais aussi fluide que les animations. Or, j'ai souvent été frustré de rater un simple déplacement à plusieurs reprises (passer sur le dessus d'une caisse, passer d'un mur vertical à un petit tunnel en-dessous), et je dois dire qu'au bout d'un moment ça m'a copieusement agacé.
Mais à part ça, le reste est excellent.

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Cinders est un bon VN. Les personnages tout comme les dialogues sont très intéressants, et permettent de dépoussiérer le conte de Cendrillon en y apportant beaucoup plus de nuance. De plus, les choix du joueur auront un impact fort sur le déroulement (mais surtout sur la fin) de l'aventure, sans que jamais ça ne soit évident. Un visual novel tout en subtilité et très agréable à regarder.

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The Red Strings Club a été une belle surprise. Là où je m'attendais à un ersatz de Va-11 Hall-a, j'ai découvert un jeu qui, au final, s'en éloigne assez nettement (notamment concernant le game design) et propose une histoire, une ambiance et des personnages très réussis.

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Je suis passé complètement à côté de ce jeu. Pourtant, il avait de quoi me plaire, mais je ne sais pas pourquoi, j'ai pas accroché, alors même que je vois toutes ses qualités. C'était peut-être pas le bon moment.