Ah, mon pote, cet épisode 2 de la saison 6 de Black Mirror, c'est comme un voyage dans le cerveau d'une meuf qui vit dans son propre monde, tu vois? Au début, t'as cette impression qu'ils vont nous sortir une histoire de robot petite copine, genre Westworld, mais ça part dans une direction complètement déjantée.
On suit ce mec écossais qui veut faire un film avec sa nana américaine, et sa mère, elle comprend que dalle. Elle reste bloquée sur le fait qu'ils filment un mec qui collecte des œufs, mais en réalité, c'est bien plus profond que ça. Elle est coincée dans le premier degré.
Le couple se dispute sur le sujet du film, entre collectionneur d'œufs et tueur en série local. La fille veut changer de direction, et là, ça part en live. Mais au moins, ils se respectent, même si elle est un peu relou à pas lâcher l'affaire.
C'est quand ils tombent sur les vieilles cassettes de la mère qu'on réalise qu'on est dans une putain de maison de fous. Les parents étaient des meurtriers, et c'est l'horreur totale. La fille finit par se tirer et la mère se suicide, laissant son fils avec toutes les preuves de leur délire meurtrier.
Au final, ça critique sévère le fait de profiter de la misère humaine pour se faire du fric. L'épisode te fait te poser des questions profondes sur la relation avec tes parents …
quand t'apprends qu'ils sont complètement tarés et t'as grandi dans un univers de folie.
😊 🥶
Cet épisode, mec, il te retourne le cerveau comme un bon vieux film d'Alfred Hitchcock, mais avec des K7 des années 90´s. Ça te fait réfléchir sur l’utilisation de la technologie, même oldschool & sur la nature humaine, et sur la putain de folie qui peut se cacher derrière une apparence normale.
En tout cas, moi, je dis que cet épisode de Black Mirror, c'est un excel épisode sur la « folie humaine »…
Ou, pour être moins psychophobe et en tout cas tenter, sans parachute, une chute folle dans le monde merveilleux de la psyché humaine : se rendre compte que survivre dans notre monde avec les pires des fardeaux psychologiques, c’est absolument pas simple. Le niveau de la médecine psychologique dans les hôpitaux étant pas du tout au point à l’époque donc juste AUCUN moyen de s’en sortir par cette voie.
Se rendre compte que ton parent a dû apprendre à gérer ses pulsions morbides comme il pouvait dans la vie tout en éduquant le plus « normalement » ton enfant qui lui a rien demandé.
Bon, après, sûrement aussi qu’à l’époque ils semblaient kiffer et elle n’avait même pas ce recul pour penser à arrêter ses agissements d’ultra violences meurtrières.
Voilà, c'est tout pour moi, bisou.