Dans The Good Fight, l’Amérique part en vrille, la Constitution fume, et Christine Baranski te regarde dans les yeux en buvant un verre de vin hors de prix pendant qu’un juge danse sur du Beyoncé. C’est une série juridique, mais sous acide politique : Trump, racisme systémique, fake news, sex-toys communistes, deep state opéra et procès sous K. Oui, tout ça existe. Oui, ça fonctionne.
Chaque épisode, c’est un cabinet d’avocats progressiste coincé dans un cauchemar libéral haut-de-gamme, entre génie stratégique et désespoir lucide. Les scénaristes te balancent des plaidoyers post-démocratiques à travers des comédiennes en feu, et toi tu dis “oui madame” même quand tu comprends pas tout.
Ce n’est pas une série. C’est un briefing stratégique de l’apocalypse en talons hauts.