The Last of Us, c’est comme un date avec un survivaliste qui sait manier le fusil mais pas les émotions.
Tu crois que tu vas bouffer du zombie ?
Bah non bb. Tu bouffes des traumas, des silences lourds, et des regards paternels mal digérés.
Pedro Pascal joue le daron post-apo qui protège plus qu’il écoute.
Bella Ramsey, c’est Ellie, une ado gouine qui dit fuck à tout sauf à ses sentiments – et c’est elle, la vraie boss du show.
Le meilleur épisode ? Deux mecs gays qui tombent amoureux pendant la fin du monde pendant que tout le reste de la série essaie péniblement de nous convaincre qu’un daron torturé c’est un enjeu narratif suffisant.
Les + :
- Bella Ramsey = un tank de charisme, une claque dans la norme genrée.
- Le couple Bill & Frank : l’amour c’est pas mort, juste en autarcie
- La DA fongique : Moisissure 1 – Capitalisme 0.
Les – :
- Toutes les meufs sont là pour mourir, traumatiser Joel, ou rappeler que c’est pas elles le sujet.
- Joel : le patriarcat émotionnel en bottes militaires.
- Le rythme ? Plus lent qu’un mec cis à capter qu’il est pas drôle.
🎬 Conclusion :
T’as des pics émotionnels, des ellipses stylées, et un peu de révolution dans la moisissure… Mais au fond, c’est encore un monde où la parole est donnée au daron qui n’a pas su dire « je t’aime » mais sait buter tout le monde pour pas te perdre.