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Que dire sur le premier film qui n’a pas déjà été dit ? On a longtemps parlé, à juste titre selon moi, d’une révolution technique et cinématographique à laquelle James Cameron s’est investie corps et âme au point de se lancer dans cette folle épopée fruit de toutes les attentes pour les fans. Partant d’un script déjà écrit à partir des années 90 ou il réfléchissait à comment mettre ce projet en image, fruit de longue recherche et expérimentation visuelle minutieuse pour rendre Pandora immersive et inoubliable dans l’inconscient collectif, film le plus vu au cinéma à l’époque de sa sortie et raz de marée au box-office comme on en a rarement eu (bon maintenant avec les autres milliardaires, ça impressionne moins mais il faut prendre du recul là-dessus), et ce sans parler du film en lui-même qui a eu droit à bien des qualificatifs.


Révolution visuelle, fable écologique pompeuse et prévisible doté d’une fainéantise d’écriture aux yeux de certains ou simplicité pour d’autres quand il n’y en a pas certains plus malin qui voient plus loin que la forme (personnellement, j’y vois l’histoire d’une renaissance et d’un accomplissement profond de soi à travers le parcours de Jake Sully et comment son rapport avec Pandora et les Na’Vis a changé lentement mais sûrement avec une cohérence d’écriture exemplaire accouplé un rythme impeccable), rencontre improbable entre Pocahontas et Les Schtroumpfs pour la grosse blague (surfaite la blague quand même), objet d’influence pour de nombreuses productions à Hollywood, je ne pense pas être arrogant ou prétentieux en disant qu’Avatar a marqué le cinéma à jamais. Et que tout ceux qui disent qu’on n’a plus reparlé d’Avatar après sa période de sortie sont ni plus ni moins que des cons ignares, des gens qui jugent un succès et non pas un film, ou qui en juste marre du rabattage médiatique dont Avatar a fait l’objet.


C’est, certes, le lot de tous les films à succès : Mad Max Fury Road et La Reine des Neiges ont fait l’objet de reproche également parce qu’ils ont eu un public et ont fonctionné (bon Fury Road, c’est plus relatif au niveau des chiffres mais on en parle encore beaucoup comme référence dans la sphère cinéphile) et ont aussi eu droit à la belle dose de connerie à laquelle on a droit de la part des débiles profonds pour critiquer un film qui fonctionne. Et ça me donne envie de prendre du fil de fer barbelé pour en faire des menottes avec lesquels j’ai un fort désir d’attacher ces crétins, au-dessus du vide, au pont de Brooklyn, peut-être que le grand air et un danger de mort immédiat leur rafraîchira les idées.


Pour en revenir au projet Avatar et à cette voie de l’eau, à l’heure où j’écris ce pavé : le troisième opus est déjà en cours de montage et de post-production avec une sortie prévu pour 2024 et le 4 ne devrait pas tarder par la suite. Ce film-ci, c’est un retour pour James Cameron avec le milieu aquatique qui a été le sujet de bien des angoisses de tournages pour ses équipes : Abyss, un autre excellent film du bonhomme sorti en 1989, a été un véritable enfer pour ses équipes puisque c’était la première fois qu’on tournait littéralement sous l’eau alors que Steven Spielberg avait déjà mis les réalisateurs en garde depuis 1976 que tourner sur l’eau était déjà un immense calvaire.


Tout ça pour dire qu’avec ce second opus, James Cameron avait déjà beaucoup de bagage derrière lui pour tourner des scènes de plongées aquatiques avec plus de maîtrise. Avec, au passage, des retrouvailles avec la talentueuse Kate Winslet qui s’est fait trop discrète depuis quelque temps et la majeure partie du casting du premier film qui était de nouveau du voyage. Sam Worthington, Zoé Saldana, Stephen Lang, Sigourney Weaver, toutes ces bonnes têtes sont là, pas de la manière à laquelle on s’attend forcément mais ça va être tout le défi et le plaisir de parler en détail de cette grande aventure, alors sans plus attendre : sur le rebord, et en avant toute !


Si vous vous souvenez encore très bien du premier opus, vous savez d’ores et déjà que James Cameron n’est jamais du genre à précipiter les choses. Et surtout qu’il ne reste jamais indéfiniment scotché à un point de vue unique, car si dans le premier film Jake Sully nous faisait office de narrateur et de héros, ici on ne se surprendra pas à partager du temps bien souvent aux côtés de ses enfants, plus particulièrement 2 d’entre eux dont le parcours réussi l’exploit d’apporter énormément à la mythologie comme à la famille Sully : d’abord Kiri, une Na’Vi recueillie né de Grace Augustine de façon totalement mystérieuse et qui partage une connexion exceptionnelle avec la divinité mère de Pandora, Eywa. Et Lo’ak, le deuxième fils de la famille, dont le contact avec la faune, sa nature de Na’vi métisse et ses difficultés à rendre son père fier le perturbe permettent d’éprouver une réelle empathie à son égard.


A cela j’ai aussi envie d’évoquer le cas Spider, moins présent que prévu mais dont l’héritage et le rapport familial qu’il détient malgré lui permettent de créer une dichotomie intéressante, et cela revient à parler du retour d’un personnage qui a déjà été dévoilé dans la campagne promotionnel et les infos autour de la saga : Miles Quaritch, colonel des marines à la parole galvanisante et dévoué à ses hommes qui endosse le rôle d’antagoniste attitré avec son retour plus que surprenant dans un avatar Na’Vi et la reprise de sa lutte contre Jake Sully. Mais également la reprise de contact avec le jeune Spider, qui, si il n’est pas central dans les rapports familiaux, apporte sa contribution à la thématique de l’héritage et surtout de la confrontation patriarcale et matriarcale que l’on pouvait déjà constater avec le film de 2009.


Cela n’est plus une surprise pour grand monde, la culture Na’Vi prône la spiritualité et le contact à la nature ainsi que ses bienfaits et accorde une place de premier choix au matriarcat et la présence féminine comme Neytiri ou la prêtresse Moat. Tandis que Quaritch et l’espèce humaine dans sa globalité, prône la hiérarchisation et l’obéissance et est clairement masculine (même la mercenaire reconvertie en Na’Vi au sein de la troupe de Quaritch est un garçon manqué évident très masculinisé sans qu’on n’ait besoin de s’y attarder). Là ou Jake Sully trouvait un entredeux intéressant, avec son expérience du monde humain et son contact et son attachement grandissant pour la nature de Pandora et les coutumes du clan Omaticayas.


Avatar la voie de l’eau, conserve ces points de vue, avec l’autorité bien présente de Ronal, l’épouse du chef du clan Metkayina qui se fait plus entendre que son époux. Ce dernier étant d’ailleurs plus serein et plus contenu en matière de caractère, et surtout plus calme. Mais il embrasse également la question du métissage des espèces avec les enfants de Sully et Neytiri, avec leurs difficultés d’adaptation au sein de ce nouveau clan et la part de discrimination bien présente (un sujet qui peut faire lever plusieurs yeux au ciel, mais bon sincèrement j’ai vu cet aspect être traité de manière bien plus désastreuse autre part, et c’est pas grave de recourir au classique si c’est justifié et maîtrisé). Ainsi que la compréhension et la quête de ses origines : Kiri, interprétée par une Sigourney Weaver méconnaissable physiquement, est selon moi le plus beau personnage du film en ce qui concerne cet aspect.


Sa sensibilité supérieure à la moyenne et qui peut s’expliquer par l’ADN de Grace Augustine présente dans son sang (ainsi qu’au sein de la divinité des Na’Vi) et les événements concernant sa mère biologique, son mal-être intérieure et ses interrogations, l’expressivité hallucinante de son visage (alors que c’est une femme de 72/73 ans qui lui donne ses traits, incroyable prouesse technologique) et surtout ses échanges avec son père Jake, je peine sincèrement à comprendre comment ne pas être en empathie avec un tel personnage quand on voit à quel point Cameron s’évertue à communiquer ses états d’esprit et son état à travers l’image et surtout la fraîcheur de l’image et du visuel. S’il y a bien un personnage dont la présence illumine le film, c’est bien elle.


L’émerveillement passe également par le contact qu’entretient Lo’ak avec un Tulkun bannit par ses pairs, par une scène surréaliste ou il découvre par le lien les raisons de son statut de paria et surtout, détail surprenant : que le jugement des Na’Vi n’est pas sans faille et irréprochable, et que leur culture ainsi que leur façon de penser a elle aussi des failles. James Cameron ne cache pas ses craintes par rapport à la crise écologique dont il est fortement question, mais il aborde le sujet de diverses manière tantôt en confrontant les jugements de longue date du clan Metkayina vis-à-vis de la nature des Tulkun (des baleines pacifistes de nature qui ont aboli entre elles toutes initiatives de conflit,


chose que l’une d’elle a refusé de faire pour des raisons justifiées


) avec celle plus libre et moins conditionné de Lo’ak, l’injustice n’est pas dû qu’au genre humain, elle se trouve également sur Pandora au sein des tribus en révélant quelques premières limites de leurs coutumes et manière de penser (et d’après les dires de Cameron, il compte creuser de ce côté-là avec son troisième film, déjà hâte de voir comment il va s’y prendre).


Loin de moi l’idée de remettre la manière de vivre des Na’Vi en cause, surtout quand on voit à quel point James Cameron se montre bien plus dosé dans les scènes d’émerveillement et bien plus engagé dans ses alertes écologiques. Aussi bien au premier sens du terme que métaphoriquement, notamment quand on voit Jake opter pour la fuite en avant au lieu de combattre frontalement le problème Quaritch, même avec les meilleures intentions de sa part. Cela rappelle sans mal l’attitude de certains dans le monde réel, alors que, bon, y’en a plus d’un qui n’ont de cesse de le répéter qu’il est temps de nous soucier de notre planère Terre et d’arrêter de faire la politique de l’autruche (non parce que perso, si je dois vivre un autre été aussi caniculaire que cette année, je préfère qu’on fasse tout pour le repousser plutôt que de l’accélérer en flèche).


Cela passe aussi par la normalisation de la chasse à la baleine organisé par les humains. A l’origine contrôlé mais détourné à des fins militaires et surtout avec cet esprit matérialiste qui avait déjà été affirmé par le personnage très archétypal de Parker dans le premier Avatar (avec sa quête de l’Unobtanium et le conflit ouvert inévitable avec les clans Na’Vi sur la terre ferme).


Encore une fois, je comprendrais qu’on lève les yeux au ciel avec cet aspect, mais avec toute la connaissance qu’on a eu sur la vie des Tulkun et leur rapport avec les Na’Vi de la mer, et l’importance que revêt ce contact si particulier, je suis prêt à l’accepter personnellement tant que ça sert les propos de la saga.


Le fait que le film dure 3h10 aide à diluer beaucoup de nombreux sous-texte, peut-être pas avec une justification aussi absolue qu’avec le premier (autant j’adore les séquences aquatiques qui sont à tomber par terre, autant la mise en retrait de Jake et Neytiri rend leurs scènes moins prenantes) et d’autres voies auraient mérité un peu plus d’approfondissement : notamment la relation Spider/Quaritch qui est trop abordé en surface et pas assez dans le détail alors que voir Quaritch coincé dans la peau d’un Na’Vi, devant adopter les coutumes de ses ennemis pour se fendre parmi eux, maîtriser leur langue et maîtriser leurs montures, c’était une partie qui méritait amplement qu’on s’y attarde. Cameron tente de donner de l’humanité et de l’ambiguïté quant à sa nouvelle condition et l’héritage que sa version humaine a laissé derrière lui, mais ça ne va pas très loin et au final on est plus circonspect qu’autre chose quand il essai de nous surprendre.


Et quand bien même je suis de ceux qui ne jugent pas les films de James Cameron uniquement à la première sens de lecture ou à la forme, je dois admettre que pendant le deuxième tiers j’ai trouvé par moment le temps un peu long. Avant tout parce que les seconds rôles ou rôles tertiaires du village aquatique Na’Vi n’ont pas grand-chose à proposer en tant que tel, y compris Kate Winslet malgré la fougue et la fureur qu’elle retranscrit à merveille à travers son personnage. A force de vouloir introduire bien des choses, malgré le temps qu’il a eu devant lui, Cameron a peut-être eu tendance à trop compter également sur la simplicité de son scénario quitte à accepter des séquences passant plus pour des clichés que pour du classique (comme la fierté de Jake allant davantage à son fils aîné alors qu’il se montre très injuste envers son second fils et mécomprenant peut-être même trop ses découvertes alors qu’il a lui-même apprit certaines choses par lui-même malgré l’éducation de Na’Vi).


Peut-être est-ce parce qu’il manque cette innocence et cette optimisme qu’avait le premier opus, car ici : l’implantation des humains sur Pandora n’est pas compromise, elle est toujours d’actualité, les problématiques entre races sont beaucoup plus grises et compliqués, et James Cameron appelle très fortement à une prise de conscience collectif sur la sauvegarde de notre écosystème et ses ressources. Et quand on sait qu’il a participé à des explorations sous-marines par le passé, on comprend qu’il tienne à notre environnement. Cela a du sens et de la force à revendre, même si j’aurais aimé que ça soit moins pessimisme.


Car de ce côté-là, la dernière heure du film est particulièrement rude et intense : James Cameron convoque Titanic sans mal avec une ultime bataille aquatique superbement dirigé, avec toujours son sens de la profondeur de champ et de la gestion du cadre qui n’appartiennent qu’à lui, un montage maîtrisé (si on excepte la trop longue mise à l’écart de Quaritch : est-ce que la participation de David Brenner qui avait déjà monté les Justice League de Zack Snyder y est pour quelque chose ? Allez savoir) et surtout une brutalité surprenante mais qui fait du bien une fois assumé jusqu’au bout (la violence avec laquelle Neytiri se bat sur le rafiot de la RDA, quelle rage).


D’ailleurs il est grand temps de le soulever puisque c’est là-dessus que tout le monde va se pencher : oui, artistiquement parlant et esthétiquement, c’est à tomber à la renverse et à vrai dire, qui ne s’y attendait pas ? Sur ce plan là les 13 ans d’attente qu’on a eu pour avoir cette suite se ressentent à l’écran, à part 3000 ans à t’attendre de George Miller ou The Northman de Robert Eggers cette année je ne pense pas avoir vu beaucoup de film ou je ne me suis jamais posé la question de savoir si c’était des trucages à l’écran ou si c’était vrai. Tout ce qui touche aux scènes aquatiques et de plongées en apnées relèvent de l’exploit aussi bien sur le plan des images que sur la modélisation des Na’Vi via la performance capture (quand on sait que Worthington et Saldana ont pris 13 ans, difficile à croire en voyant Neytiri et Jake avant l’ellipse qui suit le prologue, mais alors Stephen Lang et Sigourney Weaver, bravo), la gestion des fonds de plan et des décors afin que la mise en image de Cameron soit toujours la plus immersive possible, on ne peut pas lui retirer cela. Et ce sans parler de la faune aquatique absolument folle, que ça soit les baleines aliens de Pandora ou la flore sous-marine, c’est un vrai bonheur visuel.


Tout comme on pourra difficilement nier le plaisir musical qui, à mes oreilles, est resté intact. James Horner n’est plus parmi nous, c’est à Simon Franglen qu’est revenu l’immense tâche de prendre la relève. J’attend le moment ou je pourrais réécouter toute les musiques au calme, mais en attendant je n’ai aucune raison de bouder mon plaisir que ça soit à l’entente des thèmes phares de Horner ou des musiques d’accompagnement, y compris lors des plongées aquatiques. Et pour le plaisir des oreilles, Saldana qui chante :


Zoe Saldana - The Songcord (From "Avatar: The Way of Water"/Audio Only)


Enfin, j’ai eu la chance de savourer ce film en 3D dés le jour de sa sortie (pas encore eu l’occasion de tester le HFR, mais ça pourrait se faire d’ici la fin du mois avec un peu de bol). De ce côté-là, peu de déception chez Cameron puisque le relief est très travaillé et prenant avec la conversion 3D, donnant davantage envie de plonger dans cet univers et de savourer le travail technique qui a été apporté aux textures, à la lumière (tantôt chaleureuse pendant une journée paisible en famille avec Jake et son premier enfant, tantôt plus froide et clinique quand on passe du côté de Quaritch en plein escapade dans les bois par exemple).


Avatar la voie de l’eau ne peut pas, je pense et à l’instar de son grand frère, être pleinement jugé au premier visionnage. C’est un film qui a suscité une attente titanesque, fruit de plus de 13 ans de travaux de la part de James Cameron et de ses équipes, qui ont également fait avec les aléas du quotidien (y compris la crise du Covid survenu fin 2019/début 2020) et fera inévitablement des déçus à plus ou moins grande ampleur, mais semblent aller au bout de ce qu’ils ont entrepris. Et rien que pour ça, moi je dis respect. De la richesse visuelle, le film en déborde et la mythologie construit petit à petit par James Cameron s’enrichit véritablement pour un univers unique et inimitable, qu’importe ce que les cyniques et les blasés pourront bien en dire. Mais il a aussi un fond aussi actuel que dosé avec équilibre et porté par un cinéaste qui a toujours été, depuis Terminator, à la recherche de l’innovation technologique dans ses films tout en la combinant avec ses récits.


Constat alarmiste sur la situation écologique de notre monde via l’insouciance et l’insolence de l’homme et l’appel à faire face à nos problèmes, complexification maîtrisée des thématiques de cette univers à travers la descendance des héros et antagonistes du premier film, artistiquement splendide en matière de nouveauté sur la mythologie Avatar, innovant sur bien des points technologiquement, James Cameron ne fait peut-être le sans faute absolu mais la magie qui existait dans le premier film vit toujours, le ton n’est plus tout à fait le même mais elle est bien là.


Ce sera une surprise pour personne qui a lu toutes ces lignes, il a de très grandes chances d’être l’un de mes films de l’année 2022. Et aux prochains visionnages, que ça soit de nouveau au cinéma ou en Blu-Ray, mon estime pourrait gagner des points en plus, et entre ça et une EDF de football en final au Qatar à la Coupe du monde de football : le bleu est décidément une très, mais alors vraiment une très belle couleur pour ce mois de décembre 2022.

Maxime_T__Freslon
9

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Créée

le 16 déc. 2022

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