Mesdames et messieurs, bienvenus aux 76ème Hunger Games !

Hunger Games : la révolte partie 2 est la conclusion final d’une saga d’adaptation de roman pour adolescent comme il y en a tant ces dernières années depuis Harry Potter. Alors avant de poser la question : oui, j’ai lu les romans, après avoir vu les 3 premiers films, donc j’étais préparé à la conclusion de cette saga.


Hunger Games aura eu sa petite histoire auprès du public : pour certains ce n’est qu’une pompe à fric honteux pour le public ado dont certains dénigrent l’actrice principale comme vide d’émotion, certains mettant ces films dans le même sac que Twilight. D’autres, dont moi et certains de mes abonnés, l’adorent et le défendent et comme la saga Harry Potter, Hunger Games a le droit à des concurrents bien faiblard qui ne faisaient que copier sa formule sans pour autant rivaliser, comme Divergente et Le Labyrinthe. A mes yeux, malgré la déception prévisible du premier film, et ayant beaucoup apprécié la fin du dernier livre, puisque je trouve qu’il y a un intérêt à lire les romans adapté en bon film, mes attentes étaient élevés.


Le premier film était très bon, le second excellent, le troisième de bonne facture malgré sa mise en place continuelle et ses répétitivités. Qu’en est-il de ce quatrième volet ? Nous allons voir ça tout de suite (de toute façon vous pouvez deviner avec ma note si j’ai aimé ou pas).


Pour ce qui est des comédiens, on retrouve Jennifer Lawrence, alias Mystic dans les derniers X-Men, pour rejouer Katniss Everdeen une dernière fois. Et elle joue toujours aussi bien et avec beaucoup de sobriété une héroïne que Divergente, Le Labyrinthe ou cette étron rose fumant de Twilight n’ont pas su me donner : une héroïne attachante et pour qui on se prend de sympathie au vu des épreuves qu’elles traversent au cours de ses péripéties. Les enjeux sont bien plus présent ici et bien plus mis en avant comparé à la première partie, sa liaison avec Peeta et Gale, son désir d’abattre le président Snow pour de bon, un avenir face auquel elle ne sait pas quoi attendre, les conséquences de ses actes. Tout cela n’est jamais de trop pour elle. Cela s’en retrouve renforcé au fil du récit,


notamment lorsqu’on voit ce qui advient de sa petite sœur.


En plus, là on retrouve vraiment sa détermination comme à la fin de l’Embrasement, ce qui n’était pas présent dans le début de la partie 1 de La Révolte. Une fois l’introduction passée,


elle fait clairement connaître son désir de tuer Snow à la présidente Coin face à face et on entre rapidement dans le vif du sujet lors de son intervention au District 2 quitte à avoir un flingue sous la gorge face à un résistant du District.


Katniss se suit donc toujours avec le même intérêt que dans les précédents films, je reviendrais sur sa conclusion dans la partie scénario.


Josh Hutcherson n’est pas en reste lui non plus et se montre toujours aussi investi, surtout quand on voit à quel point son personnage se montre, ici, froid et métamorphosé dans la première moitié de film.


A tel point qu’il en vient à considérer Katniss comme un monstre tant les tortures, à base du venin des guêpes tueuses, l’ont transformé et détruit de l’intérieur au point de ne plus faire la distinction entre le vrai et le faux au sujet de cette dernière.


Il est même agréable, encore une fois, de voir qu’on est loin d’un cliché de triangle amoureux chiant et énervant avec Peeta (et Gale),


surtout lorsqu’on les voit en pleine discussion dans les sous-sols chez Tigris.


Cependant, je ne peux pas dire que le personnage de Gale soit aussi mémorable. Liam Hemsworth fait un assez bon boulot et il y a de quoi tirer profit de son personnage au vu de ses décisions ici,


surtout en ce qui concerne le pilonnage des montagnes au District 2 pour faire sortir les derniers fidèles au Capitole et les armes qu’il a crée avec Beetee.


Mais le passage au District 2 est trop court et


la révélation finale concernant Gale ne provoque pas grand-chose puisqu’on concentre notre intérêt sur un tout autre personnage.


Malgré cela, il évite lui aussi de sombrer dans le cliché de romance du mec jaloux ou en concurrence avec un prétendant, sa conversation avec Peeta est simple mais fonctionne quand on voit dans quelle situation ils sont. Au final, j’en retiens un personnage correct mais qui n’aura pas réussi à briller.


Par contre, le président Snow, lui je le retiens, pas pour un des meilleurs antagonistes que j’ai pu voir non plus mais déjà pour Donald Sutherland, encore une fois tout simplement maître de son interprétation pour un dictateur qu’on ne peut que haïr et qui s’est montré de plus en plus haïssable de film en film.


Woody Harrelson apparaît bien moins ici, il arrive toujours à arracher un sourire mais comme il a était mis pas mal en avant dans les trois précédents volets il est un peu normal de le mettre en retrait pour laisser la place à l’intrigue principal. Elizabeth Banks est aussi mise au troisième plan, le regretté Philip Seymour Hoffman y mettait du sien pour le peu de scène dans lesquels il apparaît. Julianne Moore gagnait en importance dans ce dernier acte et en devient même surprenante au final. Jeffrey Wright apparaissait peu, de même pour Jena Malone et ils faisaient bien le job, Sam Clafin attisait toujours notre sympathie en Finnick Odair, Natalie Dormer faisait bien le job également. Par contre je regrette que Primrose Everdeen soit trop insuffisamment exploité ici, de même pour sa relation avec Katniss. Je veux dire, les trois premiers films lui donnaient chacun un moment qui rendaient sa liaison avec Katniss assez touchante à suivre et donnait même du crédit à la fille du feu, ici le seul moment que l’on a


c’est le mariage de Finnick et Crista lorsque les deux sœurs se joignent à la danse et s’enlacent, le travelling rotatif rapide a beau tenter de donner de l’ampleur à leur attachement c’est au final bien trop peu,


et pourtant là aussi il aurait été intéressant de l’exploiter,


rien que la scène d’introduction ou Prim tente d’établir un contact avec Peeta par exemple montre qu'elle a mûri depuis le tout premier film.


C’est quand même dommage, parce que Willow Shields n’a pas fait un mauvais boulot niveau jeu d’actrice pendant toute la saga. Mais malgré cela, tout les acteurs sont en forme, notamment l’interprète principale qui gagne de plus en plus en intérêt à mes yeux.


Musicalement, James Newton Howard aura toujours été à la barre pour la saga. Son travail était de bonne facture pour les deux premiers films, les thèmes se retenaient en plus de contribuer comme il faut à l’ambiance de la saga et j’ais même un gros faible pour L’arbre du pendu dans le troisième film. Ici il continue sur sa bonne voie, mais il a tendance à trop réutiliser les mêmes thèmes dans les trois premiers quarts d’heure. Je sais que le but est de rappeler les thèmes de la saga et de rester fidèle à son ambiance musicale, mais là j’ai trouvé que ça souffrait encore de problèmes de répétitivité. Dommage parce que les autres morceaux plus inédits sont d’assez bonne qualité. Néanmoins, lui aussi aura bien fait son boulot pendant ces 4 films.


Pour ce qui est du visuel, on remarque que la photographie est toujours aussi terne et sombre, choix logique au vu du ton que prend ce dernier film. A l’inverse de la première moitié du dernier livre, on quitte enfin le bunker du District 13, mais ça reste globalement très gris et peu varié jusqu’à l’arrivée dans l’intérieur du Capitole, même si on n’est pas lassé non plus là ou la partie 1 avait toujours les mêmes environnements. Pour ce qui est des effets spéciaux, si je n’ai eu aucun problème avec les pièges du Capitole qui se révèlent très crédible à l’œil, les mutants en CGI restent quand même voyant à l’œil, pas laid non plus (enfin si, ils sont dégueu à voir mais ils sont fait pour) mais ça se sent quand même, c’est visible. Heureusement, s’il y a une chose qui se rattrape vraiment par rapport au précédent film, c’est la mise en scène de Francis Lawrence bien plus vive et bien loin de la répétition de la partie 1. Il arrive à rendre les scènes d’actions très entraînantes,


surtout dans les égouts,


la caméra est vive mais toujours très lisible, les bons choix sont là notamment en ce qui concerne l’utilisation ou non de la musique,


comme en témoigne le premier contact entre Peeta et Prim assez stressant à voir, même perturbant face aux réactions haineuses de Peeta envers Katniss. Ou l'arrivée de Katniss lors de l'exécution de Snow ou l'on n'entend que les tambours du Capitole.


La grandeur d’échelle est également maîtriser, notamment pour ce qui est des parties dans le Capitole. On pourra lui reprocher parfois quelques éléments superflu ou peu subtil mais ça à la limite je lui pardonne. Lui aussi il aura fourni un travail de qualité de l’Embrasement jusqu’à ce final, pas au point de rénover quoique ce soit mais ça remplit très bien le job.


Et il est temps de conclure ma critique avec la partie la plus importante, l’histoire et c’est là que je me dois de faire un petit aparté sur le livre et un petit retour sur le reste de la saga. Dans les romans de Suzanne Collins, l’histoire est entièrement raconté du point de vue de Katniss Everdeen, il n’y a pas d’autres angle de vue pendant les 3 romans et tout est raconté selon son impression.
Cela aide à apprécier davantage le personnage.
Mais du coup cela laisse quelques interrogations sur des événements plus extérieurs comme ce qui se déroule au Capitol, du côté de Snow, ou même de l’entourage de Katniss. Le livre offre également quelques sous-intrigues qui ont été mis de côté dans les films, comme la victoire de Haymitch aux Hunger Games, certains personnages secondaires qui n’ont pas été repris (mais à juste titre sinon bonjour la surcharge) ou encore quelques modifications.


Quant aux films, pour ma part, c’est globalement fidèle, les modifications apportées en fonction de la durée ou de l’intrigue passent plutôt bien, parfois on a eu des bons choix comme le fait d’avoir Effie au bunker plutôt que les trois autres stylistes de Peeta et Katniss dont on se fout royalement, quelques moments avec le président Snow loin d’être ennuyeuse, par contre il est dommage de ne pas avoir plus creusé le plan de Plutarch dans le deux pour éviter que ça soit bordélique, de même pour le plan de Snow même si ça reste passable après réflexion.


Donc, que vaut ce dernier film d’un point de vue scénaristique ? Et bien, si je dois attribuer un bon point pour cette coupure, c’est qu’avec la seconde partie on entre rapidement dans le sujet qui nous intéresse : la révolte en elle-même. Mais il y a aussi des points sur lesquels on peut chipoter, notamment sur la première demi-heure


et les scènes au District 2 qui, selon moi, auraient mérité un petit rallongement, surtout quand on voit à quel point le discours improvisé de Katniss est intense, en plus du jeu de l’actrice, la scène est très forte mais un peu courte pour que ça ait un impact massif.


En plus de cela, je trouve cela dommage de mettre certains personnages comme Finnick et Prim (oui, j’en ais pas finis avec eux) en retrait. Autant pour Finnick, j’accepte parce que les seconds et troisièmes films l’avaient développé, pour son côté frimeur mais avec le sens de l’honneur dans le second et la sympathie qu’il nous inspire dans le troisième, du coup


le voir se faire déchiqueter par les mutants a beau être une scène rapide, elle marche quand même et ça fait de la peine à voir.


Par contre pour Prim, avoir ne serait-ce qu’une scène de discussion entre elle et Katniss aurait été nécessaire parce que, pour le coup,


sa mort n’arrive pas à dégager énormément d’émotion sur le coup, elle surprend mais j’ai pas réussi à me sentir touché dés cette instant.


Et pour ce qui est de Gale, le fait même de savoir


qu’il y est directement impliqué ne provoque hélas pas grand-chose car, même en sachant qu’il ne voulait pas que ça arrive à cause de lui


Après, pour finir sur la partie négative, le fait que Katniss rejoint l’armée des rebelles après la première demi-heure


en s’infiltrant dans un hovercraft au lieu de passer une série d’entraînement comme dans le bouquin aux côtés de Johanna pour intégrer une unité ne m’a pas dérangé, en fait c’est mieux ainsi puisque Johanna ne participe pas à la bataille finale dans le livre à cause de son état mental et de sa phobie de l’eau qu’elle a eu en raison de torture que le Capitole lui a infligé pendant sa détention.


Donc ça aurait été du temps en plus pour pas grand-chose.


Pour le reste, j’en retiens du bon, beaucoup de bonnes choses en général, qui n’ont surement pas plu à tout le monde mais dans mon cas, j’ai été pris. Déjà parce que, les thèmes que sont la propagande et la manipulation de masse sont encore présent, peut être moins car il faut laisser place à l’action mais ils sont exploités comme il faut dans la première demi-heure


avec le clip montrant Katniss se prenant une balle au District 2, passant alors pour une martyre auprès des District 1 à 13.


Ensuite, ce film retrouve son aspect Survival qui n’est pas sans rappeler les jeux de l’arène dans les deux premiers films de la saga lors de l’infiltration du commando dans les quartiers abandonnés du Capitole. Sur que ce n’est pas un choix anodin, toute la ville devient aussi bien un champ de bataille qu’une arène, rébellion et divertissement devienne carrément de mise


quand on voit que Snow n’hésite pas à retranscrire la fausse mort de Katniss et de l’unité de Boggs à l’écran.


C’est d’ailleurs cette critique que fait la saga avec le concept des Hunger Games : une dénonciation du divertissement télévisuel, un peu comme la téléréalité mais poussé à l’extrême de l’extrême pour servir une dictature et les puissants, les enjeux comme l’humanité des personnages et leurs sentiments sont bien plus importants qu’on ne laisse le croire et ça se voit, aussi bien


à travers le jeu du Réel ou pas réel avec Peeta que les actes de Katniss pour venir à bout de Snow ou protéger ceux qu’elle veut garder en vie.


Mais je retiendrais surtout l’acte final :


Dans la dernière demi-heure lorsque la guerre est fini, Katniss et Snow ont leur dernier entretien. Et cette scène montre tout simplement une chose auquel, ceux qui n’ont pas lu les bouquins en tout cas, ne s’attendent pas forcément : Snow, aussi salaud soit-il, révèle à Katniss que Coin visait sa place depuis bien longtemps et serait la principale responsable du bombardement de parachute explosif devant le grand Cirque, dans lequel Prim a perdu la vie. Et à l’inverse des plans de Plutarch dans l’Embrasement et de Snow dans la première partie de la révolte, le plan de Coin se révèle bien plus logique et cohérent (pas bordélique en tout cas). Logique dans le sens ou Boggs a révélé à Katniss qu’elle ne l’a jamais apprécié et espérait sauver Peeta à sa place, logique quand on voit que Katniss a été utilisé pour tourner les Districts contre le Capitole par Coin et que cette dernière comptait s’en débarrasser dés que possible, et logique en voyant qu’au final elle n’arriverait pas à contrôler Katniss entièrement, la manipulation est toujours présente de bout en bout. Ce qui fait de Alma Coin… une grosse connasse… ouais désolé mais c’est le seul terme qui me vient en tête pour la décrire.


Et enfin, parce que ma critique est déjà assez longue comme ça, parlons un petit instant de l’épilogue puisque certains (ceux qui ont lu le livre en tout cas) ont râlé sous prétexte que c’était soit guimauve, soit irrespectueux du livre. Je résume donc brièvement :


Katniss a perdu sa petite sœur qu’elle voulait impérativement protéger et plusieurs personnes auxquels elle tenait, s’en est prit plein la poire aussi bien pendant les jeux qu’au Capitole ou au District 2, s’est fait exploité par Coin pour que cette dernière accède au pouvoir et même quand elle tente de reprendre un cours de vie normal avec Peeta pour qui elle révèle finalement ses sentiments, et d’Haymitch parce que… parce qu’il n’a nulle part ailleurs ou aller, on est loin d’un happy ending guimauve et rose bonbon quand même. Elle ne s’en remettra jamais entièrement mais décide de vivre aux côtés de celui dont elle est finalement tombée amoureuse.


Donc non, désolé mais je trouve pas du tout qu’on est dans une fin guimauve quand on sait par quoi sont passé les personnages. Et puis la romance


entre Katniss et Peeta


sera toujours plus cohérente que celle entre Daniel Craig et Léa Seydoux dans Spectre de Sam Mendes sorti dernièrement.


Alors, pour conclure, qu’est-ce que je retiens principalement de la saga Hunger Games ? Et bien, si certains aiment la décrier, je considère qu’il y a beaucoup plus d’intérêt à suivre ces films et à lire les romans contrairement à ce que beaucoup croient, il y a même plus de maturité ici que dans n’importe quel saga pour adolescent qu’on a pu voir dernièrement, ça vaut surement pas Harry Potter et c’est pas non plus une saga culte tel que Star Wars, Le Seigneur des Anneaux, ou des œuvres de SF récent comme Interstellar ou Gravity mais ça a ses points forts. J’ai beaucoup aimé le premier film, j’adore le second, j’aime relativement bien le troisième et j’ai énormément adhéré à ce dernier volet. Et dans l’ensemble ces 4 films sont honnête, aussi bien en tant qu’adaptation qu’en tant que film autonome. Si vous avez aimé les films, je ne peux que vous conseiller de lire les romans, vous profiterez que davantage de ces films.

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