Kaamelott - le premier volet : Ça ma suffit... Pour le deuxième... je passe mon tour !

Alors déjà, je vais être honnête : je déteste profondément la série. Je suis probablement le premier à dire que Kaamelott mérite bien son titre… mais sûrement pas ses louanges. Je ne comprendrai jamais comment ce truc a pu devenir une série “culte” ou, pire, “la meilleure série française”. Pour moi, c’est un divertissement conçu pour abrutir le peuple — et vu la concurrence, on n’avait pas besoin de ça.

Mais bref, parlons du film.

Au début, j’y ai cru. Oui, vraiment. Le démarrage m’a presque rappelé Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre — du rythme, un ton un peu plus grandiose, de l’espoir quoi.

Et puis… tout s’est effondré.

Les blagues ? À plat.

Les dialogues ? Ça crie, ça gesticule, ça surjoue comme dans un atelier théâtre du collège.

Le scénario ? Vide, sans émotion, sans vraie tension, ni rire sincère. On a l’impression d’assister à une pièce de théâtre amateur filmée avec des moyens pros, mais sans âme.

C’est lent, c’est creux, c’est kitsch — un humour de cour de récré emballé dans deux heures de pseudo-grandeur médiévale. J’ai rarement vu un tel manque d’énergie et de conviction. Même Les Visiteurs en Amérique, à côté, c’est du Shakespeare !

Franchement, ceux qui osent dire que Kaamelott est un chef-d’œuvre méritent une bonne tape derrière la tête. Ce film, c’est une purge royale. Un truc qui fait passer Les Nouvelles Aventures d’Aladin pour un film brillant.

J’ai tenu la moitié du métrage avant d’abandonner, pour le bien de mes neurones.

Je lui mets 2/10, uniquement pour son introduction prometteuse.

Pour le reste ? À la guillotine cinématographique.

Merci d’avoir lu ma souffrance.