Prévisible comme une envie de chier après un combo café/clope, esthétiquement proche d'un blobfish en lendemain de cuite, le film nous propose une énième adaptation écrite à la sulfateuse. Ringard et cliché, Loups-Garous peine durement à faire rire, à créer une autre émotion que la consternation. Les loups-garous sont aussi crédibles que Jean-Louis, le père noël de mon village. Je passe sur les reprises de chansons françaises au luth, d'allumer le feu aux lacs du connemara, chantées par le barde Dubosc. Une bien belle B.O.
Lointain cousin consanguin du sympatoche "Jumanji" (celui avec Robin Williams, pas le sanibroyeur de 2019), frère jumeau de l'indigent "Les visiteurs : la révolution", le film aura au moins eu le mérite (on l'espère car tourné intégralement en Tchéquie) de permettre à quelques techniciennes et techniciens de récupérer des heures d'intermittence. Pour finir, il est absolument terrible de voir l'excellente Suzanne Clément dans cet enfer, c'est peut-être ce qui m'a fait le plus de mal.
A quand l'adaptation de Jungle speed et Skyjo.
A contempler entouré de potes, ne pas réaliser cette cascade seul.