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Une horde de teuffeurs dans le désert s’engouffre sur les chemins des enfers, accompagnée d’un père et de son fils. Une bande-son techno entêtante, des images incroyables.
Mais les fameux « chocs » narratifs et visuels dont tout le monde parle ont eu sur moi un effet repoussoir. Traumatisants ? oui ! Mais leur signification mystique, censée s’accorder au reste du récit, m’échappe. Le jeu des comédien·nes (à l’exception de Sergi López) est très limité, et le contexte géopolitique des conflits mondiaux n’est jamais cohérent avec les choix de leurs personnages.
À Cannes, « quel choc » signifie souvent : un film bourrin enveloppé d’auteurisme.
Cf. The Substance.
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le 11 sept. 2025
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