The Master
le 5 déc. 2012
Complexes deux types
The Master, et c'est l'apanage des grands films tels que je les perçois, cache derrière sa perfection esthétique, sa classe et sa mise en scène d'une précision horlogère, des tournures narratives un...
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The Master par Himad
C'est à la limite du bavard, mais c'est filmé, monté, joué, mis en son à la quasi perfection. Beau petit braquage de Daniel Day-Lewis pour l'Oscar : là où dans Lincoln, il jouait facile, tellement le sujet/personnage était "simple", ici, Phoenix est épatant de justesse et de sincérité. Kudos aussi à Hoffman.
Mais le film se casse un peu la gueule en ne décidant jamais vraiment de quoi il veut causer. Ca part dans tous les sens pour au final n'arriver nulle part. Dommage.
Mais le film se casse un peu la gueule en ne décidant jamais vraiment de quoi il veut causer. Ca part dans tous les sens pour au final n'arriver nulle part. Dommage.
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Créée
le 13 mars 2013
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