Lecture rapide garantie.
On parcourt ça en diagonal, ce n'est pas bien long de toute façon. Trop long pour ce que ça a à dire.
Preuve que la haine ne construit rien, n'alimente aucune réflexion.
Nous n’avons que faire des préjugés infamants d’un journaliste qui refuse de dialoguer avec le cinéma contemporain, de risquer une analyse, de proposer un tant soit peu de profondeur à une écriture au diapason de son propos : vide de sens. Car il y a deux conséquences à regarder de la sorte dans le rétroviseur du cinéma – disons plutôt d’un certain cinéma, fruit d’une mémoire défaillante et d’un jugement souffreteux – : ou rester au point mort, ou foncer droit dans le mur. Le livre réussit alors un exploit : il fait les deux.
Créée
le 8 nov. 2019
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