Sirāt
7.2
Sirāt

Film de Oliver Laxe (2025)

Plein trip pulsants à 130bpm

Au son des basses et des lourd bruit des camions, les plans se succèdent plongeant le spectateur au cœur de l’immensité inconnu se laissant porter sans réfléchir.
Ces moments de bonheur marquèrent le sommet du trip nageant dans un océan de conscience à qui on laisse divaguer sans maîtrise.
La route rythmé au son de la techno en fait presque oublié l’intrigue principale du film.
L’euphorie fait place à la redescente quand tout à coup le camion chut emportant à son bord le fils et son chien.
Une descente rude et directe ne manquant pas de choquer le spectateur encore dans son euphorie des bpm.
Marquant la réalité de cette œuvre et ouvrant là malheureuse contrepartie du trip.
La descente
Descente au enfer exprime parfaitement la suite mettant le doute au spectateur quand au genre du film.
Allumant les enceintes au milieu du désert espérant changer les idées du père domper par je ne sais quelle plante aux propriété phychédelique.
Entraînant les lourd pas des pieds humains contre le sable chaud et craquelé sous les raveurs.

Angeif
8
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il y a 3 jours

Angeif

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