Critiques de Et quelquefois j'ai comme une grande idée

Est-ce pour prouver en bon hippie que la quantité ne surpasserait jamais la qualité que Ken Kesey aura arrêté, après avoir livré ce chef d’œuvre, d’écrire pendant 25 ans ? Trois romans étalés sur 35...

Regarde. Je m’enfonce doucement dans le marécage, j’arrose mes remugles, mes cachetons, de rasades de whisky écossais. Regarde ! Je le tète au goulot. Comme le sein de ma mère. Contemple le...

Peut-être bien que l'essence d'un très grande livre -la richesse des thèmes qui y sont développés- explique que chacun d'entre nous puisse y trouver un lien direct et personnel, qui renforce encore...

Stars, they come and go They come fast, they come slow... Elle a bien raison, Nina. Les étoiles, ça va et ça vient. La pluie par contre, ça reste. Des jours, des nuits, des semaines durant, c'est le...

Ce roman, c'est un peu Sergio Leone, Philip K. Dick et William Faulkner chez les bucherons. Une sorte de western moderne, au scénario jubilatoire, écrit sous trip et avec des narrateurs multiples, un...

Sacré nom d'un petit bonhomme en bois. On sait que la traduction a été laborieuse, mais on ne sait pas que l'on peut acheter un livre aux pages absentes...C'est sans parler du livre en lui-même qui...

Et quelquefois j'ai comme une grande idée est véritablement un Grand roman américain. Ce qui donne sa notion de Grand roman à cette œuvre, c’est l’écriture de l’auteur, sa narration polyphonique et...

Désormais sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2014/02/14/note-de-lecture-et-quelquefois-jai-comme-une-grande-idee-ken-kesey/

Sentiment exalté, mais aussi partagé à la lecture de la dernière exhumation de Monsieur Toussaint Louverture, monumental pavé (800 pages) non chapitré et traduit à partir d'épreuves brutes. Ce...

Chef-d'oeuvre de Ken Kesey, Et quelquefois j'ai comme une grande idée est un véritable roman fleuve. Ça tombe bien : on est ballotés d’un bout à l’autre de ses 900 pages comme entre les eaux de la...